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Pépé & Mémé Corporation - le blog officiel -

28 juillet 2008

Fiche Film "Planète Terreur"

Plan_te_Terreur

Plan_te_Terreur_Affiche_Redimention_e

Fiche_Technique

Date de sortie Cinéma Française : 14 Août 2007

Date de sortie Cinéma Américaine : 6 Avril 2007

Réalisateur : Robert Rodriguez

Avec :
Rose McGowan, Freddy Rodriguez, Josh Brolin …

Durée : 1h45

Genre : Epouvante-Horreur

Film américain

Année de production : 2007

Distribution :
TFM Distribution

Compositeur : Robert Rodriguez

D'après : /

Titre Original : Grindhouse - Planet Terror

Interdit aux moins de 12 ans

Synopsis

Dans une petite ville, William et Dakota Block, un couple de médecins, constatent que leurs patients sont soudain frappés par la gangrène et affectés par un regard vide et inquiétant ... De son côté, Cherry, go-go danseuse, s'est fait arracher la jambe lors d'une attaque. Wray, son ex-petit copain, veille sur elle. Mais Cherry a beau être au plus mal, elle n'a pas dit son dernier mot. Tandis que les malades se multiplient et deviennent des agresseurs enragés, Cherry et Wray prennent la tête d'une armée destinée à empêcher l'épidémie de se propager. Si des millions d'individus sont contaminés et beaucoup succombent, une poignée d'entre eux se battront jusqu'au bout pour se réfugier dans un lieu sûr ...

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28 juillet 2008

[Critique] Planète Terreur

Plan_te_Terreur

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Critique

Introduction :

Attention … Non pas film déjanté, mais film complètement déjanté ! (Y a quand même une petite nuance). Après Boulevard de la Mort de Tarantino avec son tueur en série qui utilise sa voiture comme d’une arme, voici Planète Terreur de Rodriguez, seconde partie du projet Grindhouse, mettant en scène une invasion de zombie dans le Texas. Ce film est il sang pour sang jouissif, ou bien tient on le pire film de zombie de tout les temps ? La réponse dans cette critique …

Critique :

Si vous n’avez pas lu la critique de Boulevard de la Mort, je crois qu’il faut que je reparle du projet Grindhouse. Si vous savez déjà tout sur le sujet, il est conseillé de zapper certains paragraphes, sauf le dernier paragraphe explicatif sur le principe de Grindhouse, si vous tenez à savoir le bonus de la version Française de Planète Terreur (Si vous ne le savez pas déjà. Si vous voulez le savoir, c’est deux paragraphes en dessous). Bref … Grindhouse est donc le nom d’une association de deux réalisateurs, qui ont décidés de rendre hommage aux films d’horreurs des années 70. Les coupables ? Quentin Tarantino et Robert Rodriguez. Le fait ? Un double programme plus quatre fausses bandes annonces. (Les trois premières sont réalisés par d’autres maîtres du genre, la dernière est quand à elle réalisé par Robert Rodriguez)

Un double programme donc, comme dans le bon vieux temps, celui ou les gens regardaient les films en pleine air, dans leur voiture, à manger du pop corn et à se taper la gonzesse du siège à côté entre les deux films … Le premier film est réalisé par Quentin Tarantino et se nomme Boulevard de la Mort, tandis que le second se nomme Planète Terreur et est réalisé par Robert Rodriguez, comme cela le laissait deviner (Ben oui, si l’un a fait le premier, l’autre fait le second). Cependant, les Français n’ont pas eu le droit à ce double programme. Non pas par ce qu’on a pas été sage, mais car le résultat au box office à été plus que nullissime. Les américains auraient ils peur de l’originalité ? A méditer …

Nous nous retrouvons donc avec le premier qui est sorti en Juin 2007, et le second en Août 2007. Mais là encore, nous avons eu le droit à un petit lot de compensation (Et oui, c’est comme au manège ! En faites … Non …). En effet, avant la diffusion de Planète Terreur, nous aurons le droit à la fausse bande annonce de Machete, celle réalisée par Robert Rodriguez ! Surtout ne la rater pas, c’est absolument délirant. (Maintenant, reste plus à espérer que les autres soient sur les DVD … Sinon ben chercher sur Internet …)

Je vais désormais vous parler du second film, Planète Terreur (Le premier étant traité dans une autre critique, vous n’aurez qu’a fouillez un peu …). On trouve déjà un point commun avec Boulevard de la Mort, rien qu’avec le scénario de Planète Terreur : c’est simple, mais efficace (De toute façon, ça toujours été ça dans les films de zombies). L’action se déroule dans un coin paumé du Texas, qui va être en proie à une crise qui va ravager le lieu : des zombies ravagent tout ce qui passe sous leurs dents, détruisant les habitations et dévorant les survivants, suite à un « accident » qui libéra le Projet Terreur, un gaz qui transforme les gens en créatures sanguinaires. Face à cette menace, une Go Go danseuse dotée d’une mitraillette à la place de la jambe droite et son ex petit copain, un karateka ; décident d’organiser la résistance. C’est classique, comme je l’ai dis plus haut, mais c’est d’une efficacité redoutable !

Mais le fait que le scénario soit simple et efficace n’est pas le seul point commun avec Boulevard de la Mort. Premièrement, les acteurs. Rose McGowan se retrouve donc dans les deux films, mais passe du statut de proie d’un serial killer … à proie d’une armée de zombies (Mais rassurer vous, elle ne perd rien de sa superbe, loin de là …). Tarantino fait lui aussi une apparition forte (A la limite du dégoûtant), comme dans Boulevard de la Mort, ou il jouait le rôle du Barman. Pour finir, Marley Shelton est elle aussi dans Planète Terreur et dans Boulevard de la Mort, mais cette fois ci dans le même rôle, celui d’infirmière.

L’esthétique particulière de Boulevard de la Mort frappe encore, ce qui nous fait un point commun en plus. Cependant, les bugs de pellicule sont moins présents, mais les taches et les traits sur l’image aussi. On note encore un défaut de la couleur, et qui correspond bien à l’action d’ailleurs. On retrouve aussi des dialogues croustillants et terriblement jouissifs. Là ou Boulevard de la Mort réussi à aligner 7 minutes de dialogue non stop, Planète Terreur réussi à aligner quasiment 10 Fuck voir plus en une phrase (Pour information, je l’ai vu en version originale, contrairement à Boulevard de la Mort). Mais Planète Terreur n’est pas si bavard que ça, bien au contraire …

Car un film de zombies, c’est avant tout de l’hémoglobine, un scénario pas très travaillé mais efficace et surtout des créatures répugnantes. Planète Terreur, c’est ça … en version XXL ! Le sang gicle de partout du début à la fin, les membres s’arrachent, les zombies sont répugnants … Au programme : cerveau dévoré, personnes déchiquetés en 4, ouverture brutale de l’estomac en direct, testicules coupées, zombies qui passent sous les voitures et même un organe génital propre à l’homme (Si vous voyez ou je veux en venir) qui se décompose ! (Et figurez vous qu’on voit tout !) Planète Terreur ne recule devant rien, et c’est tant mieux !

Comment ne pas rester de marbre devant tous ses cadavres qui se suivent, cette tempête de sang qui gicle sur l’écran, ces membres découpés, ces situations gore … Là ou Boulevard de la Mort se lâchait comme un petit fou dans les dialogues, quitte à en faire une overdose, Planète Terreur se lâche dans la surenchère de gore, et sans jamais nous lasser. Comme quoi, les deux films ont beau avoir beaucoup de points communs, ils sont surtout complémentaires : l’un cause, l’autre agit comme on dit …

Du gore oui vous allez en avoir. De la surenchère vous allez en avoir. Du kitch absolu vous allez aussi en avoir. Les purs personnages clichés sont de retour, et là encore, Robert Rodriguez se lâche : une Go Go danseuse (Qui, on ne le dira jamais assez, est extrêmement canon) qui se retrouve avec une mitrailleuse à la place de la jambe droite (Totalement improbable et hilarant à voir), un héros super balèze qui ne rate jamais sa cible au gun et qui est encore plus fort au combat (Et bien sûr, il va devoir sauver tout le monde), l’armée et ses terribles secrets nucléaires (Mention spéciale au chef de l’armée, pour moi la grosse guest star de ce film), le scientifique qui a la solution au problème qu’il a créer, l’infirmière super sexy aux seringues mortelles, le psychopathe de service hyper possessif envers sa femme, le gamin qui subit les événements et qui n’y comprend rien, le cuisinier débile, le chef de police toujours accompagné de gros boulets … On retrouve les gros classiques !

Du gore jusqu’à overdose, un scénario basique, une mise en scène décalée, des personnages clichés … c’est une série Z ou quoi ? Et bien figurez vous que oui c’en est une ! Une bien grosse, mais qui est irrésistible. Tout doit se prendre au second degré, sinon vous êtes sûr de ne pas aimer : vous allez trouver que y a de la surenchère, que c’est stupide, que c’est classique … Ben oui vous avez raison ! Mais qu’est ce qu’on s’en fout ! On passe un moment de bonheur unique, voila tout.

Là encore, Planète Terreur rejoint Boulevard de la Mort dans le fait qu’il faut le prendre comme il est, sans réfléchir et surtout se laisser transporter. Et là oui, vous apprécierez énormément cette cascade de sang, son univers cinglé, ses filles super belles (J’arrêterais pas de vous le dire, mais c’est un fait indéniable !), sa surenchère jouissive, des personnages aussi allumés que le film en lui-même, un scénario basique, sans prétention et efficace, ses dialogues … Du pur bonheur ! A voir obligatoirement une fois dans sa vie, au moins pour se faire une idée, tout comme Boulevard de la Mort !

Les + :

-L’ambiance, absolument folle
-La surenchère gore et le kitch absolu
-L’action et les dialogues, qui fusent de partout

Les - :

-Il faut aimer voir du sang couler toutes les deux minutes
-Il faut aimer la surenchère
-Il faut prendre ça au second degré

Conclusion :

Planète Terreur est ce qu’il est : un film de malade absolument jouissif ! Une ambiance fofolle au possible, des dialogues croustillants, du gore absolu à la pelle, un côté kitch irrésistible, des filles comment dire … tout simplement sublimes, des personnages clichés et totalement loufoques … Du fun, oui vous allez en avoir, soyez en sûr. Cependant, comme Boulevard de la Mort, on adore ou on déteste, tout dépend comment vous prenez le film. Encore une fois un film que j’ai adoré, et que je recommande à tous ! Culte au possible !!!

Note : 9/10

Critique rédigée par Mémé, merci de respecter les droits d'auteur et de ne pas copier cet article sans l'autorisation de son auteur.

Critique rédigée le : 22/08/07

27 juillet 2008

[Jaca Story Sunwave] Compte-rendu du 02.06.2006

26 juillet 2008

Fiche Film "Boulevard de la Mort"

Boulevard_de_la_Mort

Boulevard_de_la_Mort_Affiche_Redimention_e

Fiche_Technique

Date de sortie Cinéma Française : 6 Juin 2007

Date de sortie Cinéma Américaine : 6 Avril 2007

Réalisateur : Quentin Tarantino

Avec : Kurt Russell, Rose McGowan, Zoe Bell …

Durée : 1h50

Genre : Epouvante-Horreur

Film américain

Année de production : 2007

Distribution :
TFM Distribution

Compositeur : Robert Rodriguez

D'après : /

Titre Original : Grindhouse - Death Proof

Interdit aux moins de 12 ans

Synopsis

C'est à la tombée du jour que Jungle Julia, la DJ la plus sexy d'Austin, peut enfin se détendre avec ses meilleures copines, Shanna et Arlene. Ce TRIO INFERNAL, qui vit la nuit, attire les regards dans tous les bars et dancings du Texas. Mais l'attention dont ces trois jeunes femmes sont l'objet n'est pas forcément innocente. C'est ainsi que Mike, cascadeur au visage balafré et inquiétant, est sur leurs traces, tapi dans sa voiture indestructible. Tandis que Julia et ses copines sirotent leurs bières, Mike fait vrombir le moteur de son bolide menaçant ...

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26 juillet 2008

[Critique] Boulevard de la Mort

Boulevard_de_la_Mort

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Critique

Introduction :

Attention, film déjanté en vue ! C’est la première chose qui me vient à l’esprit quand je pense à Boulevard de la Mort. Déjanté certes, mais dans le bon sens ! Je vais donc vous proposez mon avis sur ce film dans cette critique. Alors, ce film, il y en sous le capot, ou bien il cale dès qu’on passe la première ? La réponse est comme toujours dans cette critique ! En voiture mes poulettes, la route vers l’enfer n’est pas si loin …

Critique :

Commençons par vous expliquer le projet Grindhouse. Je tiens à vous préciser tout de suite que ce n’est pas le nom d’une maison de retraite, ni le nom d’un shampoing. Grindhouse, c’est le nom d’une association entre deux réalisateurs : Quentin Tarantino (A l’origine de Kill Bill, Pulp Fiction ou encore Reservoir Dogs, entre autre) et Robert Rodriguez (A l’origine de Desperado, Spy Kids ou Sin City, pour vous donner quelques exemples). Cette association a pour but de rendre hommage aux films de série B (Les films d’horreurs des années 70 à petit budget, si vous préférez). Comment ? En réalisant ensemble (Ça parait évident) un double programme, plus quatre fausses bandes annonces (Une de Rob Zombie, une autre de Edgar Wright, une de Eli Roth et la dernière par Robert Rodriguez).

Deux films donc, pour le prix d’une séance. Le premier est Boulevard de la Mort (De Quentin Tarantino) et le second est Planète Terreur (De Robert Rodriguez, en toute logique). Mais voila, nous, pauvres Français ; et ben figurez vous qu’on a pas eu le droit à ça ! A la place, les deux films sortent séparément, et les fausses bandes annonces passent à la trappe ! Pourquoi tant de méchanceté envers nous ? Et bien tout simplement par ce que ce programme a fait un gros flop en Amérique (Pourtant, l’idée était vraiment intéressante, recréer les doubles programmes de l’ancienne époque …), si bien que le premier est sorti en Juin 2007 et le second en Août 2007.

Cependant, nous avons eu le droit à une compensation, et franchement, ça se refuse pas : 30 minutes de plus pour Boulevard de la Mort, permettant de mieux comprendre l’histoire et les intentions de certains, qui étaient apparemment pas très claires dans la version Américaine (Enfin Américaine … la version double programme si vous préférez). Certains trouverons ça débile, mais personnellement, je trouve qu’il vaut mieux avoir un film compréhensible, plutôt que deux films, dont un assez difficile à comprendre …

Je vais donc vous parler de Boulevard de la Mort dans cette critique (Et je parlerais de Planète Terreur dans une autre critique, rassurer vous). L’histoire est simple : nous suivons donc 8 femmes (Un groupe de 4, puis un autre), qui vont rencontrer sur leurs route Stuntman Mike, un ancien cascadeur au visage balafré, qui se révèle être un psychopathe sadique et pervers qui tue de jolies filles … avec sa voiture ! (Qui se révèle à la épreuve de la mort, d’où le titre original) Cependant, il croisera bientôt la route de vraies beautés fatales, dans tout les sens du terme … Comme je vous le disais plus tôt, c’est terriblement simple, mais diablement efficace. Du pur slasher !

Mais (Et oui, encore des mais) derrière ce scénario, se cache une complexité … due aux dialogues ! En effet, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle … et ainsi de suite, jusqu’à une scène d’action, puis ça reparle et ainsi de suite. Bon, c’est pas franchement gênant pour ceux qui aiment ça (J’en fais parti, j’aime bien quand ça parle beaucoup), mais si vous n’aimez pas ça, croyez moi, vous allez vous ennuyez à mourir. 7 minutes entière de dialogues non stop, c’est la scène de discutions la plus longue du film ! Si vous détestez le blabla à la pelle, n’aller surtout pas le voir !

Ces dialogues sont à la fois construits, bourrés de références et surtout jouissifs. Des répliques cinglantes, des jolies filles, un scénario simple et efficace … Que demander de plus ? De l’action pardi ! Et ce n’est qu’au bout d’une heure de présentation et de dialogue que tout commence à partir en vrille, et que le délire prend tout son sens. Les scènes d’actions sont certes rares, mais tellement jouissives tant elles sont brèves et violentes. Le meilleur exemple de cette folie meurtrière est celle de la scène de l’accident revu 4 fois, chaque fois d’un point de vue différent mais toujours le même résultat : de l’hémoglobine, des membres qui s’arrachent et la collision mortelle entre les deux voitures. Complètement fou et terriblement fun !

Car oui, Boulevard de la Mort est un film de fêlés. Bobine crasseuse qui disjoncte, faisant répéter la même réplique au personnage, des poussières sur l’écran, des traits, une bobine qui bug complètement et qui nous laisse pendant un moment le film en noir et blanc, scène vue sous quatre angles … Tarantino s’amuse comme un petit fou à reproduire les effets des vieux films, et figurer vous que nous aussi on s’amuse. La encore, il faut aimer !

Boulevard de la Mort réussi donc à mixer de longs dialogues avec des scènes d’action intenses. Mais attention ! Ces fameuses scènes sont certes peu nombreuses, mais sont quand même assez violente. Enfin violent … Ne vous attendez pas à voir pisser du sang partout non plus, mais bon, je préviens tout de suite. Certains diront que c’est de la violence gratuite, excessive, monstrueuse et tout simplement révoltante, mais personnellement, je ne pense pas ça. Je trouve que c’est bien dosé, et puis qu’il faut prendre ça au second degré. On est là pour voir un film d’horreur ou y a forcément de la violence, pas un épisode des Télétubees …

On en revient donc à la même conclusion : Boulevard de la Mort est un film déjanté, que certains apprécieront à sa juste valeur, tandis que d’autres verrons un film complètement débile, nullissime et trop bavard. Chacun à son point de vue sur la chose, mais une chose est sur : ce film fait parler de lui ! Il est conseillé de le voir au moins une fois dans sa vie pour se faire une idée de la chose. Pour ma part, je trouve que Boulevard de la Mort est un excellent film, quasiment parfait : original, violent, jouissif, répliques cultes, bande son à tomber par terre, ambiance délirante, personnages charismatiques, des belles filles … Bref, j’ai adoré, et je vous le recommande !

Les + :

-L’ambiance, originale et totalement délirante
-Les scènes d’actions, jouissives et violentes
-Les dialogues, travaillés et bourrés de références

Les - :

-Il faut aimer les dialogues interminables
-Il faut aimer la violence gratuite
-Il faut prendre ce film au second degré

Conclusion :

Boulevard de la Mort est un film totalement déjanté : une ambiance unique, des dialogues percutants, une violence tellement jouissive, une originalité certaine, des personnages aussi charismatiques que déjantés, une bande son détonante, des filles très très belles dans le rôle de pauvre victimes, un jeu d’acteur excellent (Kurt Russell, impeccable dans son rôle de tueur psychopathe) … Que demander de plus ? Une chose est sure, on adore ou on déteste ! Personnellement, j’ai adoré, et je vous le recommande. Culte ? Certainement !!!

Note : 9/10

Critique rédigée par Mémé, merci de respecter les droits d'auteur et de ne pas copier cet article sans l'autorisation de son auteur.

Critique rédigée le : 22/08/07

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25 juillet 2008

Fiche Film "Transformers"

Transformers

Transformers_Affiche_Redimention_e

Fiche_Technique

Date de sortie Cinéma Française : 25 Juillet 2007

Date de sortie Cinéma Américaine : 4 Juillet 2007

Réalisateur : Michael Bay

Avec :
Shia LaBeouf, Megan Fox, Josh Duhamel …

Durée : 2h24

Genre : Action / Science-Fiction

Film américain

Année de production : 2007

Distribution :
Paramount Pictures France

Compositeur : Steve Jablonsky

D'après : la franchise de Hasbro, "Transformers"

Titre Original : Transformers

Tous publics

Synopsis

Une guerre sans merci oppose depuis des temps immémoriaux deux races de robots extraterrestres : les Autobots et les cruels Decepticons. Son enjeu : la maîtrise de l'univers ... Dans les premières années du 21ème siècle, le conflit s'étend à la Terre, et le jeune Sam Witwicky devient, à son insu, l'ultime espoir de l'humanité. Semblable à des milliers d'adolescents, Sam n'a connu que les soucis de son âge : le lycée, les amis, les voitures, les filles ... Entraîné avec sa nouvelle copine, Mikaela, au coeur d'un mortel affrontement, il ne tardera pas à comprendre le sens de la devise de la famille Witwicky : "Sans sacrifice, point de victoire !"

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25 juillet 2008

[Critique] Transformers

Transformers

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Critique

Introduction :

Le voila enfin arrivé sur nos écrans ! Qui ? Mais le film Transformers pardi ! Non pas qu’on l’attendait par ce que c’était un Blockbuster (Bon ok, on l’attendait aussi pour ça, m’enfin …) , mais par ce que c’était surtout un film à très très grosse licence, et que Michael Bay avait pas intérêt à se rater, sous peine de décevoir les plus grands fans. Alors, Blockbuster de l’été 2007 ou film à passer direct à la casse ? Réponse dans cette critique.

Critique :

Pour commencer, j’aimerais mettre les choses au point : si vous allez voir Transformers, allez y, mais sans votre cerveau. Pourquoi donc ? Et bien par ce que y a pas à réfléchir. C’est un gros film d’action avec des scènes d’actions qui s’enchaînent plutôt rapidement, des effets spéciaux à foison (Robots transformables oblige) et de l’humour entre les deux. Et pour ceux qui n’y connaissent rien à l’univers Transformers, tout est expliqué. Vous l’aurez compris, on tient là un blockbuster à gros budget parfait pour l’été. Vous n’avez pas tort, mais ce n’est pas pour autant que le film n’est pas bien, loin de là …

Alors oui Michael Bay est à la réalisation, et au côté de Steven Spielberg. Et juste par ce que c’est Michael Bay, certains crient au scandale, au gâchis d’une licence. Pourquoi ? Oh, sûrement par ce que Michael Bay est réputé pour ses films ou on s’en prend plein la tête question action et pour ses films ou on n’a pas à réfléchir et qu’il à raté son dernier film (The Island, pour l’information). M’enfin, c’est ce que les mauvaises langues disent … Certes, y a Steven Spielberg, réputé pour ses films intelligents. Mais il y en a qui disent que c’est juste pour faire croire à un film « intelligent » de la part de Michael Bay. M’enfin c’est ce que les mauvaises langues disent … Et bien ces personnes là se trompent. Bon ok, le film n’est pas forcément intelligent. Et alors, ou est le problème ? C’est un Blockbuster, faut pas chercher plus loin. Ces personnes là se trompent sur deux points : la licence n’est pas gâché, et le film n’est pas nul. (Mais j’y reviendrais tout au long de ma critique)

Suite à ces deux paragraphes assez explicatifs, et qui n’ont surtout aucun rapport avec le film (Enfin un peu quand même), passons au scénario. Le scénario est si basique, qu’on peut le résumer en une phrase : Autobots contre Decepticans. C’est simple comme bonjour, mais faut pas chercher plus loin. Mais y quand même autre chose que cette bataille. C’est donc l’histoire de Sam Witwhicky, un adolescent qui décent d’un grand père reconnu de part le monde, qui s’achète une voiture, et qui va vite découvrir que sa voiture est transformable, se retrouvant ainsi mêler dans la terrible guerre qui oppose les gentils robots, les Autobots, aux méchants robots, les Decepticans. Bien sûr, comme c’est un grosse production américaine, il faut aussi une histoire d’amour pour adolescents (Donc forcement, une fille super siliconé qui va tomber amoureuse du héros), l’armée qui s’y colle et un héros qui se retrouve avec le sort de l’humanité entre les mains. C’est cliché au possible, mais ça passe. Et puis, la force du film n’est pas là …

Maintenant, parlons en justement des personnages. Ils sont aussi clichés que le scénario, malheureusement. Un héros qui s’allie avec les gentils et qui va devoir sauver l’humanité, la fille super canon (Façon de parler …) qui traîne avec les caïds du lycée qui comme par hasard tombe amoureuse du héros, des soldats de l’armée surarmés, un chef de l’armée qui ne contrôle plus du tout la situation, un agent du FBI qui veut obligatoirement savoir la vérité sur ces robots, un pro en informatique, un autre pro en informatique, mais cette fois une femme qui est comme par hasard blonde, qui trouve miraculeusement la solution au problème, des parents stricts, le petit copain de la fille super canon qui est la star du lycée et qui est super musclé, le copain du héros qui plane à 15 000 … On retrouve tous les personnages stéréotypes de la grosse production américaine. On patauge dans le déjà-vu, mais c’est pas forcément gênant, puis ce que la force du film n’est pas là non plus (Mais elle est ou alors ?)

Et bien la force du film, c’est les fameux Transformers ! Les principaux Transformers sont là, on retrouve donc Optimus Prime en leader des Autobots (Ainsi que Bumblebee, Jazz, Ratchet et Ironhide chez les gentils) et Megatron dans le rôle du tyrannique chef des Decepticans (Et rayon Decepticans, on retrouve Starscream, Brawl, Barricade, Bonecrusher, Frenzy, Blackout et Skorponok). Vous l’aurez remarqué, il y a plus de Decepticans que d’Autobots. Et c’est là qu'il y a un gros problème : c’est que quasiment les trois quarts des Decepticans sont des « gadgets » En effet, la plus part apparaissent, cassent beaucoup de choses, se frittent avec un Autobot et se font laminer une minute plus tard. C’est dommage, car c’est le seul défaut qu’on peut reprocher à ces robots (Et ça concerne aussi les Autobots) : c’est que la plus part sont sous exploités. Ceux que l’on voit le plus sont Optimus Prime (Normal, c’est le héros, et c’est sûrement le plus connu), Bumblebee (Car c’est la voiture du héros) et Frenzy (Pourquoi ? Car c’est le Deceptican le plus important du film, vous le comprendrez si vous allez le voir …). Mais… et Megatron ? Et bien oui, le grand méchant est lui aussi sous exploité, même si il a une grande place dans la bataille finale. Ce qui est fort dommage, et ce malgré que le film dure plus de 2 heures !

Mais alors, si ils sont sous exploités, pourquoi sont ils la force du film ? Et bien à cause de leur animation, absolument impressionnante. Et pour cause, les studios Lucas Film ont participer au film ! Forcément, on s’en prend plein les yeux. L’animation des robots est sublime, tout comme les transformations. S’ajoute au tableau des explosions de partout, des voitures qui volent de partout, des missiles qui sont tirer de partout, des tirs dévastateurs … On s’en prend vraiment plein les yeux, et en positif tout le long. Malgré tout, on peut souligner deux défauts : certains Transformers se ressemblent un peu trop (Surtout au niveau des Decepticans, sûrement par ce qu’ils sont quasiment tous noir et gris. Heureusement, les transformations aident), si bien que quand ils sont lancer dans la bataille et que ça explose de partout, on a du mal à savoir qui est qui, sauf quand ils se transforment en véhicules. Le deuxième petit défaut, c’est qu’à force, on peut saturer. Ce n’est pas mon cas, mais ça peut vous gêner (Et oui, je m’adapte aux lecteurs) de voir quasiment tout le temps des explosions, des tirs et des trucs qui se brisent à tout va. Bon à côté y a aussi des dialogues, mais l’action brute domine quand même.

Justement, parlons en des dialogues. Et bien figurez vous que j’ai été surpris, car je m’attendais à moins de paroles et plus d’action. Bon, personnellement, je suis satisfais que ça parle, je vais pas m’en plaindre. Mais là ou j’ai été encore plus surpris, c’est qu’il y a un bon humour ! Bon l’humour d’une grosse production américaine, c’est généralement classique et bas étage (Et ça fait rire son public), mais là, aussi surprenant que cela puisse paraître, ça passe à merveille ! C’est l’une des rares productions américaines qui sait parfaitement mixer humour et action, sans pour autant que ça en devienne lourd. Là aussi, ça a son public, mais c’est un peu plus acceptable que les autres. Comment ne pas rire devant une XBOX 360 Transformer (Pas décoré Transformers, mais un vrai Transformer), ou encore une voiture incontrôlable qui tente d’aider le héros pour un plan de drague ? C’est certes tout public (Y a aussi des blagues avec des sous-entendus que les « jeunes » adorent, si vous voyez le genre …), mais franchement ça passe très bien. (Encore heureux d’ailleurs …)

Mais on ne se prend pas plein la vue qu’à cause des effets spéciaux, mais aussi à cause des scènes d’actions. On s’en prend aussi plein la figure, les scènes d’actions s’enchaînent et sont toujours aussi prenantes, particulièrement la bataille finale, qui dure 30 minutes (Et d’ailleurs, cette bataille est beaucoup mieux que celle de la bataille finale de Spider Man 3, croyez moi, vous n’aller pas être déçus !). Là encore, on peut saturer, car à force de trop voir d’actions on peut se dire : « Moui euh bon c’est quand que ça se termine là ? » Et bien justement, il arrive parfois que le film soit victime de longueurs, notamment lors de la scène ou Bumblebee se fait capturer par l’armée (Vous allez me dire, c’est déjà vu mile fois, et ben faut croire qu’on pourra décidément pas y échapper à ce genre de scène niaise, d’autant plus qu’il y a le classique « Si tu meurs pendant la bataille, je tiens à ce que tu saches que j’étais heureuse de t’avoir connu » ou « Non n’y va pas, je t’aimes !!! » de l’héroïne …). C’est certes aussi du à l’action qui s’enchaîne, mais bon, on prend quand même du plaisir.

J’aimerais enfin terminer ma critique par le fait que Transformers peut être jugé de deux manières : un énième film d’action sans grande envergure ou un bon divertissement. Une chose est sur, c’est que soit on aime, soit on aime pas. Ça peut aussi aller jusqu’aux extrémités, mais ce film ne mettra sûrement pas tout le monde d’accord. Il y aura forcément le côté des blasés des films d’action et ceux qui jugent au-delà d’un réalisateur pas forcément aimé de tous et qui arrivent à regarder ce film sans réfléchir. A vous de choisir votre camp ! (C’est pire que la guerre des Autobots et des Decepticans)

Les + :

-Les effets spéciaux, absolument spectaculaires
-L’action, orchestré à 200 à l’heure
-Le fait que ça se regarde facilement et sans trop réfléchir

Les - :

-Un peu long par moment
-Un peu trop cliché sur certains points
-Megatron sous exploité, ainsi que d’autres personnages

Conclusion :

Transformers est un bon film, qui se regarde avec plaisir. On passe un bon moment en compagnie de ces robots, on s’en prend plein les yeux et on ne réfléchit pas une seconde. Et même si il y a quelques défauts (Plus ou moins gênant), Transformers est ce genre de production à budget pharaonique qui diverti du début à la fin. Au fond, c’est la seule chose qu’on lui demande, non ?

Note : 7,5/10

Critique rédigée par Mémé, merci de respecter les droits d'auteur et de ne pas copier cet article sans l'autorisation de son auteur.

Critique rédigée le : 25/07/07

24 juillet 2008

Fiche Film "Alien Vs. Predator"

Alien_Versus_Predator

Alien_Vs_Predator_Affiche_Redimention_e

Fiche_Technique

Date de sortie Cinéma Française : 27 Octobre 2004

Date de sortie Cinéma Américaine : 13 Août 2004

Réalisateur : Paul W.S. Anderson

Avec :
Lance Henriksen, Sanaa Lathan, Raoul Bova …

Durée : 1h40

Genre : Science-Fiction / Fantastique

Film américain

Année de production : 2003

Distribution : UFD

Compositeur : Harald Kloser

D'après : le comics de Randy Stradley, "Alien Versus Predator"

Titre Original :
Alien Versus Predator

Accord Parental 

Synopsis

Une mystérieuse onde de chaleur, émanant du cœur de la banquise, se propage à travers l'Antarctique. Pour étudier ce phénomène, Charles Bishop Weyland finance une expédition scientifique pilotée par Alexa Woods. L'équipe découvre une pyramide renfermant des vestiges de civilisations aztèque, égyptienne et cambodgienne. Constituées d'un labyrinthe de "chambres", les issues se referment brutalement sur plusieurs membres de l'expédition. Des Predators retiennent captive une reine Alien dont ils livrent les descendants aux jeunes Predators lors de rituels.

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24 juillet 2008

[Critique] Alien Vs. Predator

Alien_Versus_Predator

Alien_Vs_Predator_Affiche_Redimention_e

Critique

Introduction :

Enfin ! Et oui, après tant d’années d’espérance, le duel tant attendu entre les deux monstres cultes du cinéma, les bien nommés Alien (Ou Xenomorph) et Predator ; arrivent au cinéma, après pas mal de combats dans des comics, des jeux vidéos et une référence dans Predator 2 (Sans compter les courts métrages de fans). Avec ce genre de film, on peut s’attendre au meilleur comme au pire, la destruction de licence(s) n’est jamais loin. Alors au final, qu’en est il de ce duel cinématographique attendu comme le messie par les fans ? Énorme déception ou bien duel épique au sommet ? La réponse se trouve dans cette critique, comme vous devez sûrement le savoir !

Critique :

Ah, Alien et Predator … Deux monstres du cinéma ceux là ! Et dans les deux sens du terme : ils sont monstrueux, et en plus ils ont le mérite de posséder le statut de personnage culte ! L’un est un espèce de serpent galactique, l’autre est un chasseur à la coiffure rasta. L’un s’amuse à terroriser l’équipage du Nostromo, l’autre aime faire une partie de chasse avec Mister Terminator. L’un à eu 4 films pour lui, l’autre seulement 2. On pouvait croire que rien ne pourrait les réunir (Si ce n’est le genre du film, le fait que ce soit des créatures vivant à la base dans l’espace et que ce sont des emblèmes du cinéma), et pourtant, les deux bestioles se sont souvent rencontrées, et généralement, ça se castagne plus que ça ne joue à la dînette quand les deux créatures se croisent !

On a eu le droit à tout dans le genre Alien Versus Predator : une bande dessinée, des jouets, un jeu de cartes, des jeux vidéos … (Ils ont même rencontré Batman, Superman, Terminator ainsi que quelques autres personnages très connus pour l’anecdote) Et pourtant, il manquait quelque chose à ce joli tableau : un film ! Ben oui, mise à part quelques courts métrages réalisés par des fans (Dont un vraiment très réussi, qui s’appelle Batman : Dead End, que je vous conseille de voir !), on a jamais vu nos deux bestiaux s’affronter sur grand écran ! Et bien c’est finalement arrivé ! Profitant de la mode "Versus" avec Freddy Contre Jason, voila que Paul Anderson nous livre le film que tous les fans attendaient !

Et là BLOUM ! Le doute commence à arriver à grand pas. Déjà, on peut craindre le pire par le fait que quand on tente de satisfaire une communauté aussi grosse que celle ci, il y a énormément de pression et on peut tout foirer ! Deuxièmement, c’est W.S. Anderson (A ne pas confondre avec Paul Thomas Anderson, plus talentueux) qui réalise le film, à l’origine de Mortal Kombat et Resident Evil, qui d’après les quelques critiques que j’ai pu lire, s’avèrent être des navets en puissance. Alors là forcément, on peut sérieusement commencer à avoir un peu peur sur le résultat final. Les prémonitions négatives étaient elles vraiment justifiées ? Et bien il s’avère que oui, la déception est au rendez vous ! Le film est il a jeter complètement ? C’est ce que nous allons voir tout de suite !

Premier point sur lequel je voudrais commencer, c’est bien sûr sur le scénario ! Ça commence donc sur le point scénaristique suivant : une mystérieuse onde de chaleur à été découverte en Antarctique, et ce par satellite ! Intrigué par ce phénomène, Charles Bishop Weyland décide de partir en expédition pour voir de quoi il s’agit. Pour cela, il engage un groupe d’explorateurs et de scientifiques, dirigé par Alexa Woods (L'héroïne du film) Ils découvriront bientôt qu’une pyramide d’origine égyptienne, aztèque et cambodgienne se trouve sous la banquise, et se rendront bien vite compte qu’ils ne sont pas seuls, car cette pyramide renferme une Reine Alien qui féconde des œufs d’Aliens destinés à des humains sacrifiés pour que les jeunes Predators deviennent adultes grâce à ce fameux rite ! Et devinez quoi ? Nos héros vont se retrouver au beau milieu de tout ça, et autant le dire tout de suite, le massacre sera au rendez vous … (Même si en réalité on ne voit quasiment rien, ce qui est dommage, surtout pour les adeptes de « boucherie hardcore », comme dirait certaines personnes … Désolé, mais ça me démangeait)

Voila pour ce qui est du scénario. Alors oui, nous sommes dans un film où deux bestioles se castagnent, donc forcément, le scénario est un peu banal et sert de prétexte pour les combats. Ceux qui cherchent donc un synopsis travaillé avec divers sens de lecture, des références cachées et tout le bordel devront passer leur chemin. Alors oui, je suis d’accord sur le fait que le scénario n’est pas le point fort de ce genre de film, mais de là à nous pondre un lieu de l’action aussi idiot que celui là … Ok, je sais que c’est du fantastique, on peut se permettre certaines choses qu’on ne peut pas faire dans d’autres films, mais là, expliquez moi comment cela se fait il qu’une pyramide créée par des Predators possède des textes écrits dans un langage égyptien ou encore aztèque !!! Un scénario peu crédible donc, ce qui commence déjà mal pour ce film !

Continuons sur quelque chose d’un peu plus positif en parlant des créatures. On retrouve donc nos bestioles adorées, Alien et Predator, et heureusement, elles sont fidèles aux originales. On retrouve donc les différentes phases d’évolution de l’Alien, le fameux arsenal du Predator, l’acide de la bestiole tout droit sorti d’un œuf … euh pardon d’un ventre (enfin, à l'origine, la première forme de l'Alien vit dans un œuf, mais ça c'est une petite parenthèse ... Bah vous verrez bien  si vous voyez un des 4 Alien un de ces jours, vous comprendrez !), la capacité de camouflage du chasseur galactique … Bref, c’est avec grand plaisir que l’on revoit (Ou découvre, ça dépend) les deux monstres à l’écran et à notre soulagement général, les créatures sont fidèles aux films d’origine (Même si certains grands fans chipoteront sur certains détails, ce que je comprends parfaitement) Créatures assez bien réalisées, pour la petite précision.

On finit sur les créatures avec ce que tout le monde attendait de ce film : les affrontements entre les deux monstres. Les combats sont pas trop mal, assez bien rythmés, on regrette juste le fait qu’ils ne soient pas assez nombreux (Sur la totalité du film, on doit comptabiliser 3 / 4 combats grand max, mais je suis plus sûr), pour laisser place aux autres éléments du film, ce qui est assez dommage, car on voulait surtout voir ça et puis surtout à côté de ça le rythme n’est pas forcément tout le temps au rendez vous (Surtout au début, quand le film développe les personnages, qui n’avaient pas franchement besoin d’autant de développement, car ils sont tous bourrés de clichés, si bien qu’on se retrouve à avoir enfin une rencontre entre les deux bestioles à la moitié du film !)

Mais malheureusement il est temps de quitter les points positifs, pour passer au reste du film, qui n’est pas aussi bon qu’on pouvait le croire. En effet, il y a beaucoup de défauts. Premièrement, puis ce que l’on parle des humains, les héros nous balancent généralement des répliques à la noix, et quand ça essaye d’être un temps soit peu drôle, ça ne l’est pas du tout, ou alors ça le devient quand il ne faut pas (LA réplique qui restera pour moi dans les annales : Vient te battre, sale fils de pute). Déjà que les personnages étaient à la limite du ridicule (Sauf Charles Bishop Weyland, qui est peu être le personnage le plus intéressant dans cette flopée de héros déjà vus…) quand on voit les répliques …

Continuons dans le ridicule avec les scènes au ralenti. Généralement, dans toute bonne production américaine, il faut des scènes d’actions (Il y en a), des explosions (Il y en a), des répliques ridicules (Il y en a) et quelques scènes au ralenti (Et encore, je suis sur que je loupe quelques clichés). Et bien il y en a dans Alien Vs Predator, et croyez moi, c’est pas une scène ou deux, oh non, c’est quasiment le double, voir le triple ! Bon, quand c’est plutôt bien fait, ça passe, mais quand c’est franchement nul à chier, ça gave ! Quand on sait que le final nous offre une espèce de référence (Peut être non voulu) à Alerte à Malibu avec un Predator et une héroïne qui se prennent pour Paméla Anderson, on ne peut dire qu’une seule chose : on a du mal à faire pire (Et puis même, pourquoi des ralentis à la noix dans un film comme ça ! Ben non, il faut toujours qu’un film américain se farcisse ce genre de scène !)

Ah, puisque je parle du final, autant vous signaler aussi l’un des défauts les plus flagrants dans ce film : la fin ! Alors je risque un peu de spoiler la fin, mais bon, vous ferez avec. La fin est loupée, mais alors complètement loupée à cause d’un élément : l’alliance héroïne / créature (laquelle des deux, je ne le dévoilerai pas, au cas où vous voudriez voir ce film !) Depuis quand, mais alors oui, depuis quand une créature qui normalement s’en fout complètement des humains et qui les massacre sans aucune pitié s’associe avec un humain ! C’est n’importe quoi, ça ne respecte pas du tout la franchise « victime » de cet affront (Bon ok, j’exagère un peu quand même …), et c’est très décevant !

Vous pensiez en avoir finit avec les défauts ? Et bien non, on peut encore en trouver des tonnes, mais je tiens tout de même à signaler un dernier défaut qui n’a assez gêné : la supériorité du Predator par rapport à l’Alien. Alors ok, le Predator est super armé, il est hyper fort, mais Anderson aurait pu équilibrer les forces en laissant un peu plus de chance aux Aliens ! Ben non, un Predator, c’est hyper balèze, ça détruit les Aliens très facilement, comme si il faisait ça tous les jours (Bon ok, d’après le scénario c’est quasiment ça, mais j’en dis pas plus !), rien ne lui résiste … Rassurez vous, j’ai rien contre les Predators, mais quand même, faut pas abuser non plus !

Mais le film n’est pas à jeter totalement, rassurez vous ! Comme je l’ai dis plus tôt, les créatures sont bien réalisées (Ainsi que la plus part des effets spéciaux, mais ça c’est pour la petite parenthèse), les combats sont plutôt bons, mais pour ce qui est du reste, ça aurait dû être peaufiné ! Anderson aurait dû enlever les scènes au ralenti, changer la fin, équilibrer les forces des deux combattants, éviter les clichés … Ne jetons pas totalement la pierre sur le film, on aurait pu faire encore pire à mon avis, ça reste correct, ça se regarde, mais c’est pas exceptionnel ! Vous voila prévenu ! (A noter que je suis sur que certains trouveront encore plus de défauts que moi si on creuse bien, mais ça c’est une autre histoire !)

Les + :

- Les créatures, toujours aussi « charmantes »
- Les combats Alien contre Predator, plutôt bons
- Les effets spéciaux, convenables

Les - :

- Le lieu de l’action, pas crédible du tout (Comme certains passages du film d’ailleurs)
- Les répliques à la noix des personnages, vraiment très bêtes
- Les ralentis, ridicules au possible
- L’alliance de la fin, irrespectueuse envers la franchise
- La supériorité des Predators, qui plombe un peu le match

Conclusion :

Alien Versus Predator ne rentrera pas dans les annales du genre, loin de là ! On aurait pu atteindre l’excellence, mais malheureusement, le film enchaîne gaffes sur gaffes : lieu de l’action très peu crédible, répliques aussi débiles que les personnages, très clichés d’ailleurs ; scènes au ralenti mal faites et inutiles, final irrespectueux, Predator bizarrement beaucoup plus fort que les Aliens … La liste peut être encore très longue si on cherche bien, mais heureusement, tout n’est pas noir dans ce film. Reste des créatures toujours aussi attachantes, des scènes de combat plutôt sympas et des effets spéciaux corrects. Ça se regarde, mais ne vous attendez pas à voir un chef d’œuvre comme les films d’origine (Si on fait l'impasse sur deux trois films cependant). Dommage …

Note : 4,5/10

Critique rédigée par Mémé, merci de respecter les droits d'auteur et de ne pas copier cet article sans l'autorisation de son auteur.

Critique rédigée le : 06/01/08

23 juillet 2008

Fiche Film "Ratatouille"

Ratatouille

Ratatouille_Affiche_Redimention_e

Fiche_Technique

Date de sortie Cinéma Française : 1er Août 2007

Date de sortie Cinéma Américaine : 29 Juin 2007

Réalisateur : Brad Bird

Avec les voix de : Patton Oswalt, Lou Romano, Janeane Garofalo ... (VO) ; Guillaume Lebon, Thierry Ragueneau, Camille ... (VF)

Durée : 1h50

Genre : Film d'animation

Film américain

Année de production : 2007

Distribution :
Buena Vista International

Compositeur : Michael Giacchino

D'après : /

Titre Original : Ratatouille

Tous publics

Le court métrage « Extra Terrien » est normalement diffusé avant le film dans les salles de cinéma.

Synopsis

Rémy est un jeune rat qui rêve de devenir un grand chef français. Ni l'opposition de sa famille, ni le fait d'être un rongeur dans une profession qui les déteste ne le démotivent. Rémy est prêt à tout pour vivre sa passion de la cuisine ... et le fait d'habiter dans les égouts du restaurant ultra coté de la star des fourneaux, Auguste Gusteau, va lui en donner l'occasion ! Malgré le danger et les pièges, la tentation est grande de s'aventurer dans cet univers interdit. Écartelé entre son rêve et sa condition, Rémy va découvrir le vrai sens de l'aventure, de l'amitié, de la famille ... et comprendre qu'il doit trouver le courage d'être ce qu'il est : un rat qui veut être un grand chef ...

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