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Pépé & Mémé Corporation - le blog officiel -

17 août 2008

Fiche Manga "Beck"

beck

Auteur: Harold sakuishi

Editeur France: Delcourt

Type: Manga

Genre: Musique

Couleur: N&B

Sens de lecture: japonais

Nombre de tomes sortis au japon : 34 (terminé)

Nombre de tomes sortis en france : 25

Date de parution du prochain volume en france: le volume 26 paraîtra le 13 Novembre 2008

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Beck est un manga qui traite du monde de la musique de manière plutôt réaliste. Yukio Tanaka est un jeune adolescent de 14 ans qui n'à aucun réel but dans sa vie. Il n'aime qu'une chose, c'est Chiemi Kuniyoshi, une petite pop idole. Une soirée va tout changer pour lui cependant, quand une des plus jolies filles du collège, Izumi, invite Koyuki (surnom qu'elle lui a donné) à une partie de bowling. La bagarre qui éclate après cette soirée permettra à Koyuki de rencontrer Ryuusuke un ado rebelle et excellent guitariste. La révélation lui viendra en écoutant un cd de DyBree un célèbre groupe de rock.
Koyuki découvre alors le rock et une nouvelle passion.

Résumé by Yopy

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16 août 2008

[Preview] EXIT DS

EXIT DS - La preview

image_Preview_Exit_DS

Preview réalisé sur la version japonaise du jeu.

Le monde a besoin de héros, de justiciers, pour cela on en a créé des nombreux, très nombreux, et voici l’un deux : Mr.Esc, sa mission ? Faire sortir les gens en danger dans des immeubles en feu, congelés, des bateaux inondés etc. Mais pour réussir sa mission, il a besoin de vous, joueurs. Avec déjà deux jeux a son palmarès, tout deux sur PSP et ayant été plutôt appréciés par la critique (malgré des défauts récurrents), voici le portage du premier opus sur la console la plus répandu du moment, la DS. Voici venu EXIT DS, un jeu de sauvetage qui pourrait virer plus vite que prévu au casse-tête.

 Autant le dire tout de suite, je n’est jamais touché aux versions PSP de EXIT. J’en avais juste entendu parlé. J’ai donc découvert cette série avec l’adaptation DS. Ne vous attendez donc pas trop a des comparatifs entre les deux versions, vu que je n’est lu que quelques bribes et vu quelques screens sur les jeux PSP avant de plancher sur cette preview …Bon donc qu’en est-il de cette version DS ? Corrige t-elle les défauts némésis de la série ou sont t-ils toujours là ? Le stylet offre t-il une jouabilité nouvelle et agréable ? Je vais essayer de vous répondre  dans cet aperçu…

 Tout d’abord, inutile de s’attarder sur le principe, déjà décrit dans l’intro, il faut sauver les gens et les amener à la sortie tout en évitant les dangers dans un temps limité. Le jeu se présente donc comme un jeu de plateforme réflexion. Genre assez rarement vu mais pourtant intéressant. Première chose a faire quand on commence un niveau : regardez la mini map sur l’écran du haut pour connaître les différents danger et réfléchir à comment sortir tout le monde. Pour réussir votre mission vous pourrez jouer au stylet, grande nouveauté de cette adaptation. Autant le dire tout de suite, le jeu est très rigide au stylet et on peine a effectuer exactement l’action qu’on veut du premier coup…Mais c’est après un petit tour dans les menu qu’on s’aperçoit que l’on peut jouer aux boutons, ô grande joie. C’est ce gameplay que votre cher testeur a adopté même si il souffre aussi d’une certaine rigidité. Et c’est certainement ça le plus grand défaut d’Exit, c’est le gameplay rigide. Les déplacements se font à la croix directionnelle ou au stylet (et les déplacements à la croix sont étonnement plus souple qu’au stylet !), tout ce qui se rapporte au saut avec le bouton B, les actions avec le bouton A, courir avec R et donner des ordres au PNJ avec L, Y et X. le jeu offre donc une grande palette de mouvements mais on arrive pas toujours a faire ce qu’on veut. Exemple : je veux faire un saut long (B + côté) et bien vous avez une chance sur trois de le réussir, car soit Mr.Esc fera un saut normal (B), soit il fera un pas vers l’avant (côté), et donc quand on est sur une petite plateforme cela peut se relever fatal. Mais globalement on arrive à progresser dans les niveaux de manière assez fluide même si l’on regrette un gameplay plus souple.

 Vient ensuite les personnes à sauver. Tant que vous ne serez pas passez devant eux, ces derniers passeront leurs temps a gueuler « Nobody, help me ! » ou encore « Help ! » ou autre cris chiants qui vous pousseront a couper le son de votre DS (en plus comme ça, ça use moins la batterie). Une fois passez devant eux, ils se relèverons et seront des précieux alliés ou des boulets, mais il faudra, en tout cas, composés avec eux pour arriver à la fin du niveau. Il a 4 sortes d’alliés : les hommes et femmes, les gros, les gamins et les chiens. Et bien sur, chacun a ses caractéristiques. Les hommes et femmes de base se comporteront un peu comme Mr.Esc et lui permettront d’avoir de l’aide pour pousser deux caisses, ou pourront allez explorer d’autres endroits pendants que Mr.Esc fait autre chose. Mais ils ne pourront pas faire des chutes aussi hautes que Mr.Esc ni sautés d’aussi longue distance. Les gros eux pourront pousser de très grosse caisse, mais feront des sauts minables, et il faudra l’aide de Mr.Esc et d’un PNJ de base pour lui faire monter une haute distance. Les gamins pourront, quand à eux, se faufiler dans des petits endroits mais devront être aidés pour monter et descendre. Et les chiens pourront sauter des grandes distances et se faufiler, mais ne pourront pas utiliser des objets ni monter de trop haute distance ni descendre trop bas. Autant dire, qu’avec les gros, les chiens sont les plus gros boulets. Les PNJ marchent selon deux mode : le mode « Stay Here ! » où les PNJ ne bougeront pas et un mode « Come On ! » où ils suivront Mr.Esc où qu’ils soient, mais seront bloqués quand il ne peuvent pas faire certaines actions naturellement (comme monter ou descendre un escalier). C’est a ce moment là que vous pourrez passez en mode donneur d’ordre avec X. Une fois le bouton pressés vous contrôlez une flèche blanche, appuyez sur Y quand vous êtes sur le PNJ a qui vous donnerez l’ordre et « cliquez » ensuite sur l’endroit où il doit aller ou l’action qu’il doit faire. Ce mode bien pratique vous permettra de faire bouger un PNJ au lieu de tous et de les faire monter les escaliers.

 Exit se révèle donc plutôt prenant, malgré sa rigidité du gameplay et ses PNJ « moules », grâce à un principe plutôt novateur et vraiment sympa et le fait qu’en plus les niveaux se compliquent de plus en plus au fur et a mesure de la progression pour devenir des casses-têtes vraiment intéressants. Le level design des niveaux est vraiment bien. Le jeu vous propose 10 situations (dix mondes si vous préférez) aux environnements variés, dont un consacré au didacticiel et chaque situation est divisés en 10 niveaux/énigmes. Le jeu propose donc au total 100 niveaux (90 si on enlève le didacticiel). Les niveaux sont plutôt court (moins de 10 minutes chacun) et permettent donc de courtes parties (parfait pour une console portable). Et fait intéressant, une fois une situation débloqué, vous n’êtes pas obligés de faire tous les niveaux les un après les autres, vous pouvez zappez un niveau que vous n’arrivez pas pour faire le suivant et ça c’es plutôt intéressant. Surtout que vous aurez plusieurs situations en même temps. Le jeu veut donc que le joueur s’amuse en permanence et ne reste pas bloqué un long moment sur un niveau. Bon toujours est-il que pour progressez dans le jeu il faudra quand même réussir tous les niveaux. Par exemple : il faudra réussir tous les niveaux de la situation 1 pour débloquez les situations 2,3,4,5 et 6. La situation 1 est d’ailleurs un excellent didacticiel et vous présentera efficacement tout ce qu’il faut savoir pour réussir les niveaux. Il faut aussi savoir qu’un niveau se réussi rarement du premier coup, je dirais qu’on passe en moyenne une vingtaine de minutes sur chaque niveau et qu’en plus les plus perfectionalistes essayeront de réussir tous les niveaux à 100% en un minimum de temps. Le jeu assure donc une durée de vie honnête. A noté qu’il est aussi possible de comparer ses scores online.

 Bon maintenant, les musiques, je vais faire bref : elles sont nulles, donc avec les voix crispantes en plus, coupez le son ne sera pas un luxe. Les graphismes quand à eux, tout en 2D sont jolis et la patte graphique originale. Les animations sont très soignées. En gros le jeu est plaisant à regarder, même si elle est en deçà de la version PSP, bien entendu. Autre point, la version japonaise est-elle abordable ? Ben oui, très même. Déjà tous les menus sont en anglais, les voix sont doublées anglais aussi. Le seul problème sera le didacticiel où il faudra fouillé le texte pour trouver les commandes, mais rien de bien gênant, vous trouverez vite comment faire. Et pour finir, quel est l’intérêt de cette version DS de EXIT : ce n’est sûrement pas pour renouveler le plaisir de jeu ni pour découvrir de nouveaux mécanismes. C’est tout simplement de faire découvrir la série aux possesseurs de DS. Donc pour ceux qui auraient déjà les versions PSP, passez votre chemin, par contre tout amateur de réflexion pourrait y trouver son compte sur DS.


BILAN

Graphismes : Un jeu aux graphismes atypiques vraiment sympa ! On prend donc plaisir à jouer dans des environnements toujours variés. Les animations, bien qu’un peu lente, sont très soignées. 16/20

Gameplay : Une maniabilité au stylet plus rigide qu’aux boutons (elle aussi rigide), permettant tout de même un large panel de mouvements. On remarquera des déplacements un peu trop lent et des PNJ qui ont une intelligence d’huîtres. 12/20

Bande Son : Des mélodies vraiment pas top mélangés au « Nobody Help Me » tous les 10 secondes plutôt crispants…Un conseil : coupez le son, seuls les bruitages sont corrects. 5/20

Durée de Vie : Cents niveaux a résoudre, possibilités de choisir n’importe quel niveau dans chaque situation, on peut refaire les niveaux pour augmenter le score et les comparer online. 15/20

Intérêt : Un principe intéressant et un level design varié et bien pensé a difficulté bien dosé pour vous faire remuer vos méninges. 18/20

Points forts :

- Une esthétique forte

- On se prend bien au jeu.

- L’aspect réflexion

- Niveaux variés et plutôt nombreux.

Points faibles :

- Des musiques nulles et des voix crispantes

- Un jeu lent

- Gameplay rigide

- Les PNJ sont des moules …

Note preview (la note n’est faite que sur un aperçu du jeu et non le jeu en entier) : 15,5/20

Cette adaptation de EXIT sur DS est vraiment prenante et amusera tous ceux qui n’ont pas les versions PSP. Pour ces derniers, la version DS est vraiment dispensable, ne révolutionnant en rien la série, vu que le gameplay au stylet est plutôt un échec. Mais cela reste un jeu vraiment bien pour ceux en recherche de casse-tête !

Test rédigé par Arnonaud, merci de respecté le droit d'auteur ainsi que son travail.

16 août 2008

Fiche Jeu "EXIT DS"

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fiche_technique

Plate-Forme : Nintendo DS

Editeur : Square-Enix

Développeur :
Taito Corporation

Type :
Plate-Forme / Réflexion

Appartient à la série : EXIT

Date de sortie japonaise :
24 Janvier 2008

Date de sortie américaine : 30 Septembre 2008

Date de sortie française :
7 Novembre 2008

Prix au lancement :
40€

Joueur(s) : 1 joueur

Dans le même genre :
- Exit (PSP)
- Lemmings (PC / Snes / Nes / PS2 / PSP / PS3)
- Mario Vs Donkey Kong 2 : March of the Minis (DS)

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informations_globales

Retrouvez une nouvelle fois Mr.ESC , le mystérieux justicier au chapeau jaune et à l'écharpe rouge, après deux épisodes sur PSP puis sur Xbox Live Arcade. Cet opus est en réalité une adaptation du premier volume sur PSP, mais DS oblige, la maniabilité à été repenser pour qu'un maximum de fonctions de la console tactile soit utilisé. Le but du jeu est simple : sauvez les personnes en danger dans des immeubles en flammes, congelés, inondés ... et les amenés vers la sortie. Mais n'allez pas croire que votre opération sauvetage sera une partie de plaisir, puisque votre intervention devra se faire dans un certain temps et en évitant de les tuer, voir même tout simplement de vous tuez. Arpentez donc les 100 situations du jeu et résolvez-les. Le sauvetage des innocents en danger pourrait bien se relever plus complexe que prévu, votre cerveau va travailler dur devant les nombreux puzzles et pièges retors qui composent ces niveaux. Qui a dit que le sauvetage de vie était de tout repos ?

arcticles

dossier
Pas de dossier sur ce jeu pour le moment ...

soluce_astuces_tips_codes_guide
Pas de soluce/astuces/tips/codes/guide sur ce jeu pour le moment ...

test
Pas de test sur ce jeu pour le moment ...

news_2
Planning JV : Novembre 2008

Zoom
Aucun zoom sur ce jeu

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1 Preview disponible (Rédigée par Arnonaud)

galerie
Voir la galerie

Vid_os
A venir ...

15 août 2008

Fiche Film "The Dark Knight"

The_Dark_Knight

The_Dark_Knight_Affiche_Redimention_e

Fiche_Technique

Date de sortie Cinéma Française : 13 Août 2008

Date de sortie Cinéma Américaine : 18 Juillet 2008

Réalisateur : Christopher Nolan

Avec : Christian Bale, Heath Ledger, Aaron Eckhart …

Durée : 2h27

Genre : Fantastique / Action

Film américain

Année de production : 2008

Distribution : Warner Bros. France

Compositeurs : Hans Zimmer et James Newton Howard

D'après : le comics de Bob Kane, "Batman"

Titre Original : The Dark Knight

Tous publics

Synopsis

Batman aborde une phase décisive de sa guerre au crime. Avec l'aide du lieutenant de police Jim Gordon et du procureur Harvey Dent, Batman entreprend de démanteler les dernières organisations criminelles qui infestent les rues de sa ville. L'association s'avère efficace, mais le trio se heurte bientôt à un nouveau génie du crime qui répand la terreur et le chaos dans Gotham : le Joker ...

Articles

Critique
1 Critique disponible (Rédigée par Mémé)

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Bande Annonce Format Allociné (Version Anglaise)
Bande Annonce Format Allociné (Version Française)
Bande Annonce Format Ecran Large (Version Anglaise)

Galerie
A venir ...

DVD
[News DVD] The Dark Knight : une date Française pour le DVD et le Blu-Ray !
[Rumeur DVD] The Dark Knight : 4 éditions de prévues ?
[News DVD] Blu Ray : Les coffrets de la fin d'année 2009 !
[News DVD] Blu Ray Warner : Noël ... après l'heure !

Autres
[Playlist Ciné] Rétrospective Cinéma 2008

15 août 2008

[Critique] The Dark Knight

The_Dark_Knight

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Critique

Introduction :

3 ans, oui 3 ans, c’est ce qu’il a fallu aux fans de Batman pour attendre la nouvelle suite des aventures du justicier de Gotham City sur grand écran, suite à un Batman Begins qui a remit le héros sous les feux de la rampe, après deux épisodes désastreux à son actif. 3 ans d’attente, 3 ans de spéculations, 3 ans d’impatience, de craintes … Toujours dirigé par la même équipe et accompagné de nouveaux acteurs dans son casting, The Dark Knight est il la suite impressionnante et titanesque présagée ? S’impose t’il comme le meilleur Batman, voir le meilleur film de super héros ? Film prestigieux ou pétard mouillé a ajouté à la liste noire des mauvaises suites ? Toutes les réponses se trouvent dans cette critique, et ce sans plus tarder !

Critique :

Batman et le cinéma, c’est une longue histoire. En effet, le héros au costume de chauve souris commença son escapade sur le grand écran en 1989, dans un film sobrement appelé Batman. Réalisé par Tim Burton, le film eu un très bon succès critique, allant même jusqu’à être qualifié de culte. En 1992, Burton récidiva l’expérience avec une suite, Batman le Défi, qui fut elle aussi très appréciée et encore une fois qualifiée par certains d’œuvre culte. Cependant, une petite tache vint gâcher le tableau de la carrière de Batman au cinéma en 1995, lors de son troisième film : Batman Forever. Trop éloigné du comics dans son ambiance (Désormais plus seventies, plus kitch, plus colorée), le film de Joël Schumacher fut un désastre, mais cela n’empêcha pas une suite d’arriver en 1997, encore une fois par le même réalisateur : Batman et Robin. Et là, ce fut la goutte qui fit déborder le base, car le côté plus « funky » (Pour mâché les mots) était encore de retour, ponctué de répliques débiles et j’en passe. Le film fut un coup dur pour la série, qui fut ringardisé, mais aussi pour l’industrie du film de super héros, qui en pris pour son grade.

Et pourtant, en 2005, un homme, Christopher Nolan, décide de relever le défi de remettre Batman sur le devant de la scène, de faire table rase du passé et de profiter du boum des films de super héros (Inauguré par Blade, même si il fallu attendre Spider Man pour que tout cela prenne une ampleur plus énorme) pour dépoussiérer le mythe. Batman Begins, c’est le nom de ce projet, et lorsque celui-ci arriva sur les écrans, les avis furent quasi unanime : Batman est bel et bien de retour. Nolan a en effet réussi à redonner du poil de la bête à la franchise, en nous livrant un film qui prend le temps de poser les bases, de s’attarder sur les personnages et de les développer. Ajoutant à son compte une histoire plutôt profonde et un très bon jeu d’acteurs dans son ensemble, ainsi que d’autres qualités, Batman Begins est ce que l’on appelle communément une réussite.

Il est donc peut surprenant de savoir qu’une suite fut mise en préparation peu de temps après, encore une fois réalisée par Nolan. Le projet se fit attendre, les rumeurs allaient de bon train, chacun allant à sa propre idée du projet, et il fallu attendre 3 ans pour que The Dark Knight, la dernière aventure du chevalier noir en date au cinéma, daigne enfin à sortir ! Attendu par une énorme communauté de fans comme la messie, qui devenait de plus en plus grande au fil des images et des bandes annonces spectaculaires et alléchantes, le film ne devait pas décevoir, là où certaines suites se sont malheureusement brûlées les ailes à force d’ambition. De l’ambition, il y en avait dans The Dark Knight, mais la question est bien évidemment de savoir si oui ou non, le projet méritait il tant d’engouement à son égard et si la qualité est elle encore au rendez vous ? Quand est il finalement ? Et bien c’est ce qui va vous être décrit lors de cette critique !

Commençons par le point qui fit la force de Batman Begins, et qui se doit d’être un minimum intéressant et réussi dans un film pour captiver le spectateur, il s’agit bien évidemment du scénario. L’histoire reprend donc là où Batman Begins s’est arrêté, soit après que la menace de Ra’s Al Ghul ait été neutralisée par le justicier en costume noir. Batman, aidé de l’inspecteur Gordon et de Harvey Dent, le nouveau procureur de la ville ; est sous le point de démanteler les quelques organismes criminels restant à Gotham City, quand une menace bien plus dangereuse, bien plus folle va faire son apparition dans la ville pour y répandre le chaos et la violence : le Joker, le terrible psychopathe au manteau violet. La bataille entre le justicier de Gotham et son pire ennemi ne fait que commencer, d’autant que le vil personnage semble avoir plus d’un tour dans son sac …

En dire plus sur le scénario de The Dark Knight serait un crime, car celui-ci réserve son lot de surprises et de rebondissements ! En effet, il s’avère que comme Begins, le nouveau Batman de Nolan est très riche en ce qui concerne son scénario, et multiplie les éléments clés qui relancent l’histoire à une vitesse folle. Difficile de s’ennuyer devant un tel scénario, d’autant que celui-ci réserve quelques éléments plutôt surprenant, du moins ; venant de la part de ce genre de production. Aucun élément n’est laissé au hasard, tout est parfaitement huilé, tel élément qui semble anodin au premier abord prend toute son importance à un moment ou à un autre dans le film. De plus, le scénario se veut crédible dans ses situations, il n’y a pas de grand guignol dans les scènes d’actions ni de super pouvoirs à en crever l’écran avec des effets spéciaux surutilisés, ça se veut réaliste, et c’est tant mieux. Pour finir sur ce point, il faut savoir que l’histoire est plutôt sombre, elle dépasse le simple scénario de combat entre le héros et le méchant, et prend une envergure plus policière, plus obscure, et nettement plus intéressante !

Passons désormais à un point qui intéresse les fans de l’œuvre mais aussi pour ceux qui attendent une adaptation correcte : la fidélité du film vis-à-vis du comics. Et là encore, c’est du réussi. A l’image de Begins, les grandes lignes de la série de comics sont reprises, les principaux personnages et les lieux aussi. On retrouve donc Gotham, ses gentils, ses méchants, fidèlement retranscrit sur la majorité des points, mais cependant, comme dans le précédant film, certains aspects de l’histoire du comics sont revus pour devenir plus réaliste, plus vrai. Ainsi, les origines de certains personnages ou l’apparence d’autres personnages sont revues. Les plus fans chipoteront, mais cela ne gêne pas le moindre, puisque cela ajoute de la crédibilité au film. Rassurons tout de même les non initiés : le film se veut tout de même accessible à ceux qui n’ont jamais lu un comics de Batman ou qui ne se sont jamais renseignés sur l’univers. Un bon point là encore.

Les personnages justement, parlons en ! L’un des rares défauts que l’on pouvait reprocher à Batman Begins était le fait que certains personnages étaient mis à l’écart par rapport au reste (L’Epouventail en a principalement pâti dans Batman Begins, au profit du fameux héros, même si c’est compréhensible, le film étant concentrer sur la genèse du personnage de Bruce Wayne). Et là, oh grand bonheur, l’erreur est corrigée, puisque tous les personnages sont exploités à leurs maximum, et ont tous leurs importances dans l’histoire. Que ce soit Rachel, Alfred, Lucius Fox, Gordon ou un autre second rôle, chaque personnage à son moment de gloire, et ajoutent de la profondeur au récit. Certes, Batman reste l’un des personnages les plus importants du film, même si Harvey Dent à tendance à avoir autant, voir plus, d’importance dans ce film que le héros en lui-même, car les thématiques du film tournent énormément sur son personnage, ainsi que sur un autre aspect de sa personnalité, Double Face ; mais il est important de constater que Nolan a enfin réussi le parfait mélange entre ses protagonistes. Cependant, un autre personnage sort du lot, et pour plusieurs raisons …

En effet, si il y a bien un personnage que le spectateur retiendra forcément après la vision du film, c’est le Joker ! On en attendait beaucoup, et autant l’avouer, on n’est pas déçu, loin de là ! Le pire ennemi de Batman est extrêmement bien retranscrit à l’écran, que ce soit par son maquillage, ses vêtements, sa personnalité … Question fidélité sur l’apparence du méchant, on est servi. Il fallait un acteur d’exception pour incarné l’un des meilleurs méchants de l’histoire de la bande dessiné, et fort est de constaté que après vision, il est difficile d’imaginer meilleur que le regretté Heath Ledger. Fou, pervers, manipulateur, diabolique, sadique, vil, drôle, charismatique, classe, le Joker de Ledger est de tout cela, et même plus : il est le Joker. A chacune de ses scènes, le spectateur est sidéré : tantôt perfide et inquiétant, il peut basculer à n’importe quel moment dans un registre d’humour noir et de mimiques proche du clown. Insaisissable, le personnage l’est fortement. Sa personnalité est très travaillée, son but aussi, ses répliques fortes (Certaines de ses répliques sont d’ailleurs déjà cultes), son jeu inimitable … Il est le piller central du film, mais aussi l’intérêt premier du film, et c’est ce qui fait du Joker de The Dark Knight l’un des meilleurs méchants du genre, voir du cinéma en général. Cependant, n’ayant pas encore vu la prestation de Jack Nicholson dans le Batman de Burton et sachant que toute comparaison serait futile entre les deux Joker (Car jouant sur un aspect différent de la personnalité du méchant), je ne m’avancerai pas quand à savoir qui est meilleur que l’autre.

Mais attention, limiter le film à la simple prestation du Joker serait mal venu, puisque le jeu des autres acteurs n’est pas en reste. (Et l’intérêt du film n’est pas que là non plus) Christian Bale est toujours aussi bon dans son rôle de Batman, Michael Caine joue encore très bien Alfred, Morgan Freeman reste aussi excellent que dans Begins dans son rôle de Lucius Fox, Gary Oldman est juste dans son rôle de l’inspecteur Gordon … Mais deux rôles sont tout de même à souligner : celui de Rachel, car ce n’est plus Katie Holmes qui joue l’amoureuse de Bruce Wayne mais Maggie Gyllenhaal, et qui joue plutôt bien (Holmes était moyenne dans son rôle) ; mais surtout celui de Aaron Eckhart, très crédible dans son rôle de Harvey Dent qui bascule petit à petit dans le mauvais chemin, et nous livre quelques moments dramatiques plutôt forts. Là encore, Nolan sait choisir son casting !

Abordons désormais le rythme du film. Et là encore, c’est la claque. Batman Begins prenait le temps de poser les bases (Parfois même trop), le rythme était plutôt lent, soit tout le contraire de The Dark Knight. Maintenant que les bases et les personnages sont posés, l’histoire peut vraiment commencer, et démarre en trombe dès les premières secondes. La scène d’introduction pose en quelques secondes les bases de l’histoire, présente celui qui fera le gros de l’intrigue, et le rythme ne s’arrêtera pas avant la fin. En une demi heure le spectateur connaît tous les nouveaux personnages, il a les enjeux de base du scénario devant lui. Et au fil que l’histoire va avancer, le rythme va s’accélérer, va augmenter en profondeur, ne va plus lâcher le spectateur. Le film monte crescendo, et nous livre ses meilleurs moments vers la fin. On ne voit pas les 2h27 passer, et on sent réellement lors de la vision de The Dark Knight que Batman Begins n’était qu’une introduction, et que ce film là était vraiment ce que Nolan avait en tête depuis le début de son projet !

Autre point qui avait fait défaut dans Batman Begins et qui se retrouve corrigé dans The Dark Knight, il s’agit des scènes d’actions ! Pas très claires et manquant d’aspect vraiment spectaculaire (Malgré une première scène d’action et un combat final sympathiques), les scènes d’actions de Begins étaient la bête noire du film. The Dark Knight réussi enfin à nous offrir cela, soit des scènes d’actions bien filmées et enfin totalement lisibles ; mais aussi avec un souffle spectaculaire très présent. Car en plus de proposer une double portion de méchants, d’enjeux et de profondeur, ce nouveau Batman nous offre deux fois plus d’action, sans pour autant tomber dans l’outrance au profit du développement de l’intrigue. Le mixt des deux est extrêmement bien géré, et certaines scènes sont vraiment très bonnes, à l’image d’une poursuite en véhicule en ville ou de la confrontation entre le Joker et Batman. (Pour ne citer que ces scènes là)

Comme décrit précédemment, le film ne se contente pas de nous livrer de l’action, il nous offre aussi des scènes vraiment très fortes parfois, que ce soit au niveau des enjeux ou de la profondeur. Comme l’état d’esprit du Joker, on peut passer d’une scène d’action à une scène drôle (Car n’aller pas croire que le film est totalement noir, il y a de l’humour, quelque fois noir d’ailleurs), et d’un coup se retrouver devant une scène dramatique capitale pour la suite. A ce titre, il n’est pas rare de se retrouver parfois pris dans le feu de l’action : certaines scènes sont très fortes, et laisse parfois de froid devant une ambiance parfois oppressante.

Le film ne s’arrête pas là dans la liste de ses qualités, et nous propose comme énuméré vaguement précédemment une profondeur qui rend cette œuvre nettement plus intéressante que le reste des films de super héros. Ici, pas de super héros gentil qui sauve tout le monde à la fin. The Dark Knight, c’est l’histoire d’un héros sombre, à problèmes, tourmenté. C’est une thématique principale basée sur les enjeux et ce qui s’en suit, le choix entre tel élément et un autre. C’est aussi un parallèle avec la corruption, la folie, l’injustice, la vengeance, les responsabilités, la notion réelle de bien et de mal (Qui au final, n’existe pas) … Un film très travaillé sur ce point là, ce qui fait plaisir à voir venant de la part d’un blockbuster et d’un film de super héros !

Que dire d’autre, si ce n’est que les effets spéciaux sont très réussis pour la plupart (Le visage de Double Face est extrêmement bien fait, je n’en dis pas plus. On regrette cependant deux trois effets un peu trop visibles, mais on passera très facilement dessus) que beaucoup de répliques sont très intéressantes (Certaines sont même quasiment déjà cultes, comme dit précédemment), que la musique est réussie (On retrouve d’ailleurs beaucoup de musique de Batman Begins) et que le film se doit d’être vu absolument en version Originale. En effet, je tiens à finir sur ce point : la version Originale est exceptionnelle, et joue beaucoup dans l’intensité et la crédibilité de certaines scènes. Si vous avez l’occasion de voir le film en VO, n’hésitez pas, vous perdriez plus des trois quarts de l’intérêt du film à le voir en VF (A mon sens)

Alors, The Dark Knight est il parfait ? Et bien il faut le reconnaître : oui, The Dark Knight est une réussite complète ! Le film de Nolan tient toutes ses promesses, voir même plus, est maîtrisé de fond en comble, aucun détail n’y échappe, le jeu d’acteurs est très bon, le Joker est phénoménal, le scénario est très bien construit, le film est profond, riche, sombre, c’est prenant, c’est parfois impressionnant … Là encore, il est difficile de décrire aisément ce que l’on ressent lors de la vision de ce film, car l’expérience est quasiment unique. C’est tout simple : The Dark Knight est à ce jour la meilleure adaptation de Batman au cinéma et le meilleur film de super héros fait à ce jour (Voir même plus). Nolan signe un chef d’œuvre, et il sera très difficile de passer après dans le genre et de faire mieux ! Alors … Why so Serious ?

Les + :

- Le Joker, exceptionnel sur tous les points
- L’histoire, parfaitement maîtrisée
- La fidélité du film vis-à-vis du comics, bel et bien présente
- Les personnages, travaillés et tous essentiels
- Le rythme du film, très bien équilibré
- Les scènes d’actions, plus visibles et plus impressionnantes
- La profondeur du film, extrêmement bienvenue

Les - :

- Rien, le film est excellent sur tous les points
- Rien, The Dark Knight est juste parfait
- Rien, je suppose que vous avez compris pourquoi …

Conclusion :

The Dark Knight est le genre de suites que l’on aimerait voir plus souvent : une suite qui tient toutes ses promesses et plus encore, et qui arrive à surpasser le film précédent avec une aisance déconcertante ! Plus profond, plus ambitieux, plus dynamique, ce nouveau Batman détruit toute la concurrence sur son passage : disposant d’un scénario calculé au millimètre prêt et bourré de rebondissements et de personnages travaillés, le film se permet de nous offrir sur un plateau un casting cinq étoiles au sommet de sa forme, dont un Heath Ledger gargantuesque dans le rôle du Joker, nous offrant l’un des meilleurs méchants du genre, pour ne pas dire le meilleur. On retiendra aussi un rythme nettement plus efficace, des scènes d’actions plus visibles et plus impressionnantes, une profondeur encore plus présente et plus efficace que Begins et surprenante venant de ce type de film … La liste des qualités est encore loin d’être complète, tant le film à des choses à revendre. Impressionnant, dramatique, palpitant, prenant, parfois drôle même, The Dark Knight est un film exceptionnel, et se place directement comme étant la meilleure adaptation de Batman au cinéma à ce jour et le meilleur film de super héros depuis la création du cinéma. Il sera difficile de passer derrière, et de faire mieux, car The Dark Knight est ce que l’on appelle plus communément un chef d’œuvre. A voir et à revoir autant de fois que possible, et en VO de préférence. Le meilleur film de 2008, et de loin !

Note : 10/10

Critique rédigée par Mémé, merci de respecter les droits d'auteur et de ne pas copier cet article sans l'autorisation de son auteur.

Critique rédigée le : 14/08/08

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14 août 2008

Lecture en streaming - Pépé & Mémé Corporation épisode 3 : les lagoninjas

couverture

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Pépé & Mémé Corporation - Episode 3 : Les lagoninjas

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Scénario : Arnonaud
Dessins : Arnonaud
Colorisation : Arnonaud

13 août 2008

fiche Manga "Eye Shield 21"

fiche_technique

Auteur: Yusuke Murata, Riichiro Inagaki

Editeur France: Glénat

Type : Manga

Genre : Shonen, Sport, Humour

Couleur: N&B

Sens de lecture: Japonais

Nombre de tomes sortis au japon : 30

Nombre de tomes sortis en france : 20

Date de parution du prochain volume en france: le volume 21 paraîtra le 22 Octobre 2008.

r_sum_

Un petit Résumé Manga News pour mettre en jambes XD :

Difficile de se faire respecter quand on est depuis toujours le souffre-douleur de ses camarades ! Sena le sait bien, lui qui est constamment chargé de faire le " coursier " pour tous ceux qui le briment. Pour cette rentrée scolaire, Sena veut tourner la page et se décide à rentrer dans un club. Malheureusement pour lui, il croise le chemin de Hiruma, le responsable du club de football américain, un être psychotique prêt à toutes les combines pour faire rentrer des joueurs dans son club. Lorsqu'il découvre que Sena est doté d'un jeu de jambe hors du commun, il décide de jeter son dévolu sur le pauvre garçon. Et ils n'ont pas intérêt à tarder de recruter les onze autres joueurs manquants pour former une équipe, car le début du championnat inter lycéen débute... dans 24 heures !

by Manga News

On peut se demander ce que fait un manga sur le football américain en France, car même si au Japon se sport est plutôt connu, ici en France, c'est plutôt un territoire inexploré. Glénat a donc pris un assez gros risque quand il a sortit ce manga de sport phare au Japon. Bien lui a pris, car il est en fait très interessant de suivre les matchs de Football Américain même quand on ne connaît rien à ce sport ! Les auteurs nous livrent donc un Manga plutôt bon avec des matchs dynamiques et une bonne dose d'humour !

by Arnonaud

12 août 2008

Fiche Manga "Air Gear"

fiche_technique

Auteur: OH ! Great

Editeur France: Pika Edition

Type Manga

Genre Shonen, Sport, Action

Couleur: N&B + pages couleurs

Sens de lecture: Japonais

Nombre de tomes sortis au japon : 25 (en cours)

Nombre de tomes sortis en france : 15 (en cours)

Date de parution du prochain volume en france: le tome 16 paraîtra le 1er Juillet 2009

r_sum_

L'Air Treck est un sport qui consiste a chaussé des rollers à moteur et à deux roues qui permettent des sauts fantastique. Ikki jeune chef d'un groupe de voyou se fiche complétement de ce sport, mais lorsque qu'il bat un groupe rival, il se retrouve mélé à ce sport. En effet le groupe rival, pour se venger, à fait appel à un gang d'Air Treck, les Skulls Saders. Ikki constate en ce battant face à eux que les fameux rollers donne un avantage physique considérable. C'est alors que les quatres soeurs avec lesquels il cohabite décide de l'initier à l'Air Treck. Et bien sur, comme tout manga qui se tient, il se trouve qu'Ikki aurait un don inné pour ce sport. Il rencontrera donc plein d'adversaires et d'amis haut en couleur.

Résumé by Arnonaud

les_tomes

Manga - Manhwa - Air Gear Vol.1  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.2  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.3  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.4  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.5  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.6  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.7  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.8  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.9  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.10  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.11  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.12  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.13  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.14  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.15  Manga - Manhwa - Air Gear Vol.16(sortie le 1er Juillet 2009)  tome 17 - sortie le 8 Septembre 2009

actualit_

plannings_les_sorties_mangas
- Les sorties mangas N°2 : Mai 2009
- Les sorties mangas N°4 : Juillet 2009

Avis

Attention ! Peut contenir des spoils !

L'avis de Arnonaud : Air Gear est un shonen de sport assez particulier part son sport qui n'existe pas, l'Air Treck. Doté de dessins somptueux, d'action effrénés lors des matchs, d'explications faussement logiques comme on aime tant et de filles à la plastique irrésistibles (on rapelle qu'Oh! Great a aussi fait Enfer et Paradis, ce qui peut expliquer ce goût pour les "belles plantes"), le manga est vraiment pas mal. Il est en plus doté d'une bose dose d'humour et suivre les aventures Ikki et compagnie se rélève vite passionniant. Un grand manga du Shonen Magazine Weekly qu'on prend plaisir à lire.

11 août 2008

[Test] Kirby Mouse Attack

Test de
Kirby_Mouse_Attack

image_test_Kirby_Mouse_Attack

I- Introduction :

Kirby est de retour ! La célèbre boule rose qui mange tout ce qui se trouve sur son passage à décider de faire son come back sur la fameuse console à doubles écrans de Nintendo, la Nintendo DS (ou Nintendo Dual Screen). Attention cependant, si vous vous attendiez à un épisode qui révolutionne le genre (et surtout la série), croyez moi, vous allez être déçu. Vous mourrez d’envie de savoir pourquoi ? Est-ce que malgré cela, le jeu est il bien ? Pensez vous que Marcel va finir ses choux de bruxelles ? Toutes les réponses à vos questions sont dans ce test ! (Enfin, sauf celle de Marcel, lui on le laisse… Quoi vous voulez une réponse ? Il ne va pas finir ses choux de bruxelles. Voila content ? )

II- Test :

Un Kirby « originel » …

Voici l’écran titre du jeu. Appuyez sur START et vous aurez accès au menu (logique…)

Non, je n’est pas fais de faute d’orthographe à mon titre de paragraphe, c’est bel et bien un Kirby originel, et non pas un Kirby original. Pourquoi je vous dis ça ? Par ce que je ne vais pas aller par 4 chemins, je ne vais pas m’aventurer dans des longs paragraphes pour vous expliquer une chose que je pourrais vous expliquer en une phrase… Kirby Mouse Attack est un Kirby classique ! Pourquoi je vous dis ça maintenant, et pas dans le paragraphe des défauts ? Oh, juste par ce que je veux mettre les choses au point tout de suite. Si vous vous attendiez à retrouver l’originalité de Kirby et le Pinceau du Pouvoir (la première aventure de Kirby sur DS), vous allez être déçu, et encore plus déçu si vous attendiez du renouveau dans les jeux de plates formes. Disons que ce nouveau Kirby sur DS revient plus vers les opus sortis sur GBA (Nightmare in Dreamland et The Amazing Mirror). Ce retour aux origines de la célèbre boule rose à son lot de points forts, mais renoue aussi avec les points faibles de la série. Mais attention, ce n’est pas pour autant que le jeu est mauvais, loin de là… Classique, certes, mais divertissant.

Un scénario vraiment stupide…

Et dire que c’est à cause d’un goûter que Kirby va sauver le monde…

« Un début d’après midi à Dream Land… Tout est si calme que même les nuages sont assoupis. Et voilà venu le moment dont Kirby raffole : le goûter ! Le délice du jour est une alléchante part de gâteau à la fraise ! MIAM ! Hé ! Le gâteau que Kirby allait manger a disparu ! Un délicieux gâteau à la fraise, si doux, si sucré… C’est un coup de ce vorace Roi DaDiDou ! Aucun doute ! Il faut récupérer le précieux gâteau ! En route ! Ainsi débute la nouvelle aventure de Kirby… »

Voila en gros le scénario de Kirby Mouse Attack (d’ailleurs, j’ai repris le synopsis qui est écrit dans la notice, ne vous étonnez pas qu’il soit pareil, dès fois que vous auriez, ou que vous comptez, acheter le jeu). Vous pensiez que Nintendo avait touchez les baffons du scénario niaiseux avec la série des Mario Party ? Et bien là, je crois que la palme d’or du scénario le plus niais revient à ce jeu. En effet, à cause d’une tarte au fraise, Kirby va, inconsciemment, sauvez le monde de la terrible menace que représente la Squeak Squad (composé de Daroach, Spinni, Storo et Doc) et se lancer dans une chasse aux trésors. Oui, c’est totalement niaiseux et stupide, mais que voulez vous, le plaisir d’un Kirby n’est pas dans son scénario, loin de là… (Et c’est d’ailleurs l’un des gros points faibles de la série Kirby, mais bon, faut pas trop attendre grand-chose d’un jeu de plates formes question scénario…)

Kirby, master of disguise…

Kirby, le fervant défenseur de la paix et des tartes aux fraises…

Derrière cette référence à un autre jeu Nintendo (mais qui est beaucoup moins bon d’après ce que j’ai lu), se cache un paragraphe sur le gameplay, ainsi que les spécificités de la boule rose. Le gameplay est vraiment simple, tout comme la prise en main. Kirby avance avec la croix directionnelle, et saute avec A. C’est tout simple, mais si vous connaissez un peu la série des Kirby, vous savez que Kirby à quelques particularités. Tout d’abord, Kirby peut flotter dans les airs si on continue d’appuyez sur le bouton A quand on vole, et pour redescendre, on appuie sur le bouton B (Kirby recrachera l’air qu’il a avalé, ce qui est ma foie fort pratique si cela touche un ennemi, car ça fait des dégâts figurez vous !) Parlons en justement du bouton B ! Le bouton B est très utile, voir carrément indispensable. En effet, en appuyant sur B, vous aspirez l’air… et tout ce qu’il y a autour de vous. Pratique pour se débarrasser des ennemis. Et oui, car Kirby est quasiment inoffensif sans sa glissade (que l’on effectue en appuyant sur A, B ou Y et la direction Bas en même temps) et son crachat de bouffée d’air. Mais alors, comment survivre ? Et bien c’est là que la fonction du bouton B prend tout son intérêt : si vous aspirer un ennemi, vous aurez deux choix. Le premier est de le recracher : vous cracherez alors une étoile qui fera des dégâts aux ennemis qui auront le malheur de se la prendre en pleine face. La seconde solution est d’avaler l’ennemi, pour ensuite s’accaparer de son pouvoir (si l’ennemi en a un, car il y a des ennemis « pièges », soit ils n’en ont pas, soit il vous font des dégâts quand vous les aspirer.

C’est ce qui s’appelle avoir une haleine fraîche…

Mais ces pouvoirs ne vous aideront pas qu’à vous défendre : ils vous aideront à franchir des obstacles et récupérer des coffres (mais j y reviendrais plus tard sur ces coffres). Un sol meuble vous barre la route vers une Maxi Tomate ? Transformez vous en Kirby Animal (le costume de Taupe), creusez et à vous la Maxi Tomate ! Des pics bloquent l’accès à une vie ? Transformez vous en Kirby Metal, passez à travers les pics (car grâce à cette transformation, vous devenez quasiment invincible) et récupérez la vie ! Vous voulez avoir un maximum de pouvoirs pour battre le boss du monde ? Transformez vous en Kirby Bulle, et enfermez vos ennemis dans vos bulles pour les transformer en leur pouvoir. La mèche d’un canon qui vous emmène vers un coffre est éteinte. Transformez vous en Kirby Feu et allumez la ! Une touffe d’herbe sur votre passage cache un item ? Transformez vous en Kirby Epée et coupez là. Le chemin est barré par de la lave ? Transformez vous en Kirby Glace et soufflez votre haleine fraîche pour vous frayez un passage sur la lave. Vous êtes dans un niveau mécanique et des tonnes d’ennemis vous gênent ? Transformez vous en Kirby Etincelle et vous verrez, vous n’en reviendrez pas de votre potentiel de destruction (bien sur, il est moins puissant si vous êtes dans un niveau normal). Au total, 25 transformations sont disponibles (dont deux secrètes), offrant ainsi une multitude de possibilités pour finir un niveau ou trouver les coffres.

Un exemple du menu explicatif des pouvoirs, disponible si vous appuyez sur START

Avant de passer à la suite, j’aimerais vous préciser encore deux ou trois petites choses. Premièrement, une fois que vous vous êtes transformez (grâce au pouvoir de l’ennemi avaler), le bouton B permet d’utiliser une faculté de ce pouvoir, et non plus aspirer. Deuxièmement, un pouvoir ne produit pas la même chose qui vous appuyez sur une direction lors de l’attaque (avec le bouton B, je le rappelle). Pour découvrir toutes ces subtilités, il suffit d’appuyez sur START et de consulter les informations (quasiment chaque pouvoir possède une capacité cachée, à vous de les trouvez). Pour finir, sachez que vous ne pouvez avoir que 5 pouvoirs au maximum dans votre estomac (qui est symbolisé par l’écran du bas), tachez de vous en souvenir et d’utiliser cette contrainte à votre avantage.

Kirby et l’île aux trésors…

*chante* Il pleut bergère, rentre tes roses Kirbyyyyy *arrête de chanter*

Justement, parlons en de ces possibilités de fin de niveau et des coffres (puisque je ne fais que d’en parler depuis tout à l’heure). Il y a deux possibilités pour finir un niveau : la manière simple et la manière plus compliquée.

Kirby qui flotte (noter le jeu de mot, vu l’endroit…), ou la méthode pour finir un niveau par un flemmard…

La toute première est la plus simple (comme je l’ai dis) : vous avancez dans le niveau jusqu’à l’arrivée, en combattant les ennemis et en récupérant les items. Si vous optez pour cette solution, j’ai le regret de vous annoncez que le jeu ne tiendra pas long feu. En effet, si vous planez tout le long du niveau (en appuient à répétition sur le bouton A, je le rappelle), forcément vous éviterez quasiment tout les obstacles et vous n’aurez quasiment rien à faire. Ce n’est pas franchement amusant (du fait qu’il n’y a pas de réel challenge si vous utilisez cette solution), et en plus ça écourte le jeu.

La chasse au trésor selon Kirby : prenez une combinaison de Taupe super kawai et creuser !

La deuxième (et dernière solution) est un peu plus complexe que l’autre. Et c’est là que les coffres interviennent. Je m’explique : la deuxième manière de finir un niveau est de le finir en trouvant tous les coffres du niveau. Cette solution vous permettra de finir le jeu à 100% Mais n’aller pas croire que c’est aussi simple ! En effet, les coffres sont assez bien cachés. Si vous vous trompez de chemin, tant pis pour vous, il faudra recommencer le niveau plus tard. Le second problème vient du fait qu’il faut parfois un pouvoir précis pour pouvoir obtenir un coffre. Il faut donc avoir le bon pouvoir au bon moment, sachant que le nombre de coffres va de 1 à 3 par niveau. Bien sûr, vous pourrez revenir dans le niveau une fois que vous l’aurez finit, ne l’oubliez pas.

Tremblez d'effroi, tremblez de froid, la voici... non ce n'est pas Karaba la Sorcière, mais la Squeak Squad au complet !

Le troisième problème vient de la Squeak Squad. En effet, ces rongeurs ne vous laisseront pas récupérez aussi facilement le dernier trésor du niveau (qui est le gros coffre bleu). Une course poursuite commence dès lors, et vous devrez être le plus rapide, sinon vous pourrez dire adieu au coffre dès que le membre de la Squeak Squad rentrera dans son repaire et le fermera pour toujours. Comme si une course poursuite n’était pas si simple normalement, vous trouverez généralement des obstacles sur votre route tels que des portes à ouvrir ou des toutes petites souris hargneuses répondant au doux nom de Squeaker qui n’hésitent pas une seconde à vous donnez du fil à retordre en vous envoyant des bombes. Bien sûr, il y a des raccourcis, mais encore faut il avoir le bon pouvoir pour les trouver. Les rencontres avec le membre de la Squeak Squad (vous rencontrez soit Doc., soit Spinni, soit Storo, jamais Daroach. Normal, c’est le leader) peuvent aussi prendre la forme de duel. Pour finir sur les rencontres avec la Squeak Squad, sachez que même si le scélérat qui vous a piquer votre coffre (il peut aussi vous piquer les autres coffres que vous avez sur vous, il suffit qu’il vous touche et vous le perdrez), vous pouvez rentrer dans sa tanière avant qu’elle se ferme, et tentez de le battre.

Un estomac ma foie bien garni…

Enfin, sachez aussi que votre estomac peut se révéler être un gros problème pour votre collecte de coffres. Non, vous n’allez pas avoir d’indigestion, ni de problème gastriques si vous ne finissez pas le niveau à temps, mais c’est que le contenu de votre ventre est limité, comme je l’ai dis plus haut ! Vous ne pouvez contenir que 5 choses dans votre ventre (pouvoirs, objets, vies et coffres). Une contrainte qui peut se révélée être un enfer, surtout quand vous avez réussi à récupérer un coffre volé par la Squeak Squad ou un coffre bien caché, et que vous ne pouvez pas le récupérez, à cause de votre estomac. Beaucoup de contrainte, mais qui offre un challenge intéressant, en vue de la difficulté du soft…

Des bonus à gogo…

Youpi, c'est la fête à la grenouille, trois trésors de plus pour Kirby ! (pour information, vous n'hallucinez pas, il y a bien trois Kirby... non ne sortez pas l'alcooltest, puis ce que je vous dis que c'est pas la peine...)

Mais c’est bien beau de parler de ces coffres, mais mise à part offrir un bon challenge et permettre de finir le jeu à 100%, qu’est ce que ça contient ? Et bien, ça contient pas mal de chose, voir des tonnes, et croyez moi, ça va de l’utile à l’inutile. M’enfin, tant que le challenge est là…Au programme donc : des morceaux de musique, des sons, des fragments de cœur pour augmenter sa jauge de vie, des clés pour des niveaux secrets, un pouvoir secret (après avoir reconstruit une médaille), des nouvelles capacités pour les pouvoirs, des trophées (après avoir battu un boss), des nouvelles couleurs pour Kirby, des fonds d’écran, un monde secret (après avoir reconstruit une carte), des images, des objets qui permettent d’accéder au niveau final (mais eux sont obligatoire à récupérer, de toute façon, ils sont généralement gardés par la Squeak Squad, vous ne pouvez pas les ratez, car généralement, le coffre qui contient ce type d’objet brille et c’est généralement un affrontement obligatoire contre le membre de la team) et enfin un bonus totalement inutile, mais je n’en dis pas plus. Si vous comptez un mini jeu bonus et un mode secret, vous avez pas mal de trucs à débloquer, ce qui allonge la durée de vie. (Surtout que le mode secret est un mode pour ceux qui adorent les challenges et les hight score) Mais bien sûr, pour en profiter, faut déjà récupérer tous les coffres ! Bien sûr, vous n’êtes pas obligé de tous les avoir pour finir le jeu, c’est surtout pour ceux qui aiment les trucs à débloquer.

Y a comme un boss…

Un exemple de confrontation avec la Squeak Squad... on va dire que Storo l'a mérité...

Derrière ce petit jeu de mot sur une expression bien connue, se cache un paragraphe sur la difficulté du jeu. Le bilan est mitigé, à cause de certaines choses. Le jeu est facile dans l’ensemble, qu’on se le dise. Le jeu se boucle en deux, voir trois jours si vous jouez avec la méthode « je finis le niveau sans me soucier des coffres », mais il vous prendra quelques jours de plus pour tout avoir. La faute à quoi ? A des niveaux assez faciles dans l’ensemble, sûrement par ce que les mécanismes de la plus part de ces niveaux ont déjà étés vus dans d’autres jeux. Mais on est parfois surpris de restez bloqué… face à un boss !

Ah Mme Taupe... Mon boss favori... surement à cause des fleurs roses sur sa tête...

En effet, il arrive parfois qu’on butte devant un boss. Certains sont faciles, d’autres pas du tout (je pense à Kracko et au Hibou de Feu, deux boss vraiment chiants et assez durs). Alors quand vous vous dites que les niveaux sont faciles, et que d’un coup vous commencez à bloquer sur un boss un peu trop aggresif, vous vous dites que la difficulté est inégale. Et bien pas tout a fait… En effet, il y a un moyen encore plus simple de finir le jeu, c’est d’utilisez le pouvoir Tornade à chaque Boss (oups, j’ai dévoilé une astuce… bah pas grave, quasiment tout le monde le fait…), mais ça réduit encore plus le challenge et la durée de vie. Un peu dommage…

Et le tactile dans tout ça ?

Et oui, le jeu propose un tutorial lors du premier niveau. Ici on apprend à toucher les objets ainsi que le fait qu'il y a un nombre limité d'objets

J’en viens donc à la question que tout le monde se pose devant un jeu DS : Tactile ou pas ? Comme vous le savez, la DS à deux écrans, un micro et un stylet. Et bien dans Kirby Mouse Attack, on n’utilise les deux écrans, et le stylet. Mais attention, très peu. Question utilisation du double écran, l’écran du haut affiche le niveau, et l’écran du bas l’estomac de Kirby. Pour ce qui est du stylet, on l’utilise très rarement : pour l’estomac et pour les minis jeux (mais j’y reviendrais plus tard). Comme je l’ai dis plus haut, l’estomac de Kirby peut contenir jusqu’à 5 objets dans son ventre : des pouvoirs, des objets, des vies et des coffres. Vous avez perdu votre pouvoir et vous aimeriez en utilisez un autre ? Touchez le pouvoir qui vous convient sur votre écran tactile et POUF, Kirby adoptera ce pouvoir. Vous avez perdu de la vie ? Regarder sur l’écran du bas si vous n’avez pas un objet de soin quelque part, si oui, touchez le et Kirby retrouvera un peu de vie (tout dépend après de la puissance de soin de l’objet). Mais… on peut avoir des vies dans son estomac ? Et bien, oui, en quelque sorte… disons qu’il existe des Bulles Kirby (pour information, tout ce qui est enfermé dans une bulle va directement dans votre estomac), dissimulées un peu partout dans chaque niveau. Si vous réunissez 3 de ces bulles, vous pourrez créer une vie, en les faisant fusionner. Mais comment ?

Deuxième leçon du jour : comment mixter un cocktail Bamaco... euh des objets entre eux...

Et bien c’est là que le stylet intervient à nouveau. En effet, vous pouvez fusionner des objets entre eux, si ils sont compatibles bien entendu (on ne peut pas fusionner un objet de soin avec un pouvoir par exemple). Pour cela, vous devez touchez la bulle, mais ne pas l’utilisez, attention ! Touchez la, et glissez là vers l’objet avec lequel vous voulez le faire fusionnez. Et comme par magie, un nouveau se fera. C’est ainsi que des vies peuvent se créer, tout comme des objets de soin plus puissant voir des pouvoirs ! Vous pouvez aussi retirer un objet de votre estomac en le prenant comme pour le fusionner, mais cette fois, vous l’emmenez vers le haut de l’écran. Puis recrachez le en appuyant sur B. Une utilisation certes minime de l’écran tactile, mais je préfère ça que de me retrouver avec une maniabilité super complexe au stylet.

Rayon Graphismes et Musique…

*musique de foire* Attention mesdames et messieurs, voici le plus grand magicien de tout les temps : Kiiiiiirrrrrrrbyyyyyyy !!!!

Parlons désormais de deux points essentiels dans un jeu (et dans la notation, cela va de soi…), c’est les graphismes et la bande son ! Et là encore, ça rejoint la même idée : classique, mais efficace. Les graphismes 2D sont sympathiques. Bon, c’est de la 2D certes, mais ça a son petit charme. C’est coloré, c’est mimi, c’est pas forcément original (on sent le déjà vu dans certains niveaux) mais c’est agréable à voir. Quand à la musique, elle est pas révolutionnaire elle non plus, mais elle est facilement écoutable. Bon la bande son n’est pas non plus à se rouler par terre au point de télécharger toutes les musiques, mais ça passe bien quand on joue. La aussi, ça rejoint mon avis sur le fait que le jeu n’est pas révolutionnaire, mais qui s’en plaindrait. L’important c’est d’être en face d’un jeu fun !

Des Minis Jeux qui ne feront pas des trous dans le gruyère…

Le menu Multijoueur, et animé je vous pris !

Et je vais finir mon test par mon avis sur les Minis Jeux. Ils sont au nombre de 4 (dont un à débloquer), tout comme le nombre de participants, sauf pour le secret, qui une sorte de défi, mais je n’en dirais pas plus.

C'est l'heure du gouter... et croyez moi, va falloir se battre pour en avoir un part !

Le premier Mini Jeu s’intitule le « Goûter Eclair ». Le but est simple : vous êtes devant une table. Dessus, un plateau avec un couvercle. Vous devrez attendre que le couvercle s’enlève, pour récupérer le plus rapidement possible le gâteau à la fraise avant vos adversaires. Si vous prenez un gâteau bombe, vous passez le prochain tour. Si vous touchez le couvercle avant qu’il soit levé, vous passez ce tour. Tout cela se fait au stylet, et ça répond plutôt bien. Tentions garantie !

Vroum vroum... Décidement, Kirby adore conduire. Après Air Ride, voila qu'il en remet une couche... MAIS RETIREZ LUI LE PERMIS BONDEDIOU !

Le second Mini Jeu s’intitule « Course Crash ». Votre mission ? Expulsez vos adversaires de l’arène. Comment ? En dirigeant votre personnage, qui se trouve sur une étoile Crash, vers vos adversaires, tout cela au stylet. Si vous restez sur votre perso un peu plus longtemps sans le faire avancer, il effectuera une charge puissante. Sûrement le mini jeu le plus injouable du soft. Enfin, c’est mon avis, après, je n’ai pas réussi à contrôler mon véhicule…

Non, Kirby ne se met pas au Paint Ball, mais au Tir au Trésor... Nuance !

Le troisième (et dernier, vu que je veux vous laisser la surprise du mini jeu caché) Mini Jeu s’intitule « Tir au Trésor ». Vous êtes devant des coffres, qui s’ouvrent au fur et à mesure. Visez les coffres qui contiennent des desserts et pas des bombes. Pour cela, faites glissé le stylet vers le coffre que vous souhaitez. Pas forcément évident à prendre en main, mais à force on s’y habitue…

Serait ce une croix pour nous interdire le fun ? Non, c'est juste que Kirby vient de tirer sur une bombe...

Sachez malheureusement que ces 3 minis jeux n’apportent pas grand-chose, et ne sont pas vraiment fun (d'ou l'expression ne pas faire de trou dans le gruyère... ptite substilité ma foie) Bon aussi j’ai essayé les minis jeux en solo, le fait que l’on soit quatre joueurs (et jouable même si il n’y a qu’une seule cartouche, ce qui est ma foie un avantage) peut peu être augmenter le taux de fun, mais j’y crois pas trop. Dommage, ça aurait pu allonger la durée de vie (mais je me répète, si vous aimez les challenges, vous devrez apprécier le 4eme mini jeu…)

III- Notation :

Graphismes : 15/20 : De la 2D certes, qui ressemble fort à celle des versions GBA, mais elle reste toujours aussi coloré, visuellement plaisante à regarder et mimi.

Jouabilité : 16/20 : Peu être que ça ne se joue pas trop au stylet, mais c’est très facile à prendre en main, Kirby répond parfaitement aux commandes et ça ne cherche pas à faire compliqué avec le stylet. Que demander de plus ?

Durée de vie : 15/20 : Si vous faites les niveaux sans vous soucier des secrets, vous en aurez pour quelques heures. Mais pour trouver tous les coffres, c’est une autre affaire. Dommage que le multi ne soit pas si passionnant que ça, ça aurait allongé le jeu sur la durée…

Bande Son : 14/20 : Correcte dans l’ensemble, la bande son à le mérite d’être écoutable, même si elle n’est pas inoubliable. Certains aimeront, d’autres moins…

Scénario : 12/20 : L’un des gros point faible du jeu. Niaiseux au possible et parfois stupide, le scénario à malgré tout le mérite d’être assez original, comparé à certains jeux du genre…

Les + :
- La jouabilité, classique mais simple d’accès
- Les graphismes mimi
- Plaisant à jouer

Les - :
- Très court si on ne cherche pas le 100%
- Le scénario niaiseux
- Le multijoueurs, pas très fun

IV- Conclusion :

Classique certes, mais toujours aussi fun. C’est la phrase qui décrit le mieux ce jeu. Classique dans son gameplay, classique dans ses graphismes, classique dans sa bande son, durée de vie correcte et fun présent. Que demandez de plus ? Un scénario plus élaboré et un multi plus fun sûrement, mais ce n’est pas une raison pour boudé ce jeu, qui mérite votre attention, pour peut que vous chercher un jeu classique, mais sympa comme tout.

Note Finale : 15/20
_________________________________________________________
Test rédigé par Mémé, merci de respecter le droit d’auteur ainsi que mon travail.
Je conçois que le test soit long et assez explicatif, mais j’ai fais de mon mieux pour faire un test qui me semble bon.
Images : Jeux Vidéo.com, Gamekult, Jeux Video.fr
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11 août 2008

Fiche Jeu "Kirby Mouse Attack"

Kirby_Mouse_Attack

Kirby_Mouse_Attack_Boitier_Redimention_

Fiche_Technique

Plate-Forme : Nintendo DS

Editeur : Nintendo

Développeur : HAL Laboratory

Type : Plates-Formes

Appartient à la série : Kirby

Date de sortie japonaise : 2 Novembre 2006

Date de sortie américaine : 4 Décembre 2006

Date de sortie française : 22 Juin 2007

Prix au lancement : 40€

Joueur(s) : 1 à 4 joueurs (Local, Multi-cartouches et Une carte)

Dans le même genre :
- Kirby et le Pinceau du Pouvoir (DS)
- Legend of Stafy 5 (DS)
- Kirby Super Star Ultra (DS)

Site Officiel

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Informations_Globales

Kirby est de retour sur Nintendo DS, plus de 2 ans après Le Pinceau du Pouvoir, sa première escapade sur la console à double écrans. Pour sa nouvelle aventure, la célèbre boule rose revient à la plate forme pure et dure, et va devoir se démener corps et âme pour tenter de retrouver sa part de tarte à la fraise volée par la Squeak Squad, une bande de rongeurs cleptomane dirigée par Daroach. Pour cela, Kirby pourra avaler ses ennemis et récupérer leurs pouvoirs pour venir à bout des niveaux. Console tactile oblige, la maniabilité à été adaptée pour le support (même si l'utilisation est plus limitée que celle de Power Paintbrush), et vous pourrez fusionner les pouvoirs accumulés dans votre ventre via l'écran tactile. Attention cependant, car le bidon de Kirby ne pourra contenir que 5 objets ! Le stylet sera aussi mis à l'épreuve lors de 4 minis jeux, jouable jusqu'à 4 joueurs. Enfin, 120 coffres sont dissimulés partout dans le jeu. Parviendrez vous à gérer intelligemment votre estomac pour tous les récupérer avant la Squeak Squad ?

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