Editeur France: Kurokawa (Collection Shonen) Type : Manga Genre : Shonen, Aventure, Fantastique Couleur: Noir & Blanc Sens de lecture : Japonais Nombre de tomes sortis au japon : 21 Nombre de tomes sortis en france : 19 Date de parution du prochain volume en france: le tome 20 sort le 9 Avril 2009
C'est un manga assez complet que je conseillerait plûtot pour ceux qui aiment bien la baston, les trains à vapeurs, l'alchimie et les gens de petite taille ^^
Dans un monde ressemblant au notre, une science prédominante existe nommé alchimie. Dans un petit village nommé Resembool un jeune garçon nommé Edward Elric et son petit frère Alphonse Elric sont orphelins depuis que leur père, grand alchemiste, les abandonna et que leur mère ,malade et déprimé depuis le départ de son mari, depuis lors il avait vécu chez leur voisine nommé Mamie Pinako (ou Pinako Rockbell) et sa petit fille Winry Rockbell. Quelques temps après après avoir appris l'alchimie chez Izumi Curtis de Dublith, les deux frères tentent de faire réssuciter leur mère défunte mais alors qu'ils firent leur transmutation (utilisation de l'alchimie), celle-ci se retourna contre eux ainsi Edward perdit un bras et une jambe tandis qu'Alphonse perdit son corps et dut être enfermé dans une armure pour "survivre" jusqu'a ce que les deux frères retrouvent leur corps. C'est ainsi que débute leur quête de retrouver leur corps pour cela ils doivent chercher et crée une Pierre Philosophale (pierre possédant des pouvoirs miraculeux) voici pourquoi Edward Elric veut rentrer dans l'armée en tant qu'Alchimiste d'Etat. Epaulé par l'Alchimiste de Flamme, Roy Mustang il réussit son examen et devient le Full Metal Alchemist.
L'avis de Arnonaud :Que dire sur FullMetal Alchemist...A part que c'est surement le meilleur shonen du moment ? Ca vous le savez surement, tout le monde le dit, faut dire que c'est entièrement justifié. La brillante Hiromu Harakawa renouvelle avec brio le genre du shonen, plus particulièrement du shonen de baston bien nekketsu (donc basé sur des histoires d'amitiés et de méchants de plus en plus forts...Dragon Ball quoi en gros) en offrant un manga avec histoire passionnante et qui se révèle beaucoup plus profonde et noire qu'il n'y paraît, des personnages attachants et charismatiques, un humour tout simplement excellent (les nombreux bonus le confirme d'ailleurs) et assez présent ainsi que de l'action musclée très bien écrite, déssinée et mis en scène ! Bref c'est un manga génial dont il serait fort dommage de se priver ! Une des valeurs les plus sures que je connaisses.
Couleur: Noir & Blanc Sens de lecture: Japonais Nombre de tomes sortis au japon : 6 Nombre de tomes sortis en France : 2
Date de parution du prochain volume en France : 26 février 2009
Sôichi Negishi est un jeune garçon qui affectionne les ambiances délicates et la pop suédoise… Pourtant, comble du paradoxe, il est le chanteur-guitariste déchaîné de « DMC » (« Detroit Metal City »), un groupe de Death Metal.
Rendu méconnaissable par un maquillage outrancier et provocateur à la façon du groupe « Kiss », épaulé par les deux autres membres de son groupe, il écume la scène musicale indépendante Tokyoïte en vociférant des imprécations démoniques sur fond de guitares électriques tapageuses. La jeune fille dont il est secrètement amoureux, et qu’il tente de conquérir, déteste le Death Metal. Sôichi, tiraillé entre sa délicatesse naturelle et son rôle « d’empereur des ténèbres » de la musique va devoir gérer aussi habilement que possible sa double vie pour avoir une chance de séduire l’élue de son coeur. Mais la vie est compliquée et les situations équivoques qui vont succéder, vont lui rendre ses chances de succès bien improbables…
L'avis de Arnonaud :Ayant vu dans l'Anime Land que ce manga était bien, je l'avais conseillé à l'ami GL, qui cherchait à l'époque un manga; et vu qu'il traite du monde du métal, je me suis dit que ça allait surement lui plaire. Et ce fut le cas. Il faut dire que c'est un manga comique détonnant dont le succès incroyables chez les mangeurs de sushi semble amplement mérité. Avec son humour crétin, ses dessins bizarres et ses persos loufoques et le dico DMC absolument hilarant, on en oublierait presque que le manga est ultra encré dans les stéréotypes des genres musicaux car il offre une bonne tranche de fous rires dans des petites histoires auto-conclusives très symphatoches. Un bon manga.
2008 est maintenant
terminé. 12 mois où les semaines se sont succédées à un rythme parfois
de folie, mais aussi où les films se sont enchainés pour un certain
nombre de personnes à la chaine. En effet, c'est un fait que l'on
retrouve depuis des dizaines d'années, une poignée de films sortent
chaque semaine, le Mercredi précisément, et il y en a pour tout les
goûts. Et comme l'année 2008 est finie, l'ocassion de dresser un bilan
est venu, et sous une forme plus ou moins originale. En effet, plutôt
que de vous livrer l'habituel top 10 / flop 10 avec d'autres
récompenses subjectives, Mémé vous propose aujourd'hui une playlist ...
avec des musiques de films sortis en 2008. 24 films ont étés
sélectionnés, deux par mois, pour représenter les différents films de
l'année passée. Au programme donc, des morceaux plutôt variés au niveau
du genre (comme la qualité globale des films, j'avouerai que certains
ont étés pris par défauts), allant de moins d'une minute à presque dix
minutes. On notera aussi que certaines musiques ont aussi étés
entendues dans d'autres films, et que certaines sont des compositions
de groupe. Et pour couronner le tout, un 25eme morceau est offert, qui
est tout simplement le premier morceau du score du film le plus attendu
par Mémé en 2009 sur les écrans : l'Etrange Histoire de Benjamin
Button. Trève de bavardages, laisser vous donc porter par la musique !
Bonne lecture, et vive le Cinéma !
Membres du groupe : Jordan Davis - Vocal, piano, synthethiseur Nico Lowell - Basses Sebastian Danielsson - Guitare Roman "Pach" Pawar - Guitare Alexander Boethius - Batterie
Ancien membre : /
à venir bientot...
à venir...
Avis de Green Limon : Un groupe de musique très original et fort agréable à l'écoute. Of the I mélange une basse proche du rock/métal avec des sons très ambient le tout avec une voix clair et précise. C'est un groupe que je recommande pour beaucoup car vous ne trouverez ce genre nulle part ailleurs !
Il
aura fallu attendre plus de 5 ans avant de voir le projet sous sa forme
définitive, mais le voilà enfin, le fameux biopic sur la célèbre vie de l’icône
de la révolution Cubaine (et désormais révolution en général) : Ernesto
Guevara, alias le Che. C’est donc à Steven Soderbergh que revient la lourde
tache de décrire la vie du révolutionnaire argentin à l’écran, et pour cela, le
réalisateur de la saga Danny Ocean n’y est pas aller de main morte, et propose
ni plus ni moins que deux films pour le prix d’une légende ! Présenté au
festival de Cannes 2008 sous sa forme complète, le projet finira dans les
salles sous la forme de deux films à deux sorties différentes. L’Argentin est
le premier de ce binôme ambitieux, et le résultat est il à la hauteur de la
réputation du film, mais surtout, du personnage ? Benicio del Toro mérite
t’il son prix d’interprétation accordé unanimement par le jury de Cannes ?
Révolution dans le genre, ou déception aussi énorme que le charisme du
révolutionnaire ? La réponse se trouve dans cette critique, et ce sans
plus tarder !
Critique :
Si
il y a bien un genre dans le domaine du cinéma où le risque est parfois énorme,
c’est celui du biopic (ou biographic picture, en forme non contractée, et film
biographique, pour les non anglophones). En effet, ce genre de film n’est pas
spécialement évident à réaliser, puisque ce dernier à non seulement des codes
propres, mais aussi des énormes contraintes : l’histoire du film existe
vraiment, les faits ne sont pas fictifs et le personnage dont traite l’histoire
est généralement quelqu’un de très célèbre, il faut donc un acteur de talent
pour le voir s’incarner à l’écran pour que l’ensemble soit crédible. Il faut
donc les respecter un maximum, ce qui empêche une certaine liberté. Pourtant,
ce genre parfois casse gueule (excusez l’expression) marche beaucoup, et ce
n’est pas les dernières sorties cinémas qui sont là pour contredire ce fait.
Qu’ils parlent de chanteurs, d’écrivains, d’acteurs ou de personnalités diverses
et variées, ce genre à le vent en poupe, et les projets s’accumulent au fil du
temps. Se ressemblant généralement, ces films peuvent livrer parfois du très
bon (il suffit de voir La Môme sur la vie d’Edith Piaf ou The Queen sur
Elisabeth II pour s’en rendre compte), et parfois du très mitigé (Coluche –
L’Histoire d’un mec, pour rester dans le récent).
Alors
quand on nous annonce qu’un nouveau film sur le Che, le fameux révolutionnaire
qui aida Fidel Castro à renverser la dictature de Batista à Cuba ; est en
préparation, on ne peut que frémir d’impatience, mais aussi de crainte (malgré
le fait que ce ne soit pas le premier film sur le personnage, loin de là). En
effet, qui serait suffisamment doué pour incarner une personne qui est
désormais passé au statut d’icône ? Mais surtout, qui pourrait bien mettre
le projet en scène ? C’est pourtant le pari fou que s’est lancé Steven
Soderbergh, réalisateur reconnu dans le monde du cinéma, qui a pris la
succession de Terrence Malik sur le projet, qu’il avait déjà prévu depuis 2003,
mais qu’il abandonna pour réaliser Le Nouveau Monde. Mais à l’instar du projet
de biopic sur Mesrine en France (et qui a connu un grand succès critique), le
réalisateur de Ocean’s Eleven (entre autres) ne s’est pas contenté d’un seul
film, mais d’un binôme, chacun exploitant une facette de la vie du Che. La
première partie parlant de son ascension dans la révolution, et la seconde de
la fin de sa vie jusqu’à sa mort. Le tout sur une durée totale de plus de
quatre heures.
De
l’ambition certes, mais aussi et surtout de l’attente et de l’appréhension. En
effet, le réalisateur nous as habitué à du très bon (Ocean’s Eleven ;
Sexe, Mensonges et Vidéo pour ne citer qu’eux), mais aussi à du moins bon, voir
du très mauvais (les deux autres Ocean’s), ce qui peut inquiéter. Le choix du
Che s’est porter sur Benicio del Toro, acteur reconnu, mais ce dernier est il
assez talentueux pour incarner un tel personnage, sans sombrer dans la
caricature ou la fadeur, au risque de décevoir des milliers de fans (car dieu
sait qu’ils sont nombreux) ? Seule la première partie est sortie pour le
moment (car contrairement à la projection Cannoise, le film est séparé pour sa
sortie Française), mais cela n’empêche pas d’émettre des premières impressions
sur le projet. Alors, Soderbergh signe t’il son grand retour après quelques
films passables ? N’aurait il pas viser un peu trop haut ? Et bien
c’est ce que nous allons voir dans cette critique !
Commençons
par la base de tout projet, et plus particulièrement pour ce genre là :
l’histoire du film ! L’histoire de L’Argentin démarre sur la rencontre
dans un appartement de Mexico entre Ernesto Guevara, un médecin argentin et
Fidel Castro, chef révolutionnaire ; et continuera jusqu’à la prise de
Santa Anna, dernière ville à prendre avant le Havane pour que la Révolution
puisse se réaliser correctement en renversant la dictature de Batista, qui a
pris le pouvoir par un coup d’état. Avec bien évidement tout (ou presque) ce
que le Che à vécu entre ces deux périodes. Mais ce n’est pas tout, puisqu’en
parallèle, l’histoire fait un bond en avant dans le temps en faisant suivre au
spectateur le discours du Che en 1964 à l’ONU, plus une interview d’une
journaliste sur son histoire.
Le
scénario suit donc principalement l’ascension fulgurante du Che dans le groupe
révolutionnaire Cubain (mais aussi sa réaction après cette révolution et sa
perception de sa propre image, via l’interview) et se révèle très intéressant.
En effet, le film nous épargne complètement l’enfance du personnage ainsi que
sa vie personnelle, évitant au spectateur d’interminables longueurs et nous
amène directement au cœur du sujet, ce qui est une bonne initiative, qui sera
bénéfique pour le rythme. Bien écrit, l’histoire du film va donc droit au but,
et passionne de bout en bout, d’autant que la vie du Che est remplie
d’événements importants.
Et
comme dans la plupart des films du genre, l’histoire de Che – Partie 1 respecte
les événements réels qui se sont produits à ce moment là. On retrouve tout
l’entourage du Che, que ce soit ses alliés (Castro) ou ses ennemis (Batista),
les principaux actes révolutionnaires de la période du film (la conquête des
villes occupées, l’entraînement des troupes révolutionnaires, le
« commando suicide » …), et même des citations de son livre, dont le
film est en plus basé. De plus, le film ne traîne pas en longueurs avec
certains événements qui auraient pu être trop appuyés, ce qui est assez rare
dans le genre pour être souligné.
Cependant,
le scénario n’est pas totalement parfait, puisqu’un petit défaut notable fait
son apparition très vite dans le film : l’aspect sombre de la personnalité
du Che (qui offre des débats mouvementés entre historiens) n’est pas assez
exploité. Ainsi, la vision que nous donnes Soderbergh est certes juste (la plupart
des idéaux sont représentés dans le film, tout comme les caractéristiques
morales du personnage, à la fois médecin, soldat et intellect), mais aurait due
être plus approfondie sur certains de ses actes. A la place, il n’y a que de
minimes sous entendus sur des fusillades de quelques innocents, donnant au Che
une image un peu trop propre pour sonner totalement vraie, même si cela permet
d’éviter de poser un point de vue, donc de rester objectif par rapport à
l’histoire qui s’est déroulée. Une petite tare, mais rien de bien méchant.
Pour
finir sur l’histoire, il faut savoir que cette dernière n’est pas totalement
structurée comme la plupart des biopic, car elle ne suit pas un flux temporel
dirigiste. Ainsi, Soderbergh à garder cette idée scénaristique qui consiste à
morcelé le récit au niveau des époques (à l’image de La Môme, qui utilise
brillamment ce procédé d’écriture) Le spectateur passe donc de l’interview de
1964 à la rencontre avec Castro, puis le chemin tumultueux du Che pour libérer
les villes Cubaines, qui sera entrecoupées par la conférence à l’ONU et
l’interview qui analyse la situation (à l’image) avec le recul du temps (à
l’audio, via une voix off). Un récit qui semble déstructuré au premier abord,
mais qui se révèle au final intéressant sur le plan scénaristique et artistique,
faisant sortir le film des sentiers battus du genre (même si ce n’est pas le
seul à utiliser ce procédé)
Sur
le plan de la mise en scène et de la photographie, Steven Soderbergh prouve
encore une fois qu’il sait maîtriser sa caméra, en nous livrant des plans
choisis avec justesse. La mise en scène est fluide, et la caméra RED inventée spécialement
pour le film apporte un plus à l’image, aux couleurs sublimées. Soderbergh à
aussi eu la très bonne idée de mettre les scènes qui se déroulent
temporellement après la révolution cubaine et la prise du Havane en noir et
blanc, offrant un partie prix artistique intéressant , sur le plan esthétique,
mais aussi sur le plan du sens. Rien à redire sur cet aspect là !
Mais
la véritable force du film ne se trouve pas dans sa mise en scène, ni dans son
histoire (même si ces deux derniers sont de qualité) mais dans le rôle du Che. Après
la projection du film, il parait évident qu’il ne peut y avoir qu’un seul
acteur pour incarner une tel légende, et c’est bel et bien Benicio Del Toro (à
ne pas confondre avec le réalisateur, Guillermo del Toro, non moins
fameux !). La ressemblance entre l’acteur et le personnage est troublante,
et elle ne fera que s’accentuée au fil du film. Lorsque le Che abordera son
apparence la plus connue (les cheveux longs et le béret entre autres),
l’évidence est sous les yeux, et le charisme du personnage est définitivement
retrouvé. Le jeu d’acteur de Benicio del Toro n’est pas en reste, et est très
convaincant, sans jamais tomber dans la caricature. On ne voit pas un acteur
jouer le Che, il est tout simplement Ernesto Guevara. Les mimiques sont
exactement les mêmes, l’attitude du personnage aussi, le ton de la voix … Le
prix d’interprétation est amplement mérité, et on voit difficilement comment il
aurait pu passer à côté !
Le
reste du casting quand à lui réussi à être convaincant, malgré l’imposante
prestation de del Toro. Demian Bichir joue bien son rôle de Fidel Castro
(malgré une petite tendance à un peu trop appuyer ses propos par des gestes,
mais ce n’est qu’une petite remarque), Catalina Sandino Moreno est juste dans
le personnage de Aleida Guevara (l’un des seuls personnages féminins du
film) … Bref, un casting de choix (et on notera aussi le choix de ne pas
montrer Batista, qui n’est que mentionné)
On
notera aussi que le rythme du film s’essouffle rarement, pour ne pas dire
jamais, et que les deux heures passent très vite, et ce à cause d’un rythme
bien géré, entre scènes de fusillades réussies (la prise de Santa Anna nous
livre d’ailleurs de très bonnes scènes d’actions) et développement de la
personnalité du Che à travers les rapports humains du révolutionnaire et son
interview qui justifie ses actes. Enfin, le film n’a quasiment pas de musique,
ce qui offre un parti prix intéressant pour la mise en scène.
Que
dire de plus, si ce n’est que L’Argentin est une réussite quasi-totale (malgré
un petit défaut qui peut être justifié), et qu’il nous tarde de voir la
suite ! Un peu trop même, puisque la fin se révèle être particulièrement
frustrante, coupant net dans son élan la montée en puissance du film, et ne
donnant envie que d’une seule chose : voir la suite le plus vite
possible ! Ce qui aurait pu être un énorme pétard mouillé se révèle être
un très bon biopic, passionnant de bout en bout et porté par un Benicio del
Toro au sommet. Soderbergh est de retour en grande forme, et on en redemande
volontiers !
Les + :
- Benicio del Toro,
impressionnant dans le rôle du Che - L’histoire, bien
structurée et fidèle - La mise en scène, très
belle
Les - :
- Les parts d’ombres du Che,
trop sous entendues - La fin, frustrante … - … car on veut la suite !
Conclusion :
Che
– 1ere Partie : L’Argentin est le genre de biopic que l’on aimerait voir
plus souvent. Ne se contentant pas de surfer sur la vague de la mode du genre,
Steven Soderbergh livre une œuvre captivante, au rythme qui se faiblit jamais,
et porté par un Benicio del Toro absolument bluffant dans son interprétation du
Che. Ne tombant jamais dans la caricature, son attitude combinée à sa
ressemblance troublante avec le révolutionnaire s’impose comme le meilleur
choix possible pour le rôle. La mise en scène est encore une fois maîtrisée par
le réalisateur des trois Ocean’s, et la caméra RED sublime les couleurs des
décors, et l’histoire se révèle très bien écrite, en épargant au spectateur des
détails qui auraient pus paraître futiles et alourdissant le rythme. Au
contraire, ce dernier va droit au but, et fascine de bout en bout. Proposé dans
une forme déstructurée mêlant diverses années ne se succédant pas dans l’ordre
normal du temps, il aurait fallu que Soderbergh appui un peu plus sur les
aspects plus sombres de la personnalité du Che pour signer un très grand film.
Le film n’en reste pas moins de bonne facture, voir même de très bonne, et le
spectateur en redemande, devant une fin qui en frustra plus d’un ! Une
réussite, qui laisse espérer une suite de même niveau, voir, on le souhaite de
tout coeur, encore meilleure !
Date de sortie Cinéma Américaine : 12 Décembre 2008
Réalisateur : Steven Soderbergh
Avec : Benicio del Toro, Demian Bichir, Santiago Cabrea ...
Durée : 2h07
Genre : Biopic / Guerre
Film Français, Américain, Espagnol
Année de production : 2008
Distribution : Warner Bros. France
Compositeur : Alberto Iglesias
D'après : la véritable vie de Ernesto "Che" Guevara
Titre Original :Che - Part 1
Tous publics
Cuba, 1952 : le général Fulgencio Batista fomente un putsch, s'empare du pouvoir et annule les élections générales. Bravant ce dictateur corrompu, un jeune avocat, Fidel Castro, candidat à la députation sous la bannière du Parti du Peuple, passe à l'action. Dans l'espoir de provoquer un soulèvement populaire, il attaque avec 150 jeunes la caserne de Monaca le 26 juillet 1953. L'opération échoue ; Castro passe deux ans en prison. Amnistié en 1955, il s'exile à Mexico. Pendant ce temps, au Guatemala, un jeune Argentin idéaliste, Ernesto Guevara, se lance en politique. En 1954, lorsqu'un complot militaire soutenu par la CIA renverse le gouvernement, démocratiquement élu, de Jacobo Arbenz, Guevara se réfugie au Mexique. Après une première prise de contact au Guatemala, il rejoint un groupuscule révolutionnaire cubain. le 13 juillet 1955, dans un modeste appartement de Mexico, Raul Castro présente Guevara à son frère aîné, Fidel. Une rencontre discrète, qui marque une date clé dans l'histoire de Cuba. Guevara se voit immédiatement confier une opération de guérilla en vue de renverser Batista. Les Cubains affublent le jeune rebelle d'un sobriquet courant en Argentine : "Che". 26 novembre 1956 : Fidel Castro embarque pour Cuba avec 80 rebelles. L'offensive se solde par un massacre : seuls douze hommes en réchappent, dont le Che (médecin du groupe) et Castro. Réfugiés dans la Sierra Maestra, les "barbudos" déclarent la "guerre totale" au régime de Batista. Guevara prouve ses qualités de combattant et se rend indispensable à ses compagnons. La résistante s'intensifie, gagne toute l'île. 1er janvier 1959 : les rebelles célèbrent leur victoire à Santa Clara, le dictateur s'enfuit. Fin de la 1ère partie...
Terminator Renaissance à trouver son compositeur !
Terminator Renaissance continue de faire parler de lui, certes tout doucement, mais surement. Après la première bande annonce du film, et alors que le film est en ce moment en pleine phase de post-production et de montage, voilà qu'un élément du casting "technique" jusque là encore resté dans l'ombre vient de dévoiler son nom : le compositeur du score de Terminator Renaissance. Et l'heureux élu n'est autre qu'un grand nom de la musique de film, idolé par de nombreuses personnes (dont votre Mémé, qui le considère comme le plus grand musicien de tous les temps), il s'agit de ... Danny Elfman !
Le compositeur attitré de Tim Burton rejoint donc le casting de Terminator Renaissance (et il n'est pas le seul du "clan" Burton à rejoindre le film, puisque sa compagne Helena Bonham Carter jouera dans le film), et travaille depuis ce Jeudi 8 Janvier 2009 sur la musique de ce projet désormais de plus en plus rassurant, et surtout intéressant ; malgré le fait que McG (les deux Charlie's Angels) soit aux commandes du projet. Elfman à d'ailleurs préciser une petite information consernant la musique culte de la saga Terminator. Le compositeur ne sait pas encore si le célèbre thème musical sera utiliser dans le film, et avisera en fonction de son utilisation. Si ce dernier n'est pas justifié, les fans pourront malheureusement faire une croix dessus.
Rappellons que Danny Elfman est un très grand compositeur de musiques de films, et à composé entre autres (pour ne se limiter qu'à ça, puisque Elfman est aussi compositeur de jeux vidéos et chanteur sur certains de ses morceaux ... Oui, les Oompas Loompas de Charlie et la Chocolaterie, c'est lui !) les bandes originales de 11 films de Tim Burton (à l'exception de Ed Wood et de Sweeney Todd - Le Diabolique Barbier de Fleet Street). Habitué aux musiques gothiques, aux choeurs angéliques et maitrisant les instruments à la perfection, il n'est pas étonnant de voir ce compositeur se tourner vers un tel projet, quand on remarque que ses dernières bandes originales sont plus "Hollywoodiennes" (Le Royaume, Wanted, ou encore Hellboy II - Les Légions d'Or Maudites, même si cette dernière conserve certaines emprintes du style Elfman que tous les fans de Burton connaissent). On retrouvera Danny Elfman prochainement à la composition dans Alice au Pays des Merveilles de Tim Burton en 2010, et surement d'autres projets en attendant !
Terminator Renaissance se déroule en 2018, dans un monde devenu ruines et cendres depuis que Skynet et son armée de Terminators
en ont pris le contrôle suite à l'apocalyptique guerre entre les hommes
et les machines. A la tête de la résistance humaine qui tente de
reprendre le contrôle de ce monde, John Connor, qui va faire la rencontre d'un mystérieux individu : Marcus Wright, amnésique. Connor va alors tenter de savoir si Marcus vient du passé, ou du futur ; et va découvrir dans son odyssée une terrible vérité sur Skynet, mais surtout sur les origines de l'annihilation totale de l'humanité ...
Sachez enfin que la suite de Terminator Renaissance (qui est le
quatrième volet de la saga rappellons le) semblerait être déjà en
préparation, du moins, en cours de projet, puisque les premiers échos
positifs des fans en vue de la bande annonce ont encouragés l'équipe du
film à voir dans cet optique. Christian Bale aurait de plus signer pour
3 films, ce qui ne fait que renforcer cette hypothèse, d'autant que McG avait annoncer Terminator Renaissance comme le premier volet d'une nouvelle trilogie Terminator. Si ceci venait à se confirmer (les résultats au box office nous le dirons),
Terminator 5 sortirait en 2011. En attendant, Renaissance lui est toujours attendu pour le 22 Mai 2009 en Amérique et le 3 Juin 2009 en France !
Bonus : Sous-couverture "Jouons au Docteur", 4koma bonus à chaque chapitre, les meilleurs moments de Kujibiki Unbalance RETURNS ! , le dôjinshi du Genshiken "Jouons au Docteur" version censurée, Pub Anime Genshiken et Genshiken volume 6, Ota'Club.
Spécificités : /
Résumé du dos du manga :
L'arrivée d'un nouveau membre en la personne de Chika Ogiué bouleverse les habitudes du club. Cette jeune fille a pour particularité de vouer une haine profonde aux Otakus et plus particulièrement aux membres féminins du club.Une lutte sans merci s'engage entre Ohno et Ogiué dont l'issue en surprendra plus d'un. Sasahara devenu président du Genshiken est bien décidé à faire progresser les activités du club. Il souhaite participer à la prochaine édition du Comic Festival, la plus grande convention de fanzines du Japon. Tout le monde se prépare pour cet évenement qui marquera un tournant dans la vie du club. L'esploration des méandres de l'Ota'culture se poursuit de plus belle !
Résumé du dos du manga par Kurokawa, recopié par Arnonaud (: D).
Attention ! Peut contenir des spoils !
L'avis de Arnonaud : Un tome très frais qui renouvelle la série du bon côté. Déjà que la série était très bonne, les petits changements arriver au cours du tome précédent ne font que améliorer le manga ! Les nouveaux personnages sont très attachants, que ce soit le discret mais délirant Kuchiki (que j'adore) et Ogiué la nouvelle fille du club qui est carrément l'antithèse de la gentille Ohno. Les deux ne se supporte pas et ça se voit ! Rajouter à ça un Sasahara qui prend enfin son rôle de personnage principal avec sa nouvelle fonction de président du club et un Kugapi qui devient enfin interessant ! Bref un tome original qui est surement le meilleur depuis le début de la série ! Les aventures de nos Otakus sont toujours aussi drôles, légères et attachantes ! Kurokawa nous montre encore une fois qu'ils ont choisis une bonne série et l'édition est fidèle à l'éditeur, elle est de qualitée. De bonnes polices, les onomatopées toutes adaptées, des bonus interessants...J'ai toutefois remarquer quelques petites erreurs d'impressions sur deux pages mais rien de grave.
Editeur France: Delcourt - Collection Shampooing. Type : BD Genre : Humour, receuil de Blog Couleur: Oui. Sens de lecture : Français Nombre de tomes sortis en france : 2
L'incroyable auteur de BD Boulet à enfin décider son blog sous forme de receuil relié, et chez shampooing en plus ! Qui édite déjà pas mal de blog à succès (entre celui de Lewis Trondheim et Lisa Mandel, pour ne citer qu'eux). Retrouvez donc des aventures du quotidien, farfelues, déjantées et irrésistibles...Boulet varie les thèmes et les méthodes de dessin pour un résultat assez détonnant. Boulet le dit si bien lui-même : "www.bouletcorp.com ce sont des histoires de qualité pour tout la famille."
La BD n'est pas sujète a une actualité pour le moment...
Attention ! Peut contenir des spoils !
L'avis de Arnonaud :Je ne risque pas d'être bien objectif dans cet avis, vu que Boulet est tout simplement mon auteur favori ! Des dessins sublimes et un humour légerement absurde absolument génial. Un cocktail qui détonne et qui fait de lui le vrai n°1 des blogs BD ! Quoi de plus à ajouter que...Achetez-le bouquin, ou aller voir son blog ! Rajoutez à ça que le bouquin est édité chez Shampooing du coup on se retrouve avec un bouquin de moyen format assez sympa a prendre en main et assez conséquent en nombre de pages. Le papier est d'excellente qualité et la couverture souple est très sympa. En somme : une bonne BD longue, drôle et conséquente sur un bon support !
"Before Their Eyes" est un groupe de Rock christian Post-Hardcore se considérant, selon leur myspace, comme du popcore (ce qui n'est pas entièrement faux) de Findlay, Ohio, USA. Actuellement, leur label est Rise Records. Tous les membres du groupes sont chrétiens ce qui a bien influencé leur musique sur tous les points. Leur nom, "Before Their Eyes" (devant leur yeux) est tirée de Romains 3:18 du Nouveau Testament : "There is no fear of God before their eyes" (Il n'y a pas de crainte de dieu devant leur yeux).
Le groupe à fais des concerts un peu partout à travers les États-Unis. Ils ont joué avec des groupes connus tel que "A Skylit Drive ou Four Letter Lie, aussi avec Memphis Mai Fire, Blinded Black, Dance Gavin Dance, Oh, Sleeper, The Hottness" et "Alesana". Ils sont apparus sur le "Black on Black Tour" de "Escape the Fate, Blessthefall, LoveHateHero" et "Dance Gavin Dance" et ont également joué le "Scream The Prayer Tour" de cette année avec "Here I Come Falling, Agraceful, Akissforjersey"
Ce tout à fait de Before Their Eyes un groupe connu et leur 2nd album, The Dawn of my death (L'aube de ma mort), étant sorti le 28 Octobre 2008, a atteint le top 10 du "Billboard Heatseekers chart.