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Pépé & Mémé Corporation - le blog officiel -
31 décembre 2008

Fiche Film "The Spirit"

The_Spirit

The_Spirit_Affiche_Redimention_e

Fiche_Technique

Date de sortie Cinéma Française : 31 Décembre 2008

Date de sortie Cinéma Américaine : 25 Décembre 2008

Réalisateur : Frank Miller

Avec : Gabriel Macht, Samuel L. Jackson, Scarlett Johansson ...

Durée : 1h43

Genre : Action / Thriller

Film américain, britannique

Année de production : 2008

Distribution : Sony Pictures Releasing France

Compositeur : David Newman

D'après : le comics de Will Eisner , "The Spirit"

Titre Original : The Spirit

Tous publics

Synopsis

Denny Colt, un ancien flic, revient mystérieusement d'entre les morts. Il est désormais le Spirit, combattant du crime dans les rues obscures de Central City. Son ennemi juré, Octopus, a un but bien différent : dans sa folle quête d'immortalité, il s'apprête à détruire la ville. Aux quatre coins de la cité, le Spirit traque le tueur. Sur son chemin, le héros masqué croise des femmes, toutes sublimes, qui cherchent à le séduire, l'aimer ou le tuer ... Seul son amour de toujours ne le trahira pas : Central City, la ville qui l'a vu naître ... deux fois.

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1 Critique disponible (Rédigée par Mémé)
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30 décembre 2008

[Fiche Comics] Wanted T.1

Wanted_Tome_1

Wanted Tome 1

Fiche_Technique

Appartient à la série : Wanted

Editeur : Delcourt (collection Contrebande)

Auteurs : Mark Millar (Scénario) / J.G. Jones (Dessins & Encrage) / Dick Giordno (Dessins & Encrage lors de la scène du flash back) / Paul Mounts (Couleur)

Genre : Comics / Super Héros

Couleurs : Oui

Sens de lecture : Français

Sortie en Amérique : 2003 - 2005

Sortie en France : 9 Juillet 2008

Nombre de pages : 152

Prix : 14,95 euros

Bonus : Postface de Mark Millar / Un Mot de Brian K. Vaughan / Galerie d'Illustrations

Spécificités : Réuni les 6 chapitres que composent la série Wanted en un volume

r_sum_

Wesley Gibson mène une existence minable d'hypocondriaque frustré, semblable à celle de millions d'autres individus jusqu'à ce qu'il découvre que son père - le Killer - était le plus grand de tous les assassins, à la tête d'une société de super-vilains qui dirigent secrètement le monde depuis 1986. Il intègre cette nouvelle famille de "sang" et découvre le monde qu'il est appelé à diriger en digne successeur de son père, et tel qu'il ne l'avait jamais imaginé ...

Résumé tiré du quatrième de couverture du Tome 1

Avis

Attention ! Peut contenir des spoils !

L'avis de Mémé :

Rictus

Quand on vous parle de comics, généralement, les premiers noms qui viennent à l'esprit sont toujours les mêmes : Superman, Batman, Spider Man ... Des séries très connues, qui ont une renommée importante auprès du grand public, mais aussi auprès des fans du genre. A côté de ces mastodontes du genre se trouvent des œuvres un peu moins connues, mais qui n'en sont pas moins dénuées de qualités ! Wanted est l'une de ses œuvres, encore jusque là méconnue avant l'énorme campagne promotionnelle autour du film sorti en Juillet 2008. L'ocassion rêvée pour les éditeurs de comics de ressortir ce comics du placard, ou du moins, dans le cas présent, de le sortir tout court, puisque c'est la première fois que cette histoire pas comme les autres est éditée en France ! Série de 6 chapitres considéré comme le Watchmen des super vilains (ce qui n'est pas rien), Wanted est elle une œuvre qui mérite autant d'attention ? Réponse en avis !

L'histoire de Wanted narre la vie de Wesley Gibson, une vie on ne peut plus banale : Wesley est un looser, son travail ne lui plait pas, sa patronne s'acharne sur lui, tout comme la plupart des personnes de son entourage ; son meilleur ami couche avec sa petite amie, son existence est réglée comme sur du papier à musique ... Une existence comme les autres, qui n'a rien de passionnant, jusqu'au jour où une mystérieuse femme répondant au nom de Fox lui apprend que son père était le plus grand assassin de tous les temps : le Killer ; et qu'il vient d'être tué. Wesley va alors découvrir un monde dont il ne soupçonnait pas l'existence : la Fraternité, une ligue de super vilains qui contrôlent le monde en secret depuis 1986, année où les super héros ont étés tous vaincus ! Le jeune homme va devoir reprendre le flambeau de son père, et va se découvrir sous un nouveau jour. Mais dans l'ombre se trame un complot, qui ébranlera la Fraternité toute entière ...

Un scénario original pour le monde des comics, puisque les héros de l'histoire ... sont des super vilains ! Une originalité qui fait un bien fou, puisque enfin un comics propose autre chose que des héros parfaits qui sauvent le monde. Ici, les héros sont morts (sauf un, qui est un clone attardé), les méchants ont pris le pouvoir, et se permettent tout dans une ville qu'ils contrôlent. L'histoire part sur un bon point de départ (un looser qui se découvre des talents de super tueur et un monde qui lui convient), mais bascule vers la moitié du récit dans une histoire un peu plus classique, certes intéressante, mais bourrées de clichés : des méchants vraiment méchants veulent prendre le contrôle (pour d'obscures raisons que nous ne dévoilerons pas), le héros commence à avoir des remords, une love story arrive ... Le fin mot de l'histoire est on ne peut plus prévisible, et on était en droit de s'attendre à un récit un peu moins classique, en vue du point de départ.

Mais pourtant, malgré ces clichés récurrents, le scénario de Wanted cache un atout dans son jeu, puisque ce dernier contient un sous propos plutôt intéressant, critiquant notre mode de vie et certains aspects de notre monde d'une manière assez sympathique. En effet, tout au long du récit, nous suivons les pensées de Wesley, qui se permet parfois quelques apartés avec le lecteur, critiquant à peu prêt tout (sa vie, les blacks, les chicacos, les ringards ...). Cette mise en parallèle avec le lecteur atteint son apogée dans un monologue final bien trouvé. Le récit ne s'arrête pas là, et brasse d'autres sujets plus graves, comme la corruption, le meurtre, le viol ... Une œuvre qui se révèle plutôt riche sur ce point là, ce qui fait plaisir, quand on voit que la majorité des comics de super héros se content juste de nous livrer un duel Gentil contre Méchant.

L'un des autres aspects sympathiques de Wanted est son côté ultra référentiel aux autres comics. Dès que Wesley découvre la Fraternité (voir même un peu avant, avec le meurtre du Killer), les méchants se suivent, et certains font étrangement références ... à d'autres méchants très connus dans d'autres séries ! Surtout axées sur les méchants de Batman et Superman (l'exemple le plus flagrant est Mr.Rictus, le méchant de l'histoire, qui est une référence complète au Joker), mais dérivant parfois vers les méchants Marvel ; ces références font sourire les fans des comics, et il n'est pas rare de chercher qui fait référence à qui, d'autant que certains ne sont pas évidents à deviner (ils sont généralement dans le décor)

Parlons justement des personnages. Foisonnant de méchants, la centaine de page que compose Wanted nous offre une galerie de personnages réussis, quoique parfois trop classiques. Certains ne manquent pas de charisme (Mr.Rictus, du méchant comme on aime en voir), d'autres incarnent les stéréotypes du personnage (Wesley et Fox, trop prévisibles pour être totalement attachants, même si la mise en parallèle avec le lecteur atténue ce fait pour Wesley), mais dans l'ensemble, les "héros" de Wanted sont intéressants, renforcé par un petit background pour certains. A noter que deux d'entre eux sont plutôt surprenants, nottament Johnny Deux Bites, un méchant qui possède deux cerveaux ... dont un dans ses parties génitales !

Un délire assez provoc, à l'image de l'œuvre, qui se permet tout, ou presque ! Vu que Wanted propose comme héros des méchants, il va de soit que ces derniers ne jouent pas à la dinette et regardent Barbie Casse Noisette ! Au contraire, dans cet univers, tout est trash, la violence en est outrancière, et les propos sont parfois aussi crues que les images. Heureusement, le côté second degré et l'humour (parfois noir) de l'œuvre permettent d'atténuer le tout. Ainsi, on parle de viol, on tue des innocents pour le fun, une insulte est placée à toutes les pages (ou presque) ... La pilule passe plutôt bien, même si ces insultes verbales à toute les pages finit par lasser au fur et à mesure que l'on avance dans l'histoire.

Au niveau du texte, l'histoire de Wanted est plutôt bien écrite, grâce à des dialogues parfois très crus (comme énoncé plus tôt), à des monologues réussis, mais aussi grâce à des répliques plutôt bien trouvées. Certes, on atteint pas des sommets (les "enculés" à quasiment toutes les pages sont là pour nous rappeler que nous ne sommes pas dans la littérature savante), mais certaines phrases ont un petit quelque chose, apportent de l'humour noir juste ou bien sont bourrés de signification qui renforcent le sous propos de l'œuvre.

Mais le scénario et tout ce qui va avec ne fait pas tout un comics, puisque ce genre d'ouvrage est avant tout basé sur les images, et la qualité du dessin. Sur cet aspect, J.G. Jones réussi son boulot, en nous offrant des dessins typiques des comics actuels au niveau du trait, mais très jolis. Certaines images sont d'ailleurs très fortes, et ajoutent de la puissance au récit. Les personnages sont détaillés, les lieux aussi, et on notera un cadrage lui aussi réussi. Quand à la colorisation, le travail de Paul Monts se révèle être du même niveau, donc de qualité !

Enfin, le travail de Delcourt est satisfaisant, (d'autant que le récit est complet, les 6 chapitres sont dans le tome, ce qui offre un bon rapport quantité / prix) avec une traduction convenable (même si la VO doit être surement mieux écrite), pas de fautes d'orthographe (et oui, car des fois ça arrive des erreurs !), une police simpliste mais efficace, toujours ces mots en gras typique du genre, et des bonus corrects, nottament sur l'origine du projet. On notera pour finir les illustrations en fin de tome, qui sont tout simplement celles utilisées pour les 6 couvertures en Amérique.

Notation :

Scénario => Le scénario de Wanted part sur une idée de base on ne peut plus originale et fraiche pour le genre (un monsieur tout le monde découvre que son père est un super vilain et va devenir son successeur dans une société secrète de méchants qui gouvernent le monde), mais s'essouffle vite sur le plan de l'originalité, sombrant vers la moitié dans des clichés qui auraient pus être dispensables. Les personnages sont aussi stéréotypés, mais la plupart d'entre eux sont suffisamment charismatiques ou intéressants pour pouvoir passer au delà de ce défaut. L'histoire fait parfois des références à d'autres personnages, ce qui fera surement plaisir au fan de comics ; et nous offre un sous propos bien trouvé, grâce à un parallèle Héros / Lecteur sympathique ; en plus de situations et de dialogues parfois crus, très crus, heureusement atténués par l'humour et le second degré de certains aspects du récit. On aurait aimé que le récit évite la plupart des clichés du genre, mais malgré tout, on ne peut qu'adhérer à cette bouffée d'air frais dans le genre. 16,5 / 20

Dessin => Les dessins de Wanted sont dans la pure tradition des comics modernes dans son coup de crayon, mais cela n'empêche pas d'apprécier les images de J.G Jones, d'autant que ces dernières sont globalement assez détaillées. La colorisation est de la même trempe, et le travail de Paul Mounts est de qualité. Le cadrage est bon, et renforce certaines situations sur le plan émotionnel. 17 / 20

Edition => Les éditions Delcourt nous offre une œuvre qui regroupe les 6 chapitres que composent Wanted satisfaisante. Via les bonus, on apprend l'origine du projet, et on peut admirer les couvertures des chapitres utilisées pour la publication en Amérique. La police est classique, mais efficace, et on retrouve les classiques du genre (mots en gras, onomatopées ...) On apprécie le fait que Delcourt est réunie toute l'œuvre en un tome, mais mise à part de maigres bonus, le lecteur avide d'en savoir plus pourra être déçu. 15 / 20

Conclusion :

Wanted est un comics que l'on apprécie par la base de son scénario, originale pour le genre : des méchants comme héros. On découvre au fil des images dessinées avec soin et détaillées de J.G Jones l'histoire d'un homme banal qui devient du jour au lendemain un tueur de sang froid, dans une société où le Mal règne en maître. Dès lors, le parti prix du récit est simple : tout sera trash, et cru ! Que ce soit via des dialogues vulgaires (parfois trop, car les "enculés" toutes les cinq minutes, c'est bien, mais à force, ça lasse) ou des scènes violentes sous entendues (viol) ou pas (meurtres), Wanted ne se refuse rien, ou presque. La galerie de personnages est réussie, le parallèle Héros / Lecteur est intéressant, l'humour noir est bienvenue (d'autant qu'il atténue certains passages), et le côté référentiel à d'autres comics intéressera plus d'un connaisseur. Dommage alors que le scénario accumule les clichés au fil de son déroulement, et que certains personnages soient trop stéréotypés pour être réellement attachants. Une œuvre à découvrir et à lire, si on aime les méchants, et que les histoires qui changent de Gentils contres Vilains commencent à vous lasser.

Note Finale : 16,5 / 20

By Mémé

29 décembre 2008

Fiche Comics "Wanted"

Wanted__Comics_

Wanted

Fiche_Technique

Auteurs : Mark Millar et J.G Jones

Editeur France : Delcourt (collection Contrebande)

Type : Comics

Genre : Super héros

Couleur : Oui

Sens de lecture : Français

Nombre de tomes sortis en France : 1 (série terminée)

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Wesley Gibson mène une existence minable d'hypocondriaque frustré, semblable à celle de millions d'autres individus jusqu'à ce qu'il découvre que son père - le Killer - était le plus grand de tous les assassins, à la tête d'une société de super-vilains qui dirigent secrètement le monde depuis 1986. Il intègre cette nouvelle famille de "sang" et découvre le monde qu'il est appellé à diriger en digne successeur de son père, et tel qu'il ne l'avait jamais imaginé ...

Résumé tiré du quatrième de couverture du Tome 1

les_tomes

Couverture_Wanted

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Pas d'actualité pour ce comics ...

Avis

Attention ! Peut contenir des spoils !

L'avis de Mémé : Wanted est un comics que l'on apprécie par la base de son scénario, originale pour le genre : des méchants comme héros. On découvre au fil des images dessinées avec soin et détaillées de J.G Jones l'histoire d'un homme banal qui devient du jour au lendemain un tueur de sang froid, dans une société où le Mal règne en maître. Dès lors, le parti prix du récit est simple : tout sera trash, et cru ! Que ce soit via des dialogues vulgaires (parfois trop, car les "enculés" toutes les cinq minutes, c'est bien, mais à force, ça lasse) ou des scènes violentes sous entendues (viol) ou pas (meurtres), Wanted ne se refuse rien, ou presque. La galerie de personnages est réussie, le parallèle Héros / Lecteur est intéressant, l'humour noir est bienvenue (d'autant qu'il atténue certains passages), et le côté référentiel à d'autres comics intéressera plus d'un connaisseur. Dommage alors que le scénario accumule les clichés au fil de son déroulement, et que certains personnages soient trop stéréotypés pour être réellement attachants. Une œuvre à découvrir et à lire, si on aime les méchants, et que les histoires qui changent de Gentils contres Vilains commencent à vous lasser.

dossiers_divers

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26 décembre 2008

Fiche Jeu "Little Big Planet"

Little_Big_Planet

Little_Big_Planet_Boitier_Redimention_

Fiche_Technique

Plate-Forme : Playstation 3

Editeur : Sony Computer Entertainment Europe

Développeur : Média Molecule

Type : Plates-Formes / Inclassable

Appartient à la série : Little Big Planet

Date de sortie japonaise : 30 Octobre 2008

Date de sortie américaine : 27 Octobre 2008

Date de sortie française : 6 Novembre 2008

Prix au lancement : 70€

Joueur(s) : 1 à 4 joueurs ; Jouable Online

Dans le même genre :
- Little Big Planet PSP (PSP)
- Banjo & Kazooie : Nuts & Bolts (360)
- LocoRoco Cocoreccho (PSN)

Site officiel

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Informations_Globales

Little Big Planet est le premier titre du studio Media Molecules. Et pour un premier titre, ce studio dépendant de Sony ne fait pas les choses à moitié, puisque Little Big Planet est l'une des plus grosses exclusivités de la console Haute Définition de Sony, la Playstation 3 ; mais aussi un concept à lui tout seul. Car si Little Big Planet se distingue des autres jeux sur cette console, c'est car il propose autre chose que des jeux d'actions bien bourrins, des FPS qui se terminent en 5 heures et des suites décevantes. Partant sur une franchise toute fraiche, Little Big Planet livre au joueur une expérience dans le domaine de la plate forme unique : vous incarnez un petit bonhomme de chiffon tout mignon (et totalement personnalisable, des yeux aux vêtements, en passant par la couleur), Sackboy ; et vous devez explorer des niveaux d'un point A (le début) à un point B (la fin donc) tout en évitant les obstacles qui se dressent face à vous. Jusque là, rien de terriblement novateur, on en a vu plein dans le genre depuis Nintendo et son plombier moustachu. Et pourtant ! Car en plus de proposer 50 niveaux dès le départ, Little Big Planet propose ... de créer ses propres niveaux et d'y jouer dessus ensuite ! Mais là où le jeu se démarque véritablement de la concurrence (car des éditeurs de on ne sait trop quoi, personnages, objets et autres ; c'est du réchauffé), c'est que vous n'avez aucune limite dans la création ! Il vous suffit de prendre de la matière, faire une forme, ajoutez deux trois détails et hop, vous avez créer un élément de votre niveau ! Seul votre imagination pourra vous empêchez de réaliser un niveau dans son intégralité. Car en ce qui concerne le matériel proposer pour fabriquer ses mondes, il y a de quoi faire : matières, formes, textures, autocollants, effets mortels, interrupteurs, leviers ... Vous pouvez même créer votre musique, vos dialogues et vos cinématiques !!! Mais le plus intéressant vient après la conception du niveau en question, puisque non seulement vous pouvez jouer jusqu'à 4 sur la même télé, mais vous pouvez aussi partager vos niveaux avec le monde entier via le Wi-Fi ! Les joueurs pourront ainsi jouez dans vos créations, les notez, et prendre des objets intéressants pour recréer des niveaux. Et vous pouvez faire de même ! Une petite révolution dans le domaine du jeu vidéo, poussant la création toujours plus loin, doté d'un système communautaire très poussé et possibilités de télécharger du contenu supplémentaire (gratuit ou payant) quasiment toutes les semaines ... Il y a autant de chose à dire sur Little Big Planet qu'on peut en créer. Une bouffée d'air frais sur la PS3, mais qui ne pourra se savourer pleinement que si vous disposez d'une connectivité Internet reliée à votre machine. Mais même sans, vous pourrez tout de même vous éclatez en compagnie des Sackboys.

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25 décembre 2008

[News JV] Fêtez Noël avec Old Snake ... Sackboy !

News_16

Fêtez Noël avec Old Snake ... Sackboy !

Si vous suivez un temps soit peu l'actualité de Little Big Planet, l'un des jeux phares de la Playstation 3 de cette année 2008 ; vous êtes surement informé que le jeu propose du contenu supplémentaire parfois gratuit , parfois payant (ce dernier étant généralement majoritaire sur le gratuit) à chaque mise à jour du contenu du Playstation Network, soit le Jeudi pour nous les Français ; et ce depuis sa sortie en France le 6 Novembre 2008 ! Nous avions eu le droit à des costumes originaux, des costumes tirés de licences très connues (Street Fighter, Resistance, Motorstorm ou encore Locoroco), mais hier, lors de la mise à jour du Playstation Network avancée pour Noël au 24 Décembre, Media Molecule à décidé de frapper fort, très fort : en effet, pour l'ocassion, deux Packs aux couleurs de la prestigieuse licence Metal Gear Solid sont désormais téléchargeables !

Pack_1

Le premier pack se nomme Metal Gear Solid Premium Costumes Pack, et comme son nom l'indique, propose des costumes pour habiller votre Sackboy, ce petit personnage tout mignon que vous contrôlez dans le jeu. C'est donc 4 déguisements qui vous sont proposer dans ce pack, aux couleurs de Metal Gear Solid, et plus particulièrement le 4eme (et dernier ?) volet de la célèbre série de Konami : Metal Gear Solid 4 - Guns of the Patriots. Vous pourrez donc grâce à cet objet de jeu habiller votre Sackboy aux couleurs de Old Snake, le héros charismatique de MGS 4 devenu désormais vieux ; de Meryl Silverburgh, le personnage féminin de la série qui a fait sa première apparition dans MGS 1 ; de Raiden, le héros polémique de MGS 2 et qui est revenu dans une forme Ninja Robotique dans MGS 4, et pour finir Screaming Mantis, la chef de la Beauty and the Beast Unit, le commando de femmes surhumaines composé aussi de Laughing Octopus, Crying Wolf et Raging Raven que Old Snake doit affronter dans MGS 4.

Pack_2

Le second pack se nomme Metal Gear Solid Premium Level Pack, et intéressera surement plus que le premier. En effet, le contenu de ce dernier est à l'image du Pack sur le thème de Noël livré le 18 Décembre. Cet objet de jeu contient du contenu supplémentaire pour vos niveaux, en plus d'un costume de Soldat de Gurlokovich. A vous donc 72 autocollants, 12 matériaux, 10 décorations, 18 objets, qui seront complétés par des effets sonores. Pour les obtenir, il faudra après avoir acheter le pack les débloquer dans les 5 niveaux offerts aux couleurs de MGS dans le pack, qui viendront s'ajouter dans le jeu, où vous devrez empêcher Liquid Ocelot de devenir le plus grand créateur de niveaux de Little Big Planet ! Tout un programme, qui vous offrira l'ocassion de découvrir un tout nouvel élément de gameplay : le Paintinator ! Cet objet est un pistolet ... qui tire des boules de peintures, et qui vous permettra d'activer des mécanismes et de tirer sur les ennemis qui se dresseront sur votre route ! Sachez que ce n'est pas tout, puisque ce même pack vous proposera aussi un défi Score, et 12 Trophées supplémentaires à gagner en relevant des défis plutôt variés !

Mais la véritable question est celle du prix. En effet, il est bien beau de voir tant de contenu, mais faudra t'il percer son porte monnaie pour se le procurer ? Sachez que le premier Pack coute 5,99 euros, et que le second Pack coute le même prix ! Mais cependant, il faut savoir que les 4 costumes sont aussi achetables séparément au prix de 1,99 euros. Il faudra donc débourser 12 euros au maximum pour profiter de ce sympathique cadeau de Noël, ce qui est plutôt raisonnable pour ce genre de contenu. Certes, les costumes sont élevés, mais voir Old Snake tout trognon (ou un autre personnage tiré de MGS) parcourir des niveaux MGS créer par vos propres soins grâce à autant de contenu supplémentaire, ça n'a pas de prix !

Alors si le Père Noël à été gentil avec vous en vous offrant quelques petits sousous, que vous posséder une Playstation 3 et Little Big Planet, sans oublier le Online, n'hésitez pas, ce pack vaut vraiment le coup !

Un pack qui laisse espérer des suivants, dont surement un consernant Final Fantasy, puisque Old Snake Sackboy avait été annoncé en téléchargement au Tokyo Game Show 2008 avec Sephiroth Sackboy. Des Packs FF VII à prévoir ? L'avenir nous le dira, mais cela donne sacrément envie !

Sephiroth_Sackboy

Sephiroth Sackboy subira t'il le même traitement avec deux Packs Final Fantasy ? On croise les doigts !

Pour finir cette news, voici une petite poignée de screens pour illustrer le contenu de ces packs, ainsi qu'une vidéo qui vous présente ce contenu, mais en images : Paintinator - Paint of the Patriots, disponible ici sous le serveur de Jeuxvideo.com, et pour la vidéo sous le serveur de Gamekult !

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Paintinator

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A retenir :

- Deux Packs Little Big Planet disponibles depuis Mercredi basés sur l'univers Metal Gear Solid
- Un premier Pack avec les costumes de Old Snake, Meryl, Raiden et Screaming Mantis
- Un deuxième Pack avec des autocollants, des objets, 5 niveaux, et un nouvel élément de gameplay
- Le Paintinator est le nouvel élément de Gameplay, et permet de tirer sur des éléments du décor / ennemis
- 5,99 euros pour chaque pack et 1,99 euros pour chaque costume séparément
- On espère d'autres packs, dont un hypothétique pack Final Fantasy

Sources : Gamekult / Jeuxvideo.com / Live PS3 / Mémé

Voir aussi :

- Fiche Jeu Little Big Planet

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24 décembre 2008

Lecture en streaming - Winter Stories Saison 2

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lire_sur_picassa

Winter Stories - Saison 2

lire_sur_le_blog

Cliquer sur les miniatures pour voir les images en plus grand.

mini_hiver_lapin_blanc  mini_hiver_gibier  mini_hiver_du_flocon  mini_hiver_oiseaux  mini_hiver_no_l  mini_hiver_p_cheur  mini_hiver_esquimau

Scénario : Arnonaud
Dessin : Arnonaud
Colorisation : Arnonaud

21 décembre 2008

Fiche Jeu "Dementium - L'Asile"

Dementium_L_Asile

Dementium_Boitier_Redimention_

Fiche_Technique

Plate-Forme : Nintendo DS

Editeur : Gamecock Media Group

Développeur : Renegade Kid

Type : FPS / Survival Horror

Appartient à la série : Dementium

Date de sortie japonaise : 26 Juin 2008

Date de sortie américaine : 31 Octobre 2007

Date de sortie française : 2 Juillet 2009

Prix au lancement : 30€

Joueur(s) : 1 joueur

Dans le même genre :

- Moon (DS)
- Silent Hill Origins (PSP / PS2)
- Resident Evil : Deadly Silence (DS)

Site officiel

18_ PA206

Informations_Globales

La DS à beau avoir accueillit dans son vaste catalogue de jeux Resident Evil : Deadly Silence, il manquait à la portable à double écran un véritable jeu d'horreur ! Cette erreur est réparée en la présence de Dementium - L'Asile (ou The Ward en version originale), qui n'est pas qu'un simple survival horror, mais aussi un FPS, autre genre qui manque cruellement à la console ! Votre périple cauchemardesque commence lorsque vous vous réveillez dans une chambre d'hospital, sans aucun souvenirs de ce qui s'est passer avant. Mais la véritable question est la suivante : pourquoi êtes vous dans cet hospital, où le personnel n'est pas aussi accueillant que vous auriez pu l'imaginer. Car en effet, dans ce lieu sinistre, réside tapis dans l'ombre des créatures difformes et monstrueuses, qui n'auront qu'une seule envie : vous faire passer de vie à trépas. Le héros que vous incarnez donc va devoir s'aventurer dans ce lieu aux multiples étages à travers 16 niveaux pour découvrir la vérité ... A la disposition du joueur se trouvera une lampe torche, qui éclairera le héros dans les couloirs lugubres de cet antre démoniaque. Mais cette dernière à un inconvénient de taille : vous ne pouvez pas tirer sur vos assaillants quand vous l'avez entre les mains. Il faudra donc plonger dans le noir le plus total et le plus propice à l'angoisse pour vous défendre ... si il vous reste des munitions, car ces dernières ne seront pas évidente à obtenir ! Tout est propice à un climat de terreur, par la vision à travers les yeux du protagoniste (FPS oblige), mais aussi l'ambiance, volontairement malsaine ; renforcée par des graphismes convenables pour une console portable et une bande son où le moindre bruit vous fera sursauter ... Frissons garantis pour une expérience inédite sur Nintendo DS, à savourer seul, le Samedi soir dans sa chambre ; les lumières éteintes, le casque sur les oreilles au volume maximum, et le sol qui grince ... BOUH !

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20 décembre 2008

Fiche Musique "Ozzy Osbourne"

Ozzy_Osbourne

Ozzy Osbourne

Mini_Fiche_Technique

Genre : Heavy Metal Traditionnel

Pays d'origine : Royaume-Uni

Actif depuis : 1981 - Aujourd'hui

Labels : Epic Records

Site officiel

Membres actuels :  Ozzy Osbourne - Vocal
                              Zakk Wylde - Guitare
                              Rob "Blasko" Nicholson - Basse
                              Adam Wakeman - Clavier
                              Mike Bordin - Batterie

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19 décembre 2008

Fiche Manga "Genshiken"

genshiken

fiche_technique

Auteur: Kio SHIMOKU

Editeur France: Kurokawa

Type: Manga

Genre: Humour

Couleur: N&B

Sens de lecture: japonais

Nombre de tomes sortis au japon : 9 (série terminée)

Nombre de tomes sortis en france: 9 (série terminée)

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Le Genshiken, ou club d'étude de la culture visuelle moderne, est un club d'université uniquement composé...d'otakus ! Et c'est dans ce club que Sasahara, jeune 1ere année, hésitant entre le club d'anime et de manga, va s'inscrire ! C'est alors que commence la découverte des actvitées des otakus et du groupe ! Entre Madarame, un otaku maigrichon assez barré, Kosaka, le beau-gosse qui est en faite une hardcore gamer de la plus pur espèce, Kasukabe sa petite amie, non-otaku mais qui traîne avec le groupe et s'étonne devant leurs activitées étranges, Kugayama, un balourd timide et fan de manga et enfin Tanaka, un fan de cosplay et de maquettes, toutes les facettes des otakus passent au peignes fin ! Se joindront a eux d'autres personnages au fil de l'histoire. On suit donc avec délectation l'évolution des relations des différents personnages tout en en apprenant plus sur cette sous-culture otaku, tout ça sur un ton léger et dans des histoires auto-conclusive.

by Arnonaud

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Avis

Attention ! Peut contenir des spoils !

L'avis de Arnonaud : Le manga aborde un sujet original : les otakus ! Un sujet ma foi interéssant et bien géré par le manga ! On prend plaisir à se reconnaître un peu dans les persos (si on est un peu otaku) et à comprendre plus ou moins leur façon de penser tout en découvrant un univers qui n'est tout de même pas le notre (ben oui, c'est le Japon). Avec un dessin plaisant et un ton léger et drôle avec des personnages assez barré (qui a dit Madarame ?) et attachants ! Aucun des otakus n'est laissé en arrière-plan et on prend plaisir à suivre tout au long de la lecture ! Le manga est très bon et je le conseille à tous !

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18 décembre 2008

[News JV] Dissidia disponible au Japon ... et aux USA en 2009 !

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Dissidia disponible au Japon ... et aux USA en 2009 !

ATTENTION : Cette news peut contenir des spoilers sur le contenu secret de Dissidia : Final Fantasy

Ca y ai, la très longue attente des Japonais avides du moindre jeu Final Fantasy, ainsi que celles des fans des autres continents impatients et férus d'import, vient enfin d'être close, puisque c'est aujourd'hui, le 18 Décembre 2008, que sort sur le continent Japonais Dissidia : Final Fantasy, le dernier opus de la cultisme série de Square Enix à sortir sur la fameuse console portable de Sony, la Playstation Portable. Pour l'ocassion, la série s'offre un petit détour vers un genre qu'elle n'avait pas explorée auparavant : le jeu de combat.

En effet, pour célébrer les 20 ans de la série (ou du moins, ce qui était prévu, avant le report d'un an du jeu), Square Enix nous livre ce jeu de baston où la guerre fait rage entre les deux grandes divinités du monde Final Fantasy : Chaos, dieu de la discorde, et Cosmos, déesse de l'ordre, crée spécialement pour le jeu. Leur conflit éternel pour la domination du monde et de la protection / destruction des Cristaux pourrait bien prendre une tournure décisive, puisque le grand méchant du premier Final Fantasy à réussi à prendre le contrôle des fameux objets que l'on retrouve dans chaque épisode, grâce à l'appui de 10 grands méchants. Pour tenter de reprendre le contrôle des Cristaux et de préserver à jamais l'équilibre du monde, Cosmos fait appel à dix valeureux héros pour vaincre les terribles légions de Chaos.

Ainsi, une vingtaine de protagonistes venus de divers Final Fantasy vont se tirer la bourre pour sauver / détruire le monde (selon le camp que vous aurez choisi, même si les gentils ne sont jouables qu'en mode Histoire, il faudra acheter les méchants avant de vouloir jouer du côté obscur de FF), basés sur les 10 premiers Final Fantasy. Au rayon Gentils, on retrouvera donc le Warrior of Light de Final Fantasy I, Firion de Final Fantasy II, le Onion Knight de Final Fantasy III, Cecil Harvey (autant dans sa forme Chevalier Noir que Paladin) de Final Fantasy IV, Bartz de Final Fantasy V, Terra (la seule femme héroine du casting) de Final Fantasy VI, Cloud de Final Fantasy VII, Squall Leonheart de Final Fantasy VIII, Zidane de Final Fantasy IX (et pas le joueur de foot), Tidus de Final Fantasy X et en bonus, un personnage de Final Fantasy XI, Shantotto.

Un sacré casting de gentils, qui vont devoir affronter les pires fléaux des Final Fantasy, tous plus charismatiques les uns que les autres. Des méchants qui répondront à l'appel sous la forme de Garland pour Final Fantasy I, l'Empereur Mateus pour Final Fantasy II, le Cloud of Darkness pour Final Fantasy III, Golbez pour Final Fantasy IV, Exdeath pour Final Fantasy V, Kefka Palasso pour Final Fantasy VI, Sephiroth pour Final Fantasy VII, Ultimecia pour Final Fantasy VIII, Kuja pour Final Fantasy IX, Jecht pour Final Fantasy X, et comme pour les gentils, un dernier perso bonus, qui n'est autre que le Juge Gabranth, provenant de Final Fantasy XII (et non, ce ne sera pas Vayne)

Mais ce qui fait la particularité du jeu, ce n'est pas son casting qui en fera rêver plus d'un, mais son système de jeu plutôt complexe au premier abord : en effet, le personnage que vous contrôlerez possède deux barres d'énergie : la barre de vie, et une barre pour votre force, de même pour votre adversaire. Le but est d'affaiblir un maximum la seconde barre pour que votre opposant n'en est plus assez pour protéger sa barre de vie, et commencer à véritablement lui infliger des dégâts. Pour cela, une seule mais o combien efficace technique : taper sans pitié ! A votre disposition se trouveront aussi des invocations tirés des Final Fantasy pour faire pencher la balance en votre faveur, et mettre la patté à votre ennemi juré ! (le système du jeu sera plus approfondi en détails lors d'une autre news, plus conséquente énumérant toutes les informations connues sur le jeu)

Mais le système de jeu en soit recelle beaucoup d'autres surprises, comme par exemple 25 arènes destructibles et qui s'étendent sur plusieurs étages, des coups surpuissants à activer ... Dissidia Final Fantasy propose aussi une OST regroupant les thèmes marquants de la série, en plus d'une durée de vie estimée à 40h pour finir l'aventure principale et de 100h pour le 100% d'après Famistu (qui a décerner un 36 / 40 au jeu, ce qui n'est pas une mauvaise note du tout !) et de graphismes somptueux pour une console portable (et encore, on vous a pas parler de l'opening du jeu ...)

Alors si l'univers Final Fantasy est votre dada, que l'import ne vous fait pas peur et que vous préférez débourser quelques poignées de sous dans un spin off qui semble de qualité plutôt que dans des économies pour l'un des prochains FF (qui a dit les 4 Final Fantasy XIII ?), n'hésitez pas, vous tenez surement un très bon jeu (d'après les premiers avis, toujours), et l'une des valeurs sûres de la PSP cette année, du moins au Japon ...

Car en effet, il faudra attendre encore un peu pour nous, puisque aucune date n'a été mentionnée pour le moment . En Amérique cependant, Dissidia pointera le bout de son nez à la Mi 2009, comme l'a annoncé aujourd'hui Square Enix ! Alors si vous ne comprenez pas le Japonais, vous savez ce qu'il vous reste à faire, et on espère une sortie vers la Fin de l'année 2009 pour nous !

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Patience, patience, il faudra attendre encore quelques mois avant de pouvoir contrôler le méchant le plus charismatique des FF ! (qui a dit meilleur méchant des JV tout court ?)

A retenir :

- Dissidia : Final Fantasy disponible depuis aujourd'hui ... au Japon !
- Pour célébrer l'anniversaire de la série, Square nous livre un jeu de combat FF sur PSP
- Une vingtaine de persos tirés de quasiment tous les FF
- Possibilité de contrôler autant les gentils que les méchants
- Un système de jeu assez complexe au premier abord
- Une OST reprenant les thèmes cultes de la saga
- Des graphismes impressionants pour une console portable
- 40 heures de jeu à prévoir pour le boucler
- 36 / 40 par Famitsu
- Mi 2009 en Amérique
- Fin 2009 en France ?

Source : Gamekult

Voir aussi :

- Fiche Jeu Dissidia : Final Fantasy
- Galerie Dissidia : Final Fantasy

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