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Pépé & Mémé Corporation - le blog officiel -

18 juillet 2009

[News JV] Bayonetta : Les dates de sortie !

Bayonetta

Bayonetta : Les dates de sortie !

Le début de l'année 2007 aura marquer un changement dans l'industrie du jeu vidéo, mais aussi dans les cœurs des gamers en quête de fraicheur, d'originalité et de jeux d'une rare qualité : la fermeture de Clover Studio. Un nom qui ne dit pas grand chose au grand public mais aussi à une majorité de joueurs, mais qui via quelques titres avait su s'imposer comme l'un des ténors de l'industrie en ce début du 21eme siècle. Filiale de Capcom, Clover Studio aura su se faire connaître par un premier titre acclamé par une grande partie des critiques : Vietwiful Joe, jeu d'action où le joueur incarnait un bonhomme absolument banal, Joe ; qui peut se transformer en super héros d'un coup de montre (et aussi d'une position bien kitsch et bien stylisée), et qui doit sauver sa belle des griffes de terribles méchants en passant à travers l'écran du cinéma où elle a été enlevée. Viewtiful Joe a la possibilité de jouer avec le temps pour vaincre ses ennemis ou activer des mécanismes, en l'accélérant ou le ralentissant par exemple. Ultra référentiel, le jeu aux graphismes en Cell Shading n'aura pas été un succès commercial, mais les joueurs qui ont pus tâter de la bête sont unanimes : un très grand jeu ! 2 suites (Vietwiful Joe 2 sur GameCube et Playstation 2, comme le premier ; et Vewtiful Joe Double Trouble sur Nintendo DS) et un dérivé (Viewtiful Joe Red Hot Rumble, sur GameCube et PSP, sorte de Super Smash Bros. dans l'univers du héros, mais en moins réussi) plus tard, Clover Studios se voit fermer après la décision de Capcom, les ventes étant insuffisantes malgré tous les avis positifs. Une décision qui aura marquer les joueurs, l'un des studios les plus créatifs et les plus talentueux de cette génération (malgré un petit raté) mettant la clé sous la porte. Cela n'empêchera pas Clover de marquer une dernière fois les esprits des joueurs en Février 2007 avec leurs deux derniers jeux édités en Europe : God Hand et Okami. Deux titres aux ambiances totalement opposées : le premier est un Beat'em All sur PS2 complètement barré où le héros du jeu va se retrouver avec le roi démon dans sa main. Le problème, c'est que ce dernier est convoité par des tas de méchants vilains pas beaux (et extrêmement ridicules !). Gene (le héros) va devoir affronter tous ses adversaires pour pouvoir enfin avoir la paix. Gameplay très technique rappelant à certains moments les jeux de Combat et ambiance de folie sont au programme qui aura su diviser son public, une partie criant au meilleur jeu du genre et une autre à un pétard mouillé. Soit tout l'opposé de Okami, lui aussi sorti sur Playstation 2 en Février 2007. Les avis sont unanimes : cette histoire de déesse japonaise  réincarnée en loup / louve qui doit sauver le Japon des ténèbres ancestraux est un chef d'œuvre. Avec ses graphismes en Cell Shading somptueux, sa musique enivrante, son gameplay qui n'est pas sans rappeler un certain The Legend of Zelda et d'autres qualités, ce four commercial aura su toucher énormément de joueurs. Un jeu déjà culte qui n'aura pas su trouver son public, et ce même après un portage sur la dame blanche de Nintendo, la Wii ; la précision du gameplay en moins. Pourtant, il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tuer, puisque 1 an plus tard, les morts reviennent ... plus en forme que jamais !

Cependant, ce n'est pas sous la forme de Clover Studios que les génies de Capcom reviennent, mais sous la tutelle d'un des grands du milieu : Sega. Exit Capcom et Clover Studios, place désormais à Platinium Games et son partenariat avec la firme qui a créer l'un des héros les plus connus du jeu vidéo : Sonic. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que pour un retour, ce dernier ne passe pas par la petite porte, puisque Platinium Games a annoncé dans la foulée en Mai 2008 4 futurs jeux de leur cru ! Autant dire que les fans de la première heure seront satisfaits, et il y en aura pour tous les types de joueurs autant que pour toutes les consoles ! Le premier jeu de cette quadrilogie de titres est déjà sorti à l'heure où vous lisez ces lignes, il s'agit de MadWorld, sorti le 20 Mars 2009 en France sur la Wii. Si cela ne vous dit rien, c'est normal, le jeu n'ayant pas eu le succès espéré ... et ceci est totalement compréensible, puisque au lieu de proposer du contenu qui s'adresse à tout le monde, MadWorld joue la carte de l'ultra ultra violence ! Le joueur incarne Jack, un garagiste qui du jour au lendemain va se retrouver à participer au Death Watch, un jeu télévisé en direct dirigés par des terroristes qui ont pris le contrôle de la ville et qui menace de la détruire très prochainement. Il n'y aura qu'un survivant, et ce dernier sera le survivant de ce jeu mortel où tous les moyens sont bons pour tuer : murs avec des pics, panneau de circulation, fosses, tonneaux, tronçonneuse ... Une ode à la violence au style graphique qui rappelle Sin City, voilà ce que propose ce jeu à l'ambiance unique qui aura été salué unanimement comme un très bon jeu par la globalité des gamers. Forcement que le public de la Wii a été très hermétique à l'idée, malgré le fait que ce soit le deuxième projet "hardcore" de Sega sur la console, un mois après The House of the Dead Overkill. Pour son deuxième jeu, Platinium Games ne quitte pas les consoles du géant nippon avec cette fois ci Infinite Space, sur Nintendo DS ! Dans ce titre portatif, le joueur devra créer sa propre flotte spatiale (le jeu se déroulant dans un univers futuriste) pour explorer la galaxie et venir à bout de la vermine spatiale. Pour ce faire, le joueur pourra recruter plus de 200 personnages à sa solde ou encore customiser selon sa volonté son vaisseau avant la bataille. Le tout en 3D ! Un jeu déjà sorti au Japon depuis le 11 Juin 2009, et qui devrait sortir en 2010 en Amérique et en France, même si on présent déjà le four commercial, Infinite Space (ou Infinite Line lors de son annonce) étant très peu médiatisé depuis son annonce l'année dernière !

Mais il s'avère que ce deuxième titre n'est rien comparer au troisième annoncé sur le plan de la promotion inexistante, puisque le troisième titre made in Platinium Games se fait toujours attendre sur le plan des infos et des images ! Rien, pas de titres, pas de date, pas d'idées du genre, pas de supports ... Juste un nom derrière le projet : Shinji Mikami, soit le papa de Resident Evil 1 et 4 ! De quoi rassurer en attendant les premières infos qui tardent à venir, Platinium Games n'ayant pas profiter de l'E3 2009 pour dévoiler le jeu (Faudra t'il attendre un an ? Mystère ...), préférant parler du dernier titre à venir du studio, et qui risque de faire parler de lui pour les promesses qu'ils suscitent : Bayonetta, soit le nouveau né sur Playstation 3 et Xbox 360 de Hideki Kamiya, le créateur de Devil May Cry et Viewtiful Joe. Rien que ça !

Des promesses, Bayonetta en a trois principales, et ces dernières ne jouent absolument pas la carte de la modestie, loin de là. Ses ambitions ? Révolutionner le jeu d'action (rien que ça ...), le faire passer à la vitesse supérieure en terme de qualité de jeu, mais surtout enterrer le roi du jeu d'action / beat'em all à l'heure actuelle : Devil May Cry. Une douce ironie, puisque le créateur du roi ... veut détrôner sa propre création ! Et pour cela, Kamiya met le paquet autant que ses déclarations, en proposant toutes les bases de ses séries, soit des ennemis à gogos au look dantesque (sans mauvais jeu de mots), un héros charismatique et poseur, une ambiance unique, de l'action survoltée, un gameplay aux petits oignons ; mais en proposant aussi quelques petites nouveautés dans son principe. Tout d'abord, exit Dante et Joe, place désormais à Bayonetta, ou le chasseur de démons ... au féminin ! Le joueur se retrouve donc pad en main aux contrôles (et dieu sait que cet aspect est diablement séducteur) d'une sorcière sexy à la coiffure improbable, à la paire de lunette dernier cri question design et surtout de deux paires d'armes à feu. La première se trouvant dans les doigts habiles de la belle, la seconde attachée à ses bottines aux talons aiguisés (qui a dit Planète Terreur ?). Si vous pensiez que le summum du loufoque avait été atteint avec ce détail, attendez vous à en perdre votre latin lorsque vous serez cette même Bayonetta peut se transformer en panthère (voyez le sous entendu ...), en nuée d'oiseaux et bien d'autres créatures. Mais les transformations vont encore plus loin dans le délire, puisque la chevelure de Bayonetta peut se transformer en poings ou pieds géants pour tabasser comme il se doit les assaillants qui osent s'en prendre à la diva, invoquer des instruments de tortures sadiques au possible pour achever dans un bain de sang les "anges" (car ils n'ont d'angélique que leurs noms) qui font office d'ennemis ... mais aussi en monstres titanesques sortis d'un vortex (Serpent, oiseau et insecte sont au programme, entre autres). Tout à un prix, et c'est la combinaison en latex qui en pâtira, puisque Bayonetta ... s'habille avec ses cheveux. Vous l'aurez compris, Bayonetta joue la carte du kitsch, du glamour et du décomplexé, le tout dans une ambiance démoniaque et typiquement nippone, où musiques jazzy et rétro côtoient une secrétaire cochonne semi SM qui n'hésite pas à prendre la pose pour affronter les dizaines d'ennemis à ses trousses. Un cocktail barré typique de l'esprit Clover Studios qui s'annonce alléchant sur le papier, mais aussi en action (voir encore plus)

Longtemps silencieux (pour cause, le jeu a fait cesser parler de lui pendant quasiment 6 mois, alors qu'il ne s'était quasiment pas dévoiler !), Bayonetta sait faire monter la sauce progressivement autour de lui en faisant parler et (surtout) poser son héroïne à l'apparence qui n'a de cesse d'être controversée (les uns adhérant au trip salace, les autres criant au mauvais goût outrancier) avec des rares trailers qui plongent tout de suite dans l'ambiance, qui on ne cessera de le répété reste unique en son genre (et qui elle aussi prête à la controverse, comme souvent avec ce genre de jeu "osé", même si ici le mot semble faible). C'est lors de l'E3 2009 (qui s'est tenu du 2 au 4 Juin 2009) où le dernier trailer en date s'est dévoilé (visible à cette adresse sur les serveurs de Gamekult en VO non sous titré), dévoilant une finition de graphismes un poil supérieur aux premiers screenshots (qui avaient déçus pas mal de joueurs, surtout quand on voit la qualité graphique de certains jeux du moment !), mais surtout une mise en scène très bien chorégraphiée et une fluidité exemplaire, que ce soit en terme d'affichage que de dynamisme lors des scènes de combats, éléments essentiels pour faire un très bon titre du genre ; en plus de dévoilé quelques menus détails (c'est le cas de le dire) sur le scénario. Un projet qui se fait désirer de plus en plus auprès des joueurs, et particulièrement auprès des adeptes du genre (qui attendent de voir si les paroles prononcées sur ce  "stylish action game" sont véridiques) , mais une date de sortie manquait cruellement, rendant encore plus fou les plus impatients ... jusqu'à cette semaine !

C'est donc cette semaine (celle du 15 Juillet 2009) que Platinium Games à décider de communiqué officiellement la date de sortie Japonaise du jeu et de briser cette attente qui aurait pu devenir insoutenable ! Et le vague Fin 2009 qui avait été prononcé depuis l'annonce du titre (cela remonte à longtemps, ce qui rend encore plus compréhensible l'impatience autour du projet) se transforme désormais depuis cette annonce en 29 Octobre 2009 ! Autant dire qu'on ne peut pas faire plus précis, et ce sont les japonais surement plus adeptes, ou du moins plus adaptés à ce genre de trip qui doivent surement s'en voir ravis ! C'est dans très bientôt (un peu plus de 3 mois), et cela donne de quoi espérer pour une date de sortie vers Automne 2009 en Amérique et en Europe, voir une sortie mondiale ... Du moins, cela donnait de quoi espérer ...

Car c'est hier (le 17 Juillet 2009) qu'est tomber les deux dates de sortie qu'il manquait pour la sortie de Bayonetta : la date de sortie Américaine et Française ! Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il risque d'y avoir énormément de déçus (surtout parmi ceux qui attendent le titre depuis le début), puisque le jeu ne sortira pas avant ... 2010 chez nous et en Amérique ! Un grand (et le mot semble faible) écart frustrant, mais qui a tout de même un revers (il faut bien essayer de voir un aspect positif à la chose) : car si l'attente est là, ce ne sera pas comme certains jeux qui doivent attendre la Fin 2010, puisqu'une date de sortie précise à été communiquée. Exit donc un vague 2010 qui aurait fait polémique dans la communauté du Beat'em All ! Dans le cas présent, Bayonetta sortira en Janvier 2010 sur les deux continents, le 10 Janvier 2010 exactement ! 3 mois d'écart, c'est déjà mieux que ce que l'on pouvait craindre, mais cela reste tout de même assez dommage. Cependant, les raisons de cet écart n'ont pas étés (encore ?) exprimées, mais on se doute bien qu'il s'agit d'un but purement commercial pour éviter que cette nouvelle licence (car Bayonetta pourrait être le premier opus d'une trilogie de jeux d'action, si les résultats du titre fondateur sont là !) se plante royalement à Noël, au profit de Call of Duty : Modern Warfare 2, Assassin's Creed 2 , Uncharted 2 et consorts, qui eux, ont déjà leur succès commercial acquis à Noël !

Bayonetta raconte l'histoire de Bayonetta (jeu éponyme donc, comme dit précédemment), une sorcière surpuissante qui doit lutter contre des mystérieuses créatures démoniaques à l'apparence qui fait plus penser à des chérubins déchus que des démons et qui ont renverser la balance qui maintenait l'équilibre et la paix dans le monde, perduré depuis des générations par deux clans européens, désormais détruits par ces mêmes anges. Commence alors pour la belle une quête qui l'emmènera tout autour du monde en compagnie de son ami Rodin, pour tenter de stopper la menace dirigée par une mystérieuse antagoniste, qui semble être à la tête de ce groupe de démons ; aussi puissante que Bayonetta (d'autant que la ressemblance dans le design de cette méchante est assez troublante). Dans ce duel se jouera la destinée de l'humanité, mais aussi des enjeux nettement plus personnels pour Bayonetta, comme sa fille ... (Si l'on en croit le trailer E3 2009, cependant rien n'a été confirmé, donc cette version du scénario est à prendre avec des pincettes, ceci étant une pure spéculation de la part de votre rédacteur !)

Il faudra donc s'armer de patience pour pouvoir gouter à ce jeu diablement séducteur annoncé comme un jeu extrêmement difficile par son créateur (au point que la difficulté du soft en deviendrait masochiste d'après lui ... Quand les japonais sont lancés sur une idée, ils l'exploitent jusqu'au bout !), en édition simple ou en édition collector (cependant, seul le collector japonais contenant la bande originale du jeu à été confirmé pour le moment ! A surveiller donc !) Ce report montre bien que l'industrie vidéoludique va assez mal, puisque certains titres prometteurs sont obligés de se décaler des fêtes de fin d'année (le moment où les ventes explosent, c'est un fait prouvé depuis maintenant des années) pour pouvoir espérer avoir un minimum de succès, les jeux au concept différent étant forcement un peu appréhender par les joueurs. La crise financière ne facilitant pas les choses et les choix tout comme les prix des jeux actuels (70 euros le jeu neuf sur Playstation 3 et Xbox 360 !), cela devient encore plus risqué de se laisser tenter par une expérience nouvelle qui peut s'avérer décevante, alors la majorité se tourne vers des suites qui ont beaux avoir les qualités de son ou ses prédécesseurs, il n'empêche que la découverte et la fraicheur y sont rarement. Le porte monnaie étant généralement hors service après le réveillon, cela va devenir encore plus compliqué, d'où le paradoxe de ce report qui pourrait nuire au succès du titre, et pire, à ses ambitions de création de saga. Et Bayonetta ne sera pas le seul, puisque des jeux comme Heavy Rain et Bioshock 2 (entre autres) sont eux aussi repoussés vers cette période pour les mêmes raisons. Pour le meilleur ou pour le pire ? Réponses l'année prochaine avec les premiers chiffres de ventes, qui on l'espère seront suffisamment bons pour éviter de se retrouver avec encore une fois une équipe aussi talentueuse et aussi créative sur la paille ! On croise les doigts !

A retenir : Pour sa première incrustation sur les consoles Next Gen, Platinium Games (ou le feu Clover Studio) décide de marquer un grand coup avec Bayonetta, un jeu dans la veine de Devil May Cry. Rien d'étonnant, puisque Hideki Kamiya, à l'origine de DMC ; est derrière ce projet complètement barré où l'héroine éponyme doit affronter une ordre de démons à l'apparence angélique avec des pistolets aussi bien dans les mains qu'accrochés aux pieds, en plus d'invocations sortant de sa chevelure matérialisées par la présence à l'écran d'instruments de tortures ou de créatures titanesques ... le tout au prix de la combinaison de l'héroïne faites avec ses propres cheveux ! Un concept typiquement nippon décalé au possible qui a pour ambition de détroner le roi du genre actuel, Devil May Cry (encore lui !). Pour se faire, la formule reste la même, le tout en HD et en encore plus fou, encore plus dynamique et plus stylisé (selon les gouts de chacun, le jeu faisant polémique sur ce point). Un produit qui sait se faire attendre, et dont il ne manquait plus qu'une date de sortie. C'est chose faite, puisque Platinium Games a annoncé que son titre sortirait le 29 Octobre 2009 au Japon ... et le 10 Janvier 2010 aux USA et en Europe ! Un décalage à moitié surprenant du surement aux fêtes de fin d'année (le succès du titre n'étant pas acquis, premier jeu d'une hypothétique trilogie oblige), qui on l'espère ne nuira pas aux ventes du jeu !

Sources : Gamekult / Jeuxvideo.com / Jeuxvideo.fr

Voir aussi :

- Fiche Jeu Bayonetta

par Mémé

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17 juillet 2009

[Impressions] MySims Racing (DS)


Après deux volets de MySims « classiques », EA Games à décidé que sa licence était une licence à succès, comme Mario, et décide de la décliné à toutes les sauces… Après MySims Party, voilà MySims Racing (et oui, ils ont des noms originaux par-dessus le marché !) ! Si vous ne l’aviez toujours pas deviné, c’est l’adaptation du monde fabuleux de MySims (lui-même adapté du monde fabuleux des Sims) dans l’univers de la course automobile !

Alors qu’en est-il de cette déclinaison de la licence originale qui fait plus pompe à fric que jeu fait par des passionnés en quête de chef d’œuvres ? Est-ce un énième ersatz de Mario Kart ou enfin LE concurrent à la hauteur qui pourrait faire de l’ombre à la série de course/arcade du plombier rouge ? Premier verdict après quelques heures de jeu.

Autant faire vite, si le Nintendo Magazine (je vous entends déjà rigoler) dit que MySims Racing pourrait dépasser Mario Kart sur Wii, une chose est sur, sur DS, c’est loin d’être le cas. Et cela à tous les niveaux, explications :

Déjà, le plus flagrant, la durée de vie, en effet, après avoir roulé trois heures, me voilà déjà avec la totalité des courses, ou presque, puisqu’il ne m’en manque qu’une ! Donc autant dire que dans une heure de jeu, j’aurais bouclé l’histoire et il ne me restera plus qu’à espérer faire du multi pour sauver le jeu de la poussière. Et encore, après ses impressions sinistres, qui voudra acheter ce jeu... Au passage, on soulignera qu’il n’y a pas de online sur cette monture DS, donc pour botter le cul de MKDS c’est déjà foutu.

Ensuite, je dirais que le 2e défaut de MySims Racing, c’est son mode histoire, à chier. Explications en gros : vous vous déplacer dans une petite ville où différents add-on seront débloqués petit a petit, et vous avez trois choix : soit vous aller aider les gens, soit vous aller faire des courses, dans les add-on de la carte prévus à cet effet, soit vous aller faire des figures dans les deux skates parc fait pour ça.

Le gros du mode histoire, n’est en fait pas de faire des courses, mais d’aider les citoyens de la ville en faisant des quêtes chiantes et répétitives au possible. Durant le jeu vous aurez très certainement une cinquantaine de quêtes à faire, mais désenchantez tout de suite, y’en a que de 4 sortes différentes : 1- conduire quelqu'un d’un point A à un point B, 2- conduire quelqu’un d’un point A à un point B en temps limité (oui le premier, vous aviez tout votre temps, ne cherchez pas l’intérêt de cette mission, y’en a pas), 3- Ramassez des objets dispersés dans la carte, 4- Ramassez des objets dispersés dans la carte en temps limité.

Autant dire qu’une fois qu’on a fait dix fois chacune de ses missions, ça à tendance à souler un peu, surtout que faire la route dans l’aire de jeu de MySims Racing n’est pas trop passionnant. On passe donc son temps à faire des aller retours dans une ville sans vie et quasi déserte, tout ça pour ramasser quelques essences ou des modèles pour pouvoir customiser son bolide où sa personne.

Et oui, MySims oblige, le côté bac à sable est présent, mais bon, c’est presque de la figuration. Au début du jeu, vous aurez le droit de construire votre avatar avec des possibilités limités, et sa voiture, avec aussi des possibilités limités, et tout au long du jeu, vous gagnerez des nouveaux ailerons, jantes ou carrosseries pour votre bolide. Bien sur, ça n’altère pas ses statistiques, c’est juste pour faire une voiture pas trop laide (et encore vous aurez du mal).

Autre aspect custom un poil plus intéressant, l’aspect customisation mécanique, en effet, à chaque course remportée vous pourrez gagner des modèles pour changer la vitesse de pointe, l’accélération et la maniabilité de votre bolide. Mais vous pouvez déjà arrêtez de rêver, c’est super limité, disons juste qu’a chaque fois que vous débloquez un truc, c’est meilleur que l’ancien, et que avez que trois points à gérer. Donc pour ceux qui rêvaient de passer du temps à faire des réglages pour faire de leur joujou le meilleur possible, vous pouvez aller voir ailleurs.

Donc chaque modèles, que ce soit mécanique, ou trucs pour faire jolis, vous coûtera des essences, que vous gagnerez en faisant des missions chiantes au près des gens. Une fois les essences récoltez, vous irez au garage pour faire fabriquer vos trucs, et vous aurez le droit à une animation merdique a chaque fois que vous construisez un truc.

Bon sinon, deuxième point du mode histoire, et normalement le plus important, les courses. En effet, de temps en temps, après vous être bien fait chier à aider la populace, vous pourrez aller dans les endroits où sont proposés les courses, il en existera quatre au total : le bois, relié à la ville, la plage relié à la partie portuaire exotique de la ville, la partie fossile relié à la sombre forêt (logique !) et la montage gelée relié à un autre point de la partie portuaire (on se demande à quoi pensez les développeurs quand ils ont fait ça !). Dans chacune des parties, deux courses sont proposés + une que vous débloquerez plus tard, enfin si vous êtes premier, car être deuxième ou troisième, c’est comme être sixième (bref dernier), ça sert à rien.

Parlons des courses en elles même : et bien disons qu’elles sont un peu zéro charisme. Les environnements sont basiques, forêt, col de montagne, plage, bateau, plaine, mine, banquise… Pas de quoi s’extasier, et quand on voit la gueule des bonus à récupérer sur le circuit, ça se confirme, en effet ici, on attaque avec des ballons de foot, des citrouilles, des bulles, des glands (seul originalité des attaques, vous lancer un gland et un arbre pousse, servant d’obstacle au concurrents), un booster, un bouclier et enfin un ovni, qui est lui, un clone du bill bourrin des derniers Mario Kart. Bref, encore une fois, zéro charisme.

Dans les courses en elle-même, c’est pareil, le gameplay de Mario Kart est copié à l’identique, à une exception, quand vous dérapez, vous déclanchez pas un boost après, mais vous remplissez une jauge de boost que vous pourrez ensuite activer en appuyant sur le bouton X. Bref, rien d’innovant. On notera aussi la possibilité de faire des figures dans la course, mais ça fait gagner des essences et non du boost, donc utilité zéro, surtout que, étrangement, l’IA du jeu n’est pas hyper facile. Il y aura toujours le 2e et le 3e pour vous coller pendant toute la course et vous frappez férocement au dernier tour (alors qu’au 2e tour l’IA laisse le joueur rouler tranquillou premier). Donc bon, au début, les plus jeunes vont sacrément souffrir, surtout que le jeu leur est destiné.

Au final vous pourrez donc vous amusez sur 12 courses follement passionnantes, et oui, chez MySims… on voit les choses en petit… Bon on enchaîne sur le dernier point du mode Histoire, les endroits où on peut faire des figures, au nombre de deux ses endroits, ressemblants à des skate parc vous proposez de vous amusez en fonçant sur des rampes en faisant des figures à l’image de celle de Mario Kart Wii (sauf qu’il faut bouger la croix + appuyer sur le bouton B). L’intérêt est très limité, mais ça permet de gagner des essences, en plus, le maire, Sir Charles, vous proposera régulièrement des défis bien ennuyeux où vous devez récupérer des trophées dans la zone, en tant illimité, en vous éclatant à faire des figures, pour gagner au final pas mal d’essences.

Niveau réalisation, MySims Racing s’en tire pas trop mal, la 3D est correcte, même si on a vu mieux, et il n’y a pas en abondance des objets en 2D qui servent de décor, donc c’est un bon point. Et niveau musiques et bruitages, c’est très moyen pour les mélodies et pas désagréable pour les grognements des persos.

Au final, MySims Racing ne laisse l’impression que d’un jeu moyen, beaucoup trop court, et plus commercial qu’autre chose. A voir le jeu une fois fini, mais c’est pour le moment pratiquement sur, ce jeu est à éviter, même pour les fans de MySims.

Impressions réalisés après environ 3 heures de jeu. Rédigé le 24/06/09 par Arnonaud. Merci de ne pas copier sans son accord.

13 juillet 2009

[Fiche Manga] Bobobo-Bo Bo-Bobo T.12

Bobobo-Bo Bo-Bobo Tome 12

fiche_technique

Appartient à la série : Bobobo-Bo Bo-Bobo

Editeur : Casterman (Collection Sakka)

Auteur: Yoshio Sawaï

Genre : Humour/Parodie de Nekketsu

Couleurs : N&B

Sens de lecture : Japonais

Sortie au Japon : 2001

Sortie en France : 1er Juillet 2009

Nombre de pages : 192

Prix : 5,95 €

Bonus : Le dessin animé Bo-Bobo 1,2; dessin bonus : "les deux guerries"; petite histoire Bo-Bobo en quatre cases 1,2,3,4,5; Don Patchi : Désolé de me déchaîner (Dessins des fans); Biographie de l'auteur. 

Spécificités : /

r_sum_

Le combat contre Giga continue de plus belle et ce dernier a encore bien des tours dans son sac ! Bo-Bobo va être obligé de recourir à sa technique la plus spéctaculaire en libérant le sceau hanagé. Cet homme est décidement plein de ressources...
Nos héros sont loin de se douter que Giga n'est qu'un obstacle sur leur passage : très vite, ils se retrouvent face aux brigades capillo-tracteuses... d'il y a cent ans ! Et les anciens commandants ne rigolent pas !!!
Attaques combinées, virilité et trahison : les combats incroyables s'enchaînent dans ce volume 12 ! Nos héros vont-ils survivre à tant de violence et surtout de bêtise ?

by Casterman (recopiage du résumé introductif de l'éditeur)

Avis

Attention ! Peut contenir des spoils !

L'avis de Arnonaud :

Les Bobobo-Bo Bo-Bobo s’enchaînent et se ressemblent… trop ? C’est ce qu’on aurait pu penser il y a quelques tomes, quand la série commencée à devenir lassante. Mais avec un excellent volume 11 qui avait su redonner des couleurs à la série, qu’en est-il de celui-ci ?

Et bien, il est très accrocheur. Je rassure tout de suite, toujours beaucoup d’humour et il y a certains passages carrément excellents, donc si vous aimez l’humour Bobobesque, et si, comme moi, vous aviez aimé les gros délires du tome 6, ce 12e volume devrait vous plaire avec un 3e chapitre tout bonnement excellent ou Yoshio Sawai est vraiment au sommet de son art.

Et il se trouve justement que ce chapitre porte sur l’art. Donnant lieu a de très bons délires, à des cases définitivement à hurler de rire, à des parodies d’œuvres célèbres et même a une discution philosophique en combattant, c’est certainement le meilleur chapitre du volume, malgré sa fin un peu faible (au chapitre).

D’autres chapitres sont, je rassures assez sympa avec de bons passages (le sceau hanagé, le passage où les persos sont en version anime) et laisse surtout présager du lourd pour le 13e volume. Car si ce volume propose des bons combats face à des adversaires classiques (des méchants avec des têtes de méchants quoi), le prochain volume annonce définitivement le retour des méchants crétins, car là, a part une pauvre loutre marine définitivement figurante…
Néanmoins, Yoshio Sawai arrive à faire de très bons combats, chose étonnante, car d’habitude les combats face aux ennemis sérieux étaient rapidement chiants.

Au niveau du dessin, le mangaka déjanté est toujours en forme en proposant des dessins dans la ligné des précédents volumes et avec des sales tronches toujours plus hilarantes qui servent à merveille les gags. Comme d’habitude en somme !

Niveau édition et bonus, ça se tient. Sakka fait comme toujours du bon boulot niveau lettrage et traduction et adapte toutes les onomatopées en français, chose assez rare pour être remarquée, surtout que ça rajoute toujours du confort de lecture. Et du côté des bonus, les infos sur le DA sont intéressantes, et les yonkoma pas très marrantes.

Au final, on a un nouveau volume de Bobobo assez bon, qui se lit facilement et avec beaucoup d’éclats de rires. Un excellent 3e chapitre dessiné par un Yoshio Sawai pour un volume qui ne sera certainement pas le meilleur de la série mais tout de même un très bon. On attend avec impatience la suite.

11 juillet 2009

[Fiche Manga] Genshiken T.9

Genshiken Tome 9 -fin de la série-

fiche_technique

Appartient à la série : Genshiken

Editeur : Humour - Kurokawa

Auteur: Kio Shimoku

Genre : Humour

Couleurs : N&B

Sens de lecture : Japonais

Sortie au Japon : 2002

Sortie en France : 11 Juin 2009

Nombre de pages : 224

Prix : 6,90 €

Bonus : 4 yonkoma bonus à chaque chapitre, manga bonus non-censuré : Une fête d'adieu pleine d'émotions, Illustration bonus (photocopie N&B de la carte postale donnée avec le volume au Japon), Ota'Club et Ota'Pédia (index de tous les Ota'Club). 

Spécificités : Dernier tome de la série.

r_sum_

Résumé du dos du manga :

Toutes les bonnes choses ont une fin. Les aventures rocambolesques de notre groupe d'Otakus favoris arrivent à leur terme avec la fin de l'année scolaire et la cérémonie de remise des diplômes qui approchent à grands pas. Entre tristesse et nostalgie, les membres du Genshiken se tournent sans regret vers l'avenir et notamment leurs préoccupations professionnnelles, qui prennent le pas sur la vie étudiante. Tous ont beaucoup évolué depuis leur entrée au club et une chose est certaine, le Genshiken a changé leur vie. Et sans doute aussi la vôtre ?

Résumé du dos du manga par Kurokawa.

Avis

Attention ! Peut contenir des spoils !

L'avis de Arnonaud :

Ca y est, l’aventure Genshiken se clotûre dans ce neuvième et dernier volume de cette superbe série sur les otakus. Avec son humour, ses personnages attachants, cette façon de parler des otakus avec réalisme sans les caricaturer… La série de Kio Shimoku avait su nous transporter et nous faire aimer, adorer, le Genshiken… Enfin… Jusqu’au bout ?

Faire un dernier tome est toujours difficile, ultime volume on en attend toujours beaucoup et il faut réussir à magnifier la saga tout en concluant avec brio l’histoire. Hélas, grand nombres de mangakas échouent à la tâche (beaucoup se souviennent d’un dernier volume de Shaman King très décevant) avec des fins qui, ironie du sort, laissent plutôt le lecteur sur sa faim. Qu’en est-il donc de ce dernier Genshiken ?

Inutile de maintenir le suspense plus longtemps, Genshiken 9 se termine brillamment et surtout avec simplicité. On sent la fin venir, elle arrive, et puis voilà, on a pas envie d’en redemander, même si, comme beaucoup s’y attendent, elle est très ouvertes et il aurait été possible de continuer (avec pleins de nouveaux personnages donc, ça n’aurait pas été aussi intéressant, il été beaucoup plus juste d’arrêter maintenant).

On a le droit aussi à un développement du personnage de Suzie qui devient ainsi beaucoup plus intéressant et plus attachants. On aura le droit aussi au retour de Madarame et Saki, le duo hilarant du début, sur le devant de la scène dans un très bon chapitre. Y’aura aussi la suite de la relation Oigué – Sasahara et aussi un antépénultième chapitre… muet (et pourtant très bon !).

On regrettera simplement que les filles du club manga découverte à la toute fin du vol.8 ne soient pas découvertes plus en profondeur (contrairement à ce que l’avant dernier volume laissait présager), comme Kuchi qui restera jusqu’à la fin un personnage secondaire (pourquoi j’adore ce perso aussi !)

Donc niveau dessins, rien à redire, le style de Kio Shimoku fonctionne encore à merveille, avec un style reconnaissable et agréable ainsi que des SD toujours aussi sympathique. En passant, j’en profite pour dire que l’humour de la série fonctionne toujours autant et les yonkoma, encore plus nombreux que jamais (4 par chapitre) sont toujours aussi hilarants.

Sinon pour l’édition, Kurokawa a fait encore un excellent boulot, des polices bien choisit, pas de fautes d’orthographes (ou pas ultra visibles), toutes les onomatopées adaptés, des bonus bien fournis qui expliquent en détails les références et autres termes techniques. Et la cerise sur le gâteau : un index de tout l’Ota’Club. Seul regret : dommage de ne pas avoir donné la carte postale de l’édition japonaise (le goodies classe quoi) ni mit les pages couleurs du dernier chapitre.

Genshiken se conclut donc dans un dernier tome très agréable qui arrive à terminer tranquillement et avec brio la saga sans qu’on reste sur sa faim. Des histoires qui fonctionnent toujours autant qu’au début avec toujours autant d’humours et de personnages attachants. De petits défauts tout de fois, mais sans importance pour ce tome indispensable pour les amateurs de la série et même pour les autres, qui devraient décidément se mettre à cette série vraiment extra.

9 juillet 2009

Fiche Film "District 9"

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Fiche_Technique

Date de sortie Cinéma Française : 16 Septembre 2009

Date de sortie Cinéma Américaine : 14 Août 2009

Réalisateur : Neil Blomkamp

Avec :
Sharlto Copley, William Allen Young, Robert Hobbs ...

Durée : 1h50

Genre : Science Fiction

Film américain, néo-zelandais

Année de production : 2009

Distribution : Metropolitan FilmExport

Compositeur : Clinton Shorter

D'après : /

Titre Original : District 9

Tous publics

Synopsis

Il y a vingt-huit ans, des extraterrestres entrèrent en contact avec la Terre ... Ces visiteurs d'au-delà des étoiles étaient des réfugiés et furent installés dans le District 9, en Afrique du Sud, pendant que les nations du monde se querellaient pour savoir quoi en faire ... Depuis, la gestion de la situation a été transférée au MNU (Multi-National United), une société privée qui n'a pas grand-chose à faire du sort de ces créatures, mais qui fera d'énormes bénéfices si elle arrive à faire fonctionner leur extraordinaire armement. Jusqu'à présent, toutes les tentatives ont échoué : pour que les armes marchent, il faut de l'ADN extraterrestre. La tension entre extraterrestres et humains atteint son maximum lorsque le MNU commence à évacuer les non-humains du District 9 vers un nouveau camp, en envoyant des agents de terrain s'occuper de leur transfert. L'un de ces agents, Wikus van der Merwe, contracte un virus extraterrestre qui se met à modifier son ADN. Wikus est à présent l'homme le plus recherché de la planète, celui qui vaut plus qu'une fortune : il est la clé qui permettra de percer le secret de la technologie alien. Repoussé, isolé, sans aide ni amis, il ne lui reste qu'un seul endroit où se cacher : le District 9 ...

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8 juillet 2009

Fiche Musique "An Endless Sporadic"

AES_members

An Endless Sporadic

Mini_Fiche_Technique

Genre : Rock, progressif, instrumentale, experimentale

Pays d'origine : Woodland hills, California, Etats-Unis

Existe depuis : 2008?

Labels : /

Myspace du Groupe

Membres du groupe : Zach Kamins - Guitare,  clavier, basse
                                  Andy Gentile - batterie

Histoire

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AMELIORATE
An Endless Sporadic [Ameliorate] (07/08/2008)
Note : /

  

Si_vous_aimez_alors_vous_aimerez

- JT Bruce

7 juillet 2009

Fiche Film "Monstres & Cie"

M_C

Monstres_et_Cie_Affiche_Redimention_e

Fiche_Technique

Date de sortie Cinéma Française : 20 Mars 2002

Date de sortie Cinéma Américaine : 2 Novembre 2001

Réalisateur : Pete Docter

Avec les voix de : John Goodman, Billy Crystal, Mary Gibbs ... (VO) ; Jacques Franz, Eric Métayer, Lola Krellenstein … (VF)

Durée : 1h32

Genre : Film d'animation

Film américain

Année de production : 2001

Distribution :
Walt Disney Studios Motion Pictures France

Compositeur : Ira Heirshen

D'après : /

Titre Original : Monsters, Inc.

Tous publics

Synopsis

Monstropolis est une petite ville peuplée de monstres dont la principale source d'énergie provient des cris des enfants. Monstres & cie est la plus grande usine de traitement de cris de la ville. Grâce au nombre impressionnant de portes de placards dont dispose cette société, une équipe de monstres d'élite pénètre dans le monde des humains pour terrifier durant la nuit les enfants, et récolter leurs hurlements. Le terreur d'élite le plus réputé de Monstres & cie s'appelle Sullivan, alias Sulli. C'est un monstre cornu de 2m 40 de haut, à la fourrure bleu vert tachetée de violet. Une nuit, alors qu'il se trouve à l'« étage de la terreur », il s'aperçoit qu'une porte de placard n'a pas été fermée correctement. Pour vérifier que tout est en place, il l'ouvre, permettant sans le vouloir à Bouh, une petite fille, de pénétrer dans son monde…

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6 juillet 2009

Fiche Jeu "MySims Racing"

MySims_Racing

MySims_Racing_Wii_Boitier_Redimention_

MySims_Racing

Fiche_Technique

Plate Forme : Nintendo Wii / Nintendo DS

Editeur : Electronic Arts

Développeur : Electronic Arts

Type : Course Arcade

Appartient à la série : MySims

Date de sortie japonaise : 25 Juin 2009 (Versions Nintendo Wii / Nintendo DS)

Date de sortie américaine : 19 Juin 2009 (Versions Nintendo Wii / Nintendo DS)

Date de sortie française : 18 Juin 2009 (Versions Nintendo Wii / Nintendo DS)

Prix au lancement : 40€ (Version Nintendo Wii) / 30€ (Version Nintendo DS)

Joueur(s) : 1 à 4 joueurs (Versions Nintendo Wii / Nintendo DS) ; Jouable Online (Version Nintendo DS)

Dans le même genre :
- Mario Kart DS (DS)
- Mario Kart Wii (Wii)
- Diddy Kong Racing (DS)

Site Officiel

Informations_Globales

La désormais célèbres saga MySims, adaptation kawai des incontournables Sims pour les consoles de Nintendo, revient sur DS cette fois-ci dans un jeu de course épatant ! Et oui, la série touche un peu à tout et on obtient là un Mario Kart like dans une douzaine de course avec un pilote à façonné soit même et à customisé soit même dans un mode un joueur placé sous le signe de la liberté, où vous pourrez aider des gens en échange d'essence pour gagner des modèles qui customisent votre bolide. Un jeu placé sous le signe de la personnalisation, comme les autres opus de la série donc ! Au niveau des courses, si vous avez joués à Mario Kart DS ou Wii, vous ne serez pas déroutez, c'est la même chose sauf que vous remplissez une jauge dans les dérapages à activer ensuite pour... foncer !

arcticles

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Impressions_Test_Eclair
1 Impression Version Nintendo DS disponible (Rédigée par Arnonaud)

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4 juillet 2009

[Les Sorties Mangas] Actualisation n°1 : Juillet 2009

Des fois, tout ne se déroule pas comme prévu... Alors que toutes les sorties du mois paraissait être dans un équilibre parfait... Un petit grain de sel vient faire capoter la machine... Pour le meilleur comme pour le pire ! Report, avancement ou couverture dévoilée, c'est l'actualisation de Juillet 2009 et c'est partit !

I- Death Note Volume 13 - How to Read

death_note_13Alors que les fans l'attendait fébrilement depuis longtemps, le volume 13 de Death Note, mainte fois reporté... l'a encore été ! La grosse sortie de Kana pour la Japan Expo à tout simplement été réduite en bouillie avec cet énième date de sortie repoussée pour le guide book.

Bon donc, pour tous les fans déçus, retenez bien la nouvelle date... C'est le 4 Septembre que le Death Note 13 sort désormais ! Et on espère que cette fois-ci Kana tiendra sa promesse !

Manga sélectionné comme l'une des meilleurs sorties de Juillet par moi-même, cet ultime volume de Death Note est un Guide Book de 290 pages fait par Ohba et Obata qui sera vendu à 8€50 normalement.

Synopsis Officiel : Pour tout savoir sur l'univers de death note, où vous irez de découverte en découverte, avec ce guide complet sur tous les personnages de la séries (même les secondaires), sur les divers évènements fondateurs du récit et sur les différentes intrigues développées par les auteurs. En bonus exceptionnel, la carte carte qui révèle le vrai nom de L ainsi qu'une histoire inédite de 60pages présentant la toute première version de l'intrigue ! Un indispensable ....

-> Voir la fiche manga

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II- MxZéro Volume 10

9782759502790Pas de changement de date pour MxZéro, toujours prévu le 8 Juillet chez Tonkam (collection Shonen) au prix de 6,25 € pour ce 10e tome de 192 pages en N&B mais tout simplement le fait qu'on a enfin un visuel pour la couverture qui a une esthétique plutôt originale (même si je n'aime pas trop les yeux de la fille, désolé, je sais pas son nom, c'est san qui suit le manga et non moi...)

Donc sinon, le synopsis : Après les récents événemens, Taiga prend conscience des ses limites. Sa volonté d’aider Aika l’empêche de faire évoluer sa carte pour apprendre la magie et avec une M Zéro, il ne peut utiliser aucun sort. C’est alors que la principale lui fournit une information capitale : il existe un moyen de concilier ses deux objectifs : transformer sa carte en Black M Zero ! Mais le chemin pour y parvenir est semé d’embûches…

-> Voir la fiche manga

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III- Zelda - A Link to the Past Volume 1

zelda_link_to_the_past_1Bonne nouvelle ! Link ne débarquera pas en manga le 8 Juillet en manga... Puisqu'il est déjà dans les rayons depuis le 1er ! Une bonne nouvelle pour tous les fans qui attendaient cette nouvelle license de Soleil.

Le manga est donc, comme dit ci-dessus, édité par Soleil (collection J-Vidéo), à un prix de 7,95 € pour 192 pages N&B... Autant dire que chez Soleil on ne s'embête pas, le volume étant à 2 € plus cher qu'un Bobobo de chez Sakka qui a pourtant le même nombre de page.

Enfin, si ça vous intéresse toujours, voilà le synopsis officiel : Link, jeune garçon plein de vie, est soudainement appelé pendant son sommeil par une étrange voix. C’est celle de Zelda, la princesse du royaume d’hyrule qui appelle au secours. Prisonnière dans son propre château par le magicien Aganihm, elle est condamnée à être le septième et dernier sacrifi ce humain si elle n’est pas rapidement sauvée.
Aganihm et son maître, Ganondorf, souhaitent aller en terre sainte afin de trouver la triforce, objet divin qui permet à celui qui la touche de réaliser les rêves les plus fous. Or, les deux démons rêvent de pouvoir absolu... Link devra donc partir en quête afin de délivrer Zelda et sauver le monde de la tyrannie.

-> Pas encore de fiche manga pour cette série.

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IV- FullMetal Alchemist Volume 21

fma_21Le petit dernier de la série FMA est sortit plus tôt que prévu, au lieu de sortir le 9 Juillet, le voilà disponible depuis le 2 Juillet, fan de FMA, vous savez ce qu'il vous reste à faire.

Ce volume, choisit dans ma sélection des sorties de Juillet, sera, comme toujours, édité chez Kurokawa dans sa collection Shonen à un prix honnête de 6,50 € pour 192 pages N&B.

Synopsis : Les rebondissements se succèdent dans ce nouveau tome de Fullmetal Alchemist. Le jour promis, le jour où un plan machiavélique fomenté depuis des décennies entrera en action, le jour où un pays tout entier risque de disparaître… Les frères Elric auront fort à faire pour contrecarrer les plans des terribles Homonculus. Ils peuvent heureusement compter sur le soutien d'alliés de poids dans ce combat qui s'annonce périlleux !

-> Voir la fiche manga

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V - Love & Collage Volume 10

love_collage_10Décidement, Kurokawa avance toutes ses sorties, puisque Love & Collage volume 10 s'est vu aussi sortir le 2 Juillet au lieu du 9 !

Ce volume, qui rapproche de plus en plus la série de son aboutissement (série en 12 volumes au Japon) sera disponible chez Kurokawa (donc), collection Humour, à un prix de 6,50 € (prix classique d'un manga normal) pour 192 pages N&B.

Synopsis : Dans ce volume, Hachibé Maeda, notre héros fétichiste, a maille à partir avec un nouveau professeur tout juste arrivé au lycée-collège Sakashitamon. M. Sajima semble en effet bien décidé à tenir Hachibé loin de ses amies de la pension, mais pour quelles raisons ? Quel terrible secret cet homme va-t-il révéler à l'adolescent, soudain poussé à retourner dans les jupes de sa maman ?

-> Voir la fiche manga

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VI - Soul Eater

soul_eater_04Comme on le dit souvent, jamais deux sans trois, donc voilà, Soul Eater 4e du nom sort donc le 2 Juillet au lieu du 9.

Et, bonne nouvelle pour les fans de ce shonen très attendu lors de sa sortie en France, on a enfin un synopsis, que voici : Les élèves de Shibusen, l'école des faucheurs d'âme, sont à la poursuite d'un redoutable fugitif dont l'évasion a été orchestrée par Medusa. L'occasion pour Maka, Soul, Black*Star et Tsubaki de montrer de quoi ils sont capables. Seront-ils aussi doués pour l'examen écrit que va leur faire subir le docteur Stein ? Rien n'est moins sûr?

Donc le tome sera vendu à 6,50 € chez Kurokawa (non ?) dans la collection Shonen. Au programme : 208 pages en N&B.

-> Voir la fiche manga

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Hop-là, l'actualisation est terminée ! J'espère que vous êtes désormais au point ! En passant, on signalera que les passages des fiches mangas à la V2 continue, comme en témoigne la fiche de Air Gear.
Une nouvelle série du dernier planning des sorties mangas à eu enfin sa fiche, je parles bien entendu de Haruhi Suzumiya. La fiche ici.
Voilà, c'est tout pour le moment. Sinon, départ en vacances pour ma personne oblige, je signale que le prochain planning de sortie manga (celui d'Août) sortira plus tôt que d'habitude (plus vers le 15 Juillet quoi).

Arnonaud

3 juillet 2009

Billy Talent [Billy Talent III] (14/07/2009)

Billy_Talent_III

Billy Talent [Billy Talent III] (14/07/2009)

pistes_de_l_album

  1. Devil On My Shoulder
  2. Rusted From The Rain
  3. Saint Veronika
  4. Tears Into Wine
  5. White Sparrows
  6. Pocketful Of Dreams
  7. The Dead Can't Testify
  8. Diamond On A Landmine
  9. Turn your back (avec Anti-Flag)
  10. Sudden Movement
  11. Definition Of Destiny

quelques_renseignements_sur_l_album

Cinquième album du talentueux groupe mais troisième sous le nom de "Billy Talent". L'album garde un nom simple mais sans défaut pour cet album : "Billy Talent III" !
L'album a eu le droit à une importante campagne publicitaire tel qu'un site dessus dans un grand nombre de langue.

Nos_avis_2_copie 

A venir...l'album n'est pas encore sorti ! Dès le 14 juillet, retrouvez un avis et la playlist sur cette page internet !

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